Glossaire des termes de construction

Termes de construction courants en français, traduits en anglais et définis en français.

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FRANÇAISANGLAISDEFINITION
À feuilles caduques, loc. adj.DeciduousSe dit des plantes ligneuses ou des arbres dont les feuilles tombent chaque année.
À très faible débit, loc. adv.Ultra low flow, ultra low
flush [ULF]
Se dit des appareils (robinet, pomme de douche, toilette) qui consomment très peu d’eau par rapport aux appareils ordinaires.
Abat-vent, m.CowlCapuchon, souvent à lames, fixe ou rotatif, que l’on dispose au-dessus de l’orifice extérieur d’un conduit de fumée ou d’un évent pour réduire le contre-tirage.
Ouvrage couvert, mais non fermé, contigu à une habitation, destiné à protéger une voiture des intempéries.
Abréviation d’acrylonitrile-butadiène-styrène. Type de plastique rigide utilisé en tuyauterie de plomberie pour le drainage, l’évacuation et la ventilation, ou encore le transport de l’eau potable.
Abréviation d’arséniate de cuivre chromaté, un produit chimique de préservation du bois. Voir CAQ.
Partie d’un moyen d’évacuation au sein d’une aire de plancher qui donne accès à une issue desservant l’aire de plancher.
ACCHCHBAAbréviation d’Association canadienne des constructeurs d’habitations.
Abréviation d’Association canadienne des eaux potables et usées.
Acier d’armature, m.Reinforcing steel [bar]Acier en barres utilisé dans le béton pour en augmenter la résistance à la traction. Voir Béton, m., terminologie : béton armé.
Mouvement de l’eau qui pénètre dans un matériau poreux ou effet de la tension superficielle qui entraîne l’élévation d’un liquide dans un matériau en dépit de la force d’attraction gravitationnelle.
Processus selon lequel un objet adhère à un autre sous l’effet liant de la glace.
Dispositif de renouvellement d’air à lames disposées de manière à exclure la pluie, la vue ou la lumière.
Faire entrer de l’air dans une pièce.
Affleurement rocheux, m.OutcropRoc émergeant à la surface du sol.
Pièce métallique destinée à fixer un placage de brique à un bâtiment et à transmettre les charges latérales au mur de fond.
Petite agrafe de métal ayant la forme d’un H servant à renforcer et à aligner les joints d’about des panneaux du support de couverture non soutenus par l’ossature.
Rive, nervure ou rebord en saillie.
Aire, f.AreaMesure d’une surface comprise entre des limites précises, habituellement exprimée en mètres carrés (m²) ou en pieds carrés (pi²).
Aire d’agrément, f.Amenity areaAire située à l’intérieur des limites d’un ensemble résidentiel et destinée à des fins d’agrément, pouvant comprendre un aménagement paysager, des patios, des espaces communs, des salles communes de loisir ou des piscines.
Alvéole, f.CoreVide ménagé dans un élément de maçonnerie.
Partie centrale d’un ouvrage plaqué ou pli (plis) entre les placages de parement.
Aménagement paysager, m.LandscapingDisposition d’arbres, de gazon, d’autres végétaux, de sentiers, de revêtements de surfaces et de constructions extérieures sur un terrain à des fins décoratives et fonctionnelles.
Aménagement paysager qui utilise des plantes indigènes.
Se dit d’un aménagement domiciliaire ou d’un produit favorisant le libre mouvement des personnes handicapées. Par exemple, un évier accessible. Voir accès sans obstacles.
Minéral fibreux hautement résistant à la chaleur formé de silicates hydratés utilisé dans des matériaux ignifuges et isolants. Reconnu pour être cancérigène s’il est inhalé.
Matériau de construction fait de ciment Portland et d’amiante résistant à la propagation des flammes et aux intempéries. Utilisé dans la fabrication de panneaux unis ou ondulés, de bardeaux et de tuyaux.
Réduction graduelle de l’épaisseur d’un matériau jusqu’à ce que l’extrémité soit très mince.
Voir Plomberie, f., terminologie.
Anneau de croissance annuel, m.Annual growth ring,
year ring
La combinaison d’une couche de bois initial (de couleur pâle) et d’une couche de bois final (de couleur foncée) qui apparaissent à la coupe transversale d’un arbre. Un anneau annuel représente la croissance d’une année.
Qualifie une surface préparée pour éviter les glissades.
Opération de répartition ou de surfaçage d’un enduit ou du béton au moyen d’une taloche.
Planche de bois ou pièce d’aluminium ou de magnésium, montée sur un manche, servant à étendre et à lisser le béton fraîchement coulé.
Appareil, m.Appliance [1]; bond [2](1) Dispositif ou instrument conçu pour exécuter un travail particulier, notamment un appareil électrique tel qu’un grille-pain, une laveuse, une sécheuse, une cuisinière, un réfrigérateur à usage domestique.
(2) En maçonnerie, disposition ou format général des briques ou des blocs constituant un ouvrage de maçonnerie solidaire.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
En maçonnerie, agencement d’éléments où une assise de boutisses alterne avec une assise de panneresses.
Ressemble à l’appareil en panneresse sauf qu’il présente une assise de boutisses à tous les cinq, six ou sept rangs. Voir appareil en panneresse.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Appareil d’éclairage à diodes électroluminescentesDELType de luminaire équipé de diodes électroluminescentes, une source de lumière à faible consommation de courant et à longue durée de vie.
Appareil en panneresse, m.Stretching bondAppareil de maçonnerie où chaque brique est posée de sorte que sa face la plus longue soit en parement, chaque joint vertical étant situé entre les centres des panneresses au-dessus et en dessous.
En maçonnerie, appareil constitué d’assises en boutisses et panneresses alternantes, l’axe des boutisses correspondant à celui des panneresses des assises contiguës.
Électroménager à microprocesseur capable de recevoir et de transmettre des signaux à l’unité de commande d’un système domotique ou à un poste de commande à distance, comme une entreprise de service public.
Ouvrage de maçonnerie n’ayant aucun motif régulier.
Appartement, m.ApartmentPièce ou groupe de pièces servant de logement dans un ensemble d’habitation ou une maison. Voir logement collectif.
Voir Habitations, f. pl., types.
Construction secondaire adossée à un bâtiment principal et surmontée d’un toit à pente unique.
Augmentation de la température qui survient lorsque l’énergie solaire thermique pénètre dans un bâtiment par les fenêtres, réchauffe les espaces intérieurs puis est absorbée par les planchers, les murs et d’autres éléments de masse thermique. C’est une stratégie de chauffage solaire des locaux qui consiste à recevoir,
à capter, à emmagasiner et à rediffuser l’énergie solaire au sein
d’un même espace conditionné. Syn. : gain solaire direct.
Apprêt bouche-pores, m.SealerEnduit appliqué directement sur une surface non revêtue comme le bois, le béton, la maçonnerie, le coulis de carreaux de céramique et d’autres matériaux afin d’en protéger la surface et d’empêcher la pénétration d’humidité.
Façon d’envisager la conception et l’occupation d’une maison, et d’en comprendre la performance, qui tient compte des effets cumulatifs et de l’interaction de l’enveloppe du bâtiment avec les systèmes de chauffage et de climatisation et avec les autres installations mécaniques, ainsi que du mode de vie des occupants.
Appui de fenêtre, m.SillÉlément transversal inférieur d’une baie de fenêtre. Voir aussi
Fenêtres, f. pl., terminologie : appui.
Arc en tiers-point, m.OgiveArc équilatéral ou gothique.
Rangée d’arches soutenues par des colonnes qui peuvent être fixées ou non à un bâtiment.
Élément architectural allongé, en général cintré, enjambant un espace vide, une ouverture ou un passage, reposant à ses deux extrémités sur des piliers, des culées ou des murs et utilisé pour supporter une charge et résister à la pression.
Arête, f.HipAngle saillant formé par l’intersection de deux pentes de toit.
Argile réfractaire, f.Fire clayArgile résistant aux températures élevées servant à fabriquer la brique réfractaire et employée comme mortier entre les briques réfractaires.
Arrêt, m.StopMoulure le long des bordures intérieures d’un cadre de porte ou de fenêtre.
L’arrêt contre lequel la porte se bute en se fermant, sur la face d’un cadre de porte.
Ascenseur, m.ElevatorAppareil constitué d’une cabine mobile assurant le déplacement vertical des personnes, étant soit suspendu par des câbles, soit supporté (ascenseur hydraulique sur piston).
Asperseur, m.SprinklerAppareil d’arrosage automatique des pelouses et des jardins. Syn. : arroseur.
Hydrocarbure très visqueux dont la couleur varie du brun foncé au noir, qui est produit à partir de résidus de la distillation
du pétrole et qui entre dans la fabrication de matériaux de toiture et autres matériaux de construction comme agent d’imperméabilisation ou de collage. Voir Revêtements de sol
extérieurs, m. pl., terminologie.
Assemblage à contre- profil, m.CopingTrait de scie à la jonction de deux éléments de garniture qui se rencontrent à un angle.
Chaque rangée continue de briques ou d’éléments de maçonnerie; le terme s’applique aussi aux bardeaux.
Premier rang d’éléments de maçonnerie.
Rang d’un mur où tous les éléments de maçonnerie sont des boutisses.
Assise d’un mur où les éléments de maçonnerie sont disposés de façon à ce que leur face la plus longue soit en parement.
Âtre, m.HearthPartie du foyer où l’on fait du feu.
Cour intérieure de un ou plusieurs étages sur laquelle peuvent donner certaines pièces d’un bâtiment.
Agrafe métallique servant à fixer solidement les éléments de la toiture à la sablière.
(1) Mesures et dispositifs visant à réduire la transmission du bruit.
(2) Diminution du niveau d’intensité d’un son lorsqu’il traverse une porte, une fenêtre, un mur, un toit ou un plancher.
Élévation de la partie d’une construction ou d’un élément du site qui arrive à égalité avec le sol environnant.
Couche extérieure de l’arbre contenant des cellules vivantes, de couleur généralement plus claire que le duramen et moins résistante à la pourriture.
Se dit de la partie d’une construction ou d’un élément du site qui est située sous le niveau fini du sol environnant.
Partie d’une construction ou d’un élément du site qui est située plus haut que le niveau du sol environnant.
Se dit d’un élément qui fonctionne de lui-même au moyen d’un dispositif mécanique ou électrique (p. ex. une pompe de puisard ou une porte de garage automatique).
Petite toiture en surplomb d’une fenêtre ou d’un porche. Voir
Fenêtres, f. pl., terminologie. et Châssis, m., types.
Petite toiture placée au-dessus d’une ouverture dans un mur extérieur ou d’un passage.
Rétrécissement entre le foyer et la chambre à fumée ou le conduit de fumée.
Avertisseur de fumée, m.Smoke alarmDispositif de sécurité qui détecte la fumée dans l’air ambiant et déclenche une sonnerie d’alarme pour aviser les occupants du danger d’incendie.
Appareil portatif émettant des vibrations lorsque la sonnette de porte est actionnée ou qu’un autre événement se produit à
la maison. Sert aux personnes ayant des troubles de l’ouïe ou de la vue, aux personnes à mobilité réduite ou aux malades alités.
Appareil doté d’un clignotant destiné aux personnes malentendantes ou sourdes, mais convenant également aux milieux où le silence est important.
Azimut, m.AzimuthOrientation d’une ligne horizontale par rapport au nord, mesurée en degrés dans le sens des aiguilles d’une montre.
B
Baguette d’angle, f.Angle bead [1];
corner bead [2]
(1) Petite moulure protectrice posée sur les angles saillants formés par l’intersection de deux murs revêtus d’un enduit ou réalisés avec des plaques de plâtre.
(2) En plâtrage, bande en métal se plaçant aux angles saillants avant l’application de l’enduit dans le but de les protéger, de les aligner et de les renforcer. En revêtement de plaques de plâtre, bande en métal ou en bois fixée pour protéger les angles saillants contre les dommages.
Baguette taillée à onglet sur la face intérieure d’un châssis pour maintenir le verre en place. Syn. : parclose.
L’un des intervalles ou espaces dans lesquels un bâtiment est divisé par des poteaux, piliers ou murs de séparation. Voir aussi Fermes, f. pl., terminologie.
Baignoire, f.BathtubAppareil sanitaire fixe composé d’une cuve dans laquelle une personne peut se baigner.
Baignoire coupée par une porte s’ouvrant par le côté et destinée à en faciliter l’accès aux personnes à mobilité réduite.
Baignoire profonde encastrée dans le plancher ou placée loin des murs.
Baignoire profonde équipée d’une pompe faisant circuler l’eau. Syn. : bain tourbillon.
Balcon, m.BalconyGalerie ou plate-forme en porte-à-faux ou soutenue faisant saillie sur le mur d’un bâtiment et fermée par une balustrade ou un garde-corps. Voir aussi Ouvrages extérieurs, m. pl., terminologie.
(1) Matière telle que le gravier servant à assujettir l’isolant et le complexe d’étanchéité d’une toiture.
(2) Dispositif servant à maintenir la tension du courant circulant dans un circuit électrique (voir Électricité, f., terminologie.).
Garde-corps plein ou ajouré d’environ 900 à 1 100 mm (35 à 43 po) de hauteur, placé en bordure d’une ouverture dans le plancher ou le long d’un escalier, d’un palier, d’un balcon, d’une mezzanine, d’une galerie, d’un passage piéton surélevé ou à tout autre endroit où il faut prévenir une chute accidentelle en raison de la dénivellation. Voir garde-corps.
Élément vertical d’une balustrade placé entre la main courante et la marche d’un escalier ou entre une rampe horizontale et le plancher. Voir garde-corps.
Lettrage marqué en relief ou bandes texturées avertissant les personnes atteintes de troubles visuels du début et de la fin d’un escalier ou signalant une autre caractéristique d’aménagement dans une maison.
Bande de matériau (généralement du bois) servant de base à la fixation des revêtements de finition.
Matériau de toiture appliqué sur le débord de toit pour assurer l’imperméabilisation en obturant les espaces sous les découpes et les joints du premier rang de bardeaux.
Bardage, m.SidingMatériau (autre que la maçonnerie ou le stucco) utilisé comme revêtement mural extérieur.
(1) Revêtement mural constitué de planches de 100 à 300 mm (3,94 à 11,81 po) de largeur, plus minces d’un côté, et posées horizontalement, le côté le plus épais d’une planche chevauchant le côté le plus mince de celle du dessous.
(2) Revêtement mural extérieur en bois posé horizontalement dont les planches se chevauchent pour mieux résister aux intempéries. Syn. : clin.
Revêtement extérieur rainuré et posé à chevauchement.
Élément de couverture relativement mince et petit, posé par rangs à recouvrement, s’utilisant également comme revêtement des murs d’un bâtiment.
Élément de couverture ou de revêtement mural obtenu par le fendage (et non pas le sciage) d’une billette de bois.
Formation d’une couche de glace sur une couverture, la plupart du temps à la hauteur du débord de toit, qui peut entraîner des infiltrations d’eau dans le vide sous toit puis à l’intérieur de la maison lorsque la couche de glace s’épaissit au point de faire refouler l’eau de fonte sur la couverture, qui peut alors passer sous les bardeaux. Révèle habituellement une isolation thermique insuffisante et/ou la montée dans le vide sous toit d’air chaud provenant de l’intérieur de la maison. Syn. : barrière de glace.
Barre d’armature présentant une surface nervurée pour assurer un meilleur liaisonnement entre la barre et le béton dans lequel elle est noyée.
Barre transversale placée sur une porte de sortie qui, lorsqu’on la pousse, libère le verrou et permet d’ouvrir la porte vers l’extérieur. Équipe habituellement les issues de secours pour faciliter l’évacuation des bâtiments.
Voir Électricité, f., terminologie.
Voir Électricité, f., terminologie.
Barre d’appui, f.Grab barPoignée fixée sur un mur pour soutenir le poids d’une personne ou l’aider à se maintenir en équilibre. Souvent utilisée dans les salles de bains pour faciliter l’utilisation de la toilette et l’accès à la baignoire ou à la douche.
Petite tige d’acier noyée dans le béton dans le but de prévenir la fissuration attribuable à la dilatation ou à la contraction.
Bassin collecteur, m.Catch basinBassin souterrain généralement construit à la ligne de démarcation d’une rue pour diriger les eaux de surface vers un égout pluvial ou un sous-branchement d’égout et qui comporte un puisard à sédiments servant à retenir les grosses particules et les détritus.
Bateau, m.Lowered curbSection d’une bordure qui est abaissée pour favoriser la transition sans obstacles d’une surface à une autre. Syn. : bordure abaissée.
Ouvrage d’encadrement non fini d’une ouverture destinée à recevoir une porte ou une fenêtre. Voir aussi Fenêtres, f. pl., terminologie.
Battement, m.AstragalMoulure fixée à l’une des extrémités d’une porte à deux battants ou d’un châssis double pour assurer l’étanchéité lorsque les portes ou les fenêtres sont fermées.
Besace, f.CricketPetite construction de toit à la jonction d’une cheminée ou d’un autre ouvrage vertical et d’un toit, dirigeant l’eau de pluie derrière l’ouvrage en question. Syn. : dos d’âne. Voir solin en dos d’âne.
Mélange soigneusement proportionné de ciment, de gros et de petits granulats et d’eau.Voir Béton, m., terminologie.
Affaissement, m.SlumpMesure de la dureté et de la consistance du béton fraîchement malaxé immédiatement après l’enlèvement du cône d’Abrams.
Béton dans lequel on a inclus un agent entraîneur d’air qui forme de minuscules bulles d’air, ce qui améliore la résistance au gel et dégel.
Béton léger contenant de minuscules bulles d’air qui occupent une grande partie de sa masse. Son indice de transmission du son et de la chaleur est inférieur à celui du béton ordinaire.
Syn. : béton cellulaire
Béton dans lequel on a noyé une armature constituée de barres ou de treillis d’acier de façon que les deux matériaux agissent solidairement pour résister aux efforts. Souvent utilisé pour les planchers, les poteaux et les poutres en béton.
Voir béton aéré.
Béton ordinaire, m.Plain [unreinforced] concreteBéton qui ne contient aucune armature. Syn. : béton non armé.
Élément de construction composé de ciment, de petits granulats et de sable, couramment utilisé pour l’érection de murs porteurs, de remplissage et de fondation.
Ensemble de panneaux de bois ou de métal ou matière textile dans lesquels on coule du béton pour mettre en place, une fois qu’il a pris et durci, des fondations, des semelles, des murs, des piliers ou d’autres éléments porteurs. Syn. : coffrage.
Coffrage modulaire (en blocs ou en panneaux) constitué de parois de polystyrène rigide parallèles dont l’écartement est maintenu par des entretoises en métal ou en plastique entre lesquelles est coulé du béton pour former des murs hors sol et sous le niveau du sol.
Durcissement du béton dans des conditions de température et d’humidité réglées pour favoriser une réaction chimique continue et lui permettre de développer la résistance et les propriétés voulues.
Bidet, m.BidetAppareil sanitaire semblable à une toilette, muni d’un robinet et d’un tuyau d’évacuation et dont la cuvette sert tout spécialement à laver les régions génitale et anale.
Bord taillé obliquement.
Hydrocarbures, comme ceux que l’on trouve dans l’asphalte (voir ce mot) et l’asphalte minéral.
Bloc, m.Masonry blockÉlément de béton fabriqué en usine. Voir Construction, f., types.
Bloc de maçonnerie dont la masse présente des bulles d’air distribuées uniformément.
Bloc parapluie, m.Splash blockPetit bloc de maçonnerie posé sur le sol, sous une descente pluviale, pour recevoir les eaux d’évacuation du toit et les éloigner du bâtiment.
Bois d’œuvre, m.TimberPièce de bois d’au moins 125 mm (4,92 po).
Bois de construction destiné à soutenir des charges, donc classé suivant qu’il convient tout à fait à l’usage prévu.
Voir Bois d’ingénierie, m., terminologie.
Bois de construction, m.LumberBois précoupé utilisé dans la construction ou le travail du bois.
À grain serré, loc. adj.Fine-grainBois dont les anneaux de croissance annuels sont étroits. Syn. : à fil serré.
Décoloration du bois qui devient bleu gris sous l’effet de certains champignons ou insectes. Modifie l’apparence, mais n’altère généralement pas la résistance du bois.
Forme d’embrèvement pour le bois de construction, où une section de la moitié de l’épaisseur de la planche est enlevée
de la rive supérieure alors qu’une section identique est enlevée de la rive inférieure opposée.
Bois dont la résistance a été déterminée par une machine plutôt que par l’examen visuel d’un classeur de bois.
Bois n’ayant reçu aucun corroyage après sa coupe par sciage.
Voir bois sans défauts.
Bois de construction qui a été séché dans un séchoir.
Bois insuffisamment séché dont la teneur en eau est supérieure au point de saturation des fibres (environ 25 à 30 %).
Voir Bois d’ingénierie, m. terminologie.
Bois de construction taillé à des longueurs régulières (par exemple, les poteaux muraux).
Planche ou madrier langueté sur une rive et rainuré sur l’autre de manière à ce que les rives puissent s’emboîter l’une dans l’autre.
Bois sans défauts, m.Clear lumberBois exempt de nœuds ou d’autres irrégularités. Syn. : bois de construction clair.
Bois séché sans chaleur artificielle.
Assemblage d’éléments en bois dont les extrémités sont languetées et rainurées.
Classification du bois établie selon la résistance ou l’aspect.
Se dit du bois convenant au travail général de construction, ayant trop de défauts pour servir à la finition.
Dresser par rabotage une ou plusieurs faces d’une pièce de bois de sciage.
Face d’une pièce de bois ou d’un panneau qui a la plus belle apparence. Syn. : face la plus belle; parement (dans le cas d’un contreplaqué).
Qualifie un bois de grande qualité classé pour sa belle apparence. Syn. : structure choisie.
Bois scié de façon tangentielle par rapport aux anneaux de croissance annuels, de sorte que les anneaux de la grume forment un angle de moins de 45 degrés par rapport à la face la plus large. Les pièces de bois ainsi débitées se caractérisent par un veinage arqué sur la face la plus large.
Bois scié environ à angle droit par rapport aux anneaux de croissance annuels, de sorte que les anneaux forment un angle se situant entre 45 et 90 degrés par rapport à la surface la plus large. Voir débit sur quartier.
Bois scié le long du rayon d’une grume à un angle de 45 à
90 degrés par rapport aux anneaux de croissance annuels. On dit qu’une grume est débitée sur quartier puisque le tronc est d’abord coupé en quatre sur toute sa longueur, chaque quartier étant ensuite débité en planches dans le sens radial. La face la plus large du bois débité sur quartier est alignée sur le rayon
de la grume, de sorte que les anneaux de croissance ont une orientation oscillant entre 45 et 90 degrés par rapport à la face
la plus large. Voir débit sur maille.
Défaut, m.DefectDéfaut ou irrégularité dans le bois de construction qui en compromet l’utilité, la durabilité, la résistance ou l’aspect.
Dimension d’une pièce de bois corroyée et séchée.
Dimensions du bois de construction dont les faces ont été dressées par rabotage.
Dimensions approximatives du bois avant séchage et corroyage. Par exemple, les dimensions réelles d’une pièce aux dimensions nominales de 2 x 4 po sont d’environ 1¾ x 3½ po.
Degré d’humidité à partir duquel le bois ne perd ni ne gagne d’humidité quand il est exposé à l’air et à une humidité relative donnée. Syn. : taux d’humidité d’équilibre.
Fente, f.CheckFissure longitudinale dans le bois pouvant être causée par un séchage trop rapide.
Disposition ou direction des fibres du bois (fil tors, fil tranché, etc.) et largeur relative des anneaux de croissance (fil grossier, fil fin, etc.). Syn. : grain, veine.
Fibres du bois qui ne sont pas parallèles à la longue dimension d’une pièce de bois. Syn. : fil tranché, veines transversales.
Flache, f.WaneÉcorce ou manque de bois sur le bord ou dans un angle d’une pièce de bois.
Déformation d’une pièce de bois comme une courbure, un voilement ou une torsion à la suite du séchage.
Joint à entures multiples, m.Finger jointJoint d’assemblage en bout de pièces de bois réunies par de nombreuses saillies qui pénètrent les unes dans les autres et sont liées par un adhésif.
Pièce de bois d’au moins 114 mm d’épaisseur conçue pour soutenir une charge sur sa largeur.
Bois de construction brut, m.
bois de construction clair, m.
bois de construction séché au séchoir, m.
bois de construction vert, m.
bois de copeaux parallèles, m.
bois de feuillus, m.
HardwoodsVoir Bois de construction, m., terminologie. Voir Bois de construction, m., terminologie. Voir Bois de construction, m., terminologie. Voir Bois de construction, m., terminologie. Voir Bois de construction, m., terminologie.
Bois des essences feuillues qui, à part quelques exceptions, sont des arbres à feuilles caduques et à limbes larges. Syn. : feuillu.
Voir Bois d’ingénierie, m., terminologie.
Bois de résineux, m.SoftwoodBois appartenant à la famille des conifères et des arbres à feuilles persistantes couramment utilisés dans la construction à ossature de bois. Syn. : résineux, bois de conifère, boistendre.
Arbres gisants ou grumes destinés à la conversion en produits de bois de construction.
Bois ignifugé, m.Fire-retardant-treated woodProduit de bois dont les réactions au feu sont ralenties par imprégnation de produits chimiques ignifuges.
Bois sur pied, m.TimberArbres sur pied, de dimensions commerciales.
Bois traité, m.Treated lumberProduit du bois qui a été traité pour améliorer sa résistance à la pourriture ou au feu.
Bois traité sous pression avec du borate pour améliorer sa résistance à la pourriture et le protéger contre les insectes.
Bois traité en autoclave avec des produits chimiques qui le protègent contre la détérioration par les éléments et les insectes.
Élément de finition intérieure et extérieure d’un bâtiment
tel que les moulures posées autour des ouvertures (boiserie de fenêtre, boiserie de porte) ou au plancher et au plafond (plinthe, corniche, moulure à cadre, etc.).
Pièce de bois constituée de plusieurs planches disposées verticalement aux angles saillants d’une construction à ossature de bois, où s’aboutent les extrémités du bardage.
Boiserie extérieure, f.Exterior trimMoulures et autres éléments extérieurs utilisés pour assurer une finition et couvrir les rives apparentes et les joints non protégés du revêtement extérieur d’un bâtiment, ou encore pour servir de joint entre des éléments tels que le toit et les murs, les murs et les fenêtres, etc.
Boîte à rideaux, f.ValanceBoîte décorative fixée à la tête d’une fenêtre pour dissimuler la quincaillerie et le haut des rideaux.
Boîtier de raccordement, m.
boîtier de raccordement à 90 °, m.
boîtier de raccordement terminal, m.
boîtier de raccordement universel, m.
bordure, f.
Curb [1]; edging [2]Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
(1) Bande de béton basse, étroite et continue qui marque et soutient le rebord d’un chemin, d’un terrain de stationnement, d’un trottoir ou d’une autre surface.
(2) Bande solide, souvent réalisée avec des pavés en pierre, qui marque la limite entre deux matériaux de surface; souvent employée afin de séparer une pelouse et du gravier.
Planche de finition horizontale, placée à la verticale, recouvrant l’extrémité exposée des chevrons et des fermes. Peut aussi servir à fixer les gouttières.
Bordure de pignon, f.Barge board, facer board, verge boardPlanche de finition extérieure, unie ou moulurée, disposée en bordure du pignon.
Section d’une bordure dont l’un des côtés est abaissé, permettant à des véhicules de la franchir avec facilité.
Borne, f.MonumentRepère fait de pierre ou de métal destiné à marquer de façon permanente une limite de propriété et son élévation. Voir borne-repère.
Boîtier de métal logeant les branchements d’électricité, de téléphone et de câblodistribution. Syn. : piédestal.
Tige, poteau, bloc ou autre dispositif durable placé dans le sol par les arpenteurs afin d’indiquer un point précis qui permet d’établir les élévations.
Bouchon de sécurité, m.Safety plugBouchon de plastique qu’on insère dans les prises de courant pour protéger les enfants contre les chocs électriques.
Tôle protectrice continue en acier inoxydable placée sur le dessus d’un mur de fondation ou à la hauteur des piliers de fondation afin d’empêcher les termites de passer du sol à la maison.
Boulon à expansion, m.Expansion boltBoulon constitué d’un fourreau déformable et d’un écrou qui assure l’expansion du fourreau utilisé pour fixer des pièces de bois ou de métal à un mur de béton ou de maçonnerie.
Boulon d’acier utilisé pour fixer un élément de charpente dans du béton ou de la maçonnerie. Il est généralement déformé à une extrémité pour assurer une bonne prise dans le béton ou la maçonnerie dans lequel il est ancré.
Boulon à tête arrondie utilisé dans l’assemblage de structures en bois lorsque cette tête doit être exposée.
Boulon à tête carrée ou hexagonale dont la partie supérieure de la tige n’est pas filetée.
Boutisse, f.HeaderÉlément de maçonnerie dont la plus petite face se présente en parement à la surface d’un mur.
Brique, f.BrickÉlément de maçonnerie généralement fabriqué avec de l’argile cuite.
Brique ayant une forme biseautée; aussi, brique dont la face est incurvée et qui convient pour la construction de puits ou d’autres ouvrages circulaires.
Brique conçue pour être employée dans les murs construits suivant les normes de dimensions modulaires.
Brique faite d’argile résistant aux températures élevées utilisée dans la construction des foyers, appareils de chauffage et cheminées.
En maçonnerie, morceau de brique dont une extrémité est normale et l’autre brisée.
En plomberie, dispositif servant à briser en gouttelettes le jet d’eau d’un robinet afin d’accroître l’efficacité du mouillage (il faut moins d’eau pour mouiller une plus grande surface) et de rehausser le goût de l’eau.
Broyeur de déchets, m.Garbage disposal deviceBroyeur d’ordures monté sur le tuyau d’évacuation d’un évier de cuisine qui réduit les déchets alimentaires en parcelles suffisamment petites pour être entraînées dans le réseau de canalisations d’évacuation de la maison.
Butoir, m.BollardPoteau en bois, en béton ou en acier qui empêche l’entrée de véhicules dans une zone.
Dispositif ajusté à une porte ou au plancher près d’une porte, ou au mur, pour retenir la porte en position complètement ouverte ou pour l’empêcher d’être ouverte au-delà d’un certain angle.
C
Cale, f.BlockingPetite pièce de bois utilisée entre des éléments d’ossature pour les contreventer et pour fixer des plaques de plâtre, des tablettes et des armoires.
Cale de réglage, f.ShimMorceau mince d’un matériau, parfois biseauté, employé pour remplir un interstice, mettre des objets de niveau ou positionner et soutenir un élément de construction, tel qu’une porte ou une fenêtre, afin de l’installer dans son bâti d’attente.
Bourrer un joint au moyen d’un matériau d’étanchéité.
(1) Norme de mesure du diamètre du fil, de la broche ou des clous, etc. Syn. : épaisseur.
(2) Norme de mesure de l’épaisseur de la tôle. Manufacturer’s Standard Gauge (MSG) pour la tôle à nu, Galvanized Sheet Gauge (GSG) pour la tôle d’acier galvanisé. Syn. : épaisseur.
Mince couche de cellules située sous l’écorce d’un arbre et formant chaque année un nouvel anneau qui contribue à l’accroissement en diamètre des tiges et des racines.
(1) Incurvation d’une pièce de bois de construction, sur sa longueur, mesurée à son écart le plus grand de la ligne droite. Souvent appliquée au bois de construction.
(2) Contre-flèche prévue dans une arche, barre, poutre ou grosse poutre pour neutraliser la flèche due à sa charge permanente ou à toute surcharge.
Voir Plomberie, f., terminologie.
Incrustation arrondie sur une colonne ou un pilastre.
Voir Ventilation, f., terminologie.
Charge par unité de surface d’une construction ou d’un sol que peut supporter cette construction ou ce sol.
Voir Ventilation, f., terminologie.
Écoulement d’un liquide dans des tubes très fins d’un matériau ou entre deux matériaux sous l’effet de l’action capillaire.
Capteur d’énergie solaire dont le fluide caloporteur est l’air.
Capteur à liquide, m.Liquid collectorCapteur d’énergie solaire dont le fluide caloporteur est l’eau ou un autre liquide.
Dispositif qui transforme le rayonnement solaire en électricité utilisable.
Dispositif qui transforme le rayonnement solaire en énergie thermique ou en électricité utilisable.
Capteur solaire qui réchauffe de l’air.
Capteur solaire qui réchauffe un liquide tel que l’eau ou une solution de glycol.
Capteur solaire qui permet de produire de l’électricité.
Capuchon de connexion, m.
CAQ
ACQVoir Électricité, f., terminologie.
Abréviation de cuivre ammoniacal quaternaire. Produit chimique de préservation du bois. Voir ACC.
Carré, m.SquareMesure correspondant à 100 pieds carrés utilisée pour les matériaux de couverture et de revêtement. Syn. : toise.
Carreau, m.TilePetite pièce de céramique ou de pierre qui est un composant d’une surface carrelée.
Carrelage, m.TileRevêtement fait de petites pièces de céramique ou de pierre fixées dans un coulis ou un autre matériau semblable.
Barre posée dans le joint entre l’appui en bois et la maçonnerie ou l’appui en bois et le châssis d’une fenêtre pour empêcher la pénétration de l’eau.
Substance provoquant une réaction chimique sans toutefois subir elle-même de modification. Par exemple, le catalyseur d’un appareil à combustion catalytique est un dispositif de forme alvéolaire revêtu de céramique à travers lequel les gaz de combustion sont évacués.
CCBCWCAbréviation de Conseil canadien du bois.
Cendre, f.AshRésidu pulvérulent de la combustion d’un combustible solide.
Chaleur requise pour évaporer un liquide, ou chaleur produite par la condensation d’une vapeur en un liquide sous température constante.
Énergie thermique produite par un changement de température d’une substance sans provoquer le changement de l’état de la substance. Ne comprend pas la chaleur latente.
Encadrement de baies et de certains autres éléments servant à cacher des joints ou à décorer.
Montants dans un mur ou une cloison auxquels une porte est fixée.
Chambre à fumée, f.Smoke chamberPartie d’un foyer qui le raccorde à la cheminée et permet l’évacuation des gaz de combustion.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Champignon décomposeur, m.Decay fungiOrganisme microbiologique qui subsiste en s’attaquant au bois, y compris au bois des bâtiments. Syn. : champignon de la carie.
Microorganismes décomposeurs s’apparentant aux végétaux qui assimilent et métabolisent les déchets et matières organiques et existent sous forme de moisissures et de levures.
Rive en pente ou biseautée.
Chanlatte, f.Cant stripPièce de bois triangulaire généralement installée au périmètre des toits plats ou à la jonction d’un toit et d’un mur contigu.
Petit orifice ménagé au bas d’un mur de soutènement ou d’un placage de maçonnerie servant à évacuer l’eau de l’autre côté de la face du mur.
Lieu où se déroulent ou peuvent se dérouler des travaux de construction ou des travaux au sens large. Syn. : emplacement de construction.
Bloc ou autre matériau de recouvrement formant le dessus d’un mur exposé aux intempéries, conçu pour favoriser l’écoulement des eaux.
Partie supérieure d’une colonne, d’un pilastre ou d’un pilier élargie à des fins décoratives ou pour répartir les surcharges.
Contenu combustible d’une pièce ou d’une aire de plancher, tel que le mobilier, le revêtement de sol, les murs, les plafonds, les boiseries ainsi que les cloisons temporaires et amovibles, exprimé en fonction du poids moyen des matériaux combustibles par mètre carré.
Charge de chantier, f.Site preloadDéblai de sable ou de gravier placé sur un terrain afin de compresser le sol et d’améliorer sa capacité portante avant d’y ériger un bâtiment.
Charnière simple, f.Butt hingeType de charnière de porte le plus courant, qui comprend des lames fixées à la porte et au cadre de porte.
Assemblage d’éléments constituant la structure, le bâti d’un bâtiment. Syn. : ossature.
Charpenterie, f.FramingOuvrages en bois brut d’une maison, dont les planchers, la toiture, les murs extérieurs, les cloisons, les plafonds et les poutres.
Exercice dirigé par un animateur auquel participent des personnes possédant une expertise, des connaissances et une expérience diverses (urbanistes, architectes, architectes paysagistes, ingénieurs, entrepreneurs en construction,
promoteurs, spécialistes en tout genre, enseignants, étudiants, représentants du milieu, fonctionnaires gouvernementaux et leaders locaux) qui mettent en commun leurs talents pour résoudre des problèmes, chercher des occasions, relever des défis et trouver des solutions novatrices en matière de planification, de conception, de construction et d’exploitation de manière à établir
des ponts entre les objectifs multiples et les intérêts communs.
Allumeur à surface chaude, m.Hot surface igniter [HSI]Type de système d’allumage électronique.
Appareil de chauffage construit de manière à ce que tout l’air de combustion soit tiré directement de l’extérieur et que les produits de la combustion soient expulsés directement à l’extérieur, par des conduits fermés indépendants raccordés à l’appareil.
Appareil qui transforme l’énergie d’un combustible ou de l’électricité en chaleur.
Générateur de chaleur qui chauffe le local dans lequel il est situé sans être relié à des conduits.
Appareil compact qui fournit de l’air chaud ou froid directement au local dans lequel il est installé de façon permanente. La partie intérieure de l’appareil est raccordée à un condenseur placé à l’extérieur du bâtiment. Voir conditionneur d’air à deux blocs.
Appareil à air pulsé, généralement raccordé à un système de diffusion d’air, qui effectue l’une ou plusieurs des fonctions suivantes : chauffage, climatisation, ventilation, filtration, mélange d’air, humidification, déshumidification.
Appareil à combustion conçu pour être raccordé à un système d’évacuation des gaz de combustion qui expulse les produits de la combustion à l’extérieur.
Thermostat détectant la température de l’eau dans une chaudière ou un chauffe-eau et commandant la pompe de circulation ou
le brûleur.
Conduit en céramique ou en métal formant une paroi à l’intérieur d’une cheminée en maçonnerie. Les tubages de céramique doivent être installés au moment de la construction de la cheminée. Les tubages métalliques sont généralement installés après coup pour remédier à des problèmes de détérioration ou pour modifier une cheminée existante afin qu’elle puisse servir
à des appareils à combustion pour lesquels elle n’a pas été conçue
à l’origine. Syn. : tubage de cheminée.
Boîtier de raccordement, m.Boot [forced air system]Raccord de tôle généralement situé à un point d’approvisionnement qui unit un tuyau rond à un tuyau rectangulaire, à un registre ou à un diffuseur. Les principaux types sont le boîtier de raccordement à 90 °, le boîtier de raccordement universel et le boîtier de raccordement terminal.
Pièce de raccordement en tôle où le tuyau entrant est à angle droit par rapport à l’ouverture rectangulaire, de sorte que le parcours de l’air tourne à 90 degrés.
Boîte de tôle dans laquelle le tuyau d’entrée est fixé au côté court de l’ouverture rectangulaire et le parcours de l’air tourne à 90 degrés.
Boîte de tôle dans laquelle le tuyau d’entrée d’air est à angles droits par rapport à l’ouverture rectangulaire et le parcours de l’air est direct.
Grille non ajustable située à l’extrémité d’une gaine de dérivation.
(1) Dispositif d’allumage et de combustion d’un gaz dans la zone prévue à cette fin d’un appareil à combustible.
(2) Partie d’un appareil ou d’un générateur d’air chaud qui produit une combustion ou de la chaleur.
Ensemble qui comprend un ventilateur de tirage forcé, un dispositif d’allumage à pompe et un système qui mélange le combustible et l’air, éléments constituant habituellement un appareil à combustion alimenté au mazout.
Brûleur à mazout hautement efficace utilisé dans les générateurs d’air chaud et les chaudières. Ce type de brûleur permet un meilleur mélange d’air et de combustible et nécessite un excès d’air moins grand pour assurer une bonne combustion.
Brûleur sans ventilateur, aspirant l’air ambiant pour réaliser un mélange inflammable aux fins de la combustion.
Abréviation de Btu par heure, unité de mesure couramment utilisée pour coter la puissance calorifique d’un appareil et les taux du flux d’énergie calorifique ou frigorifique.
Partie d’un appareil de chauffage où l’air et le combustible se mélangent et s’allument, et où la combustion se produit.
Chambre de répartition d’air, f.
charge de chauffage, f.
Heating loadVoir plénum.
Quantité de chaleur nécessaire pour maintenir un bâtiment à une température donnée durant la saison de chauffage, peu importe la température extérieure.
Récipient sous pression qui utilise un combustible ou l’électricité pour chauffer de l’eau afin de fournir de la vapeur ou de l’eau chaude pour le chauffage des locaux, la production d’eau chaude domestique, l’humidification ou toute autre application, telle que la génération d’électricité.
Chaudière à eau chaude dont l’eau est chauffée par des éléments électriques.
Installation de chauffage comportant un réseau de conduits, mais pas de ventilateur de circulation, dans laquelle l’air chauffé circule par différence de densité.
Chauffage par circulation de vapeur dans un réseau de tuyaux et de radiateurs.
Installation de chauffage dont la source de chaleur est le gaz naturel ou le gaz propane.
Installation de chauffage qui distribue la chaleur dans plusieurs pièces à partir d’un appareil central qui n’est pas situé dans les locaux chauffés.
Méthode par laquelle une installation à air pulsé ou à eau
peut chauffer ou climatiser des zones distinctes d’un bâtiment, habituellement à partir d’un même appareil. Lorsque le système de distribution est conçu et installé de manière à pouvoir desservir deux zones indépendantes ou plus dans un bâtiment, il est mieux en mesure de répondre aux besoins de
conditionnement d’une zone sans devoir conditionner l’ensemble du bâtiment si ce n’est pas nécessaire.
Chauffage (climatisation) des pièces ou des espaces à l’intérieur d’un bâtiment.
Chauffage fourni à un local qui s’ajoute au chauffage minimum requis pour ce local, généralement commandé à partir
d’un thermostat distinct et conçu pour maintenir le confort
des occupants.
Chauffage par panneaux rayonnants, m.Panel heatingChauffage réalisé au moyen de serpentins ou de conduits installés dans les pans de mur, de plancher ou de plafond afin d’établir une grande surface de chauffage à basse intensité.
Système de chauffage dont les conduits d’air chaud sont situés au périmètre des locaux et sont généralement encastrés dans la dalle de béton d’une maison sans sous-sol.
Système de chauffage dont les conduits d’air chaud s’étendent radialement d’un plénum central jusqu’au périmètre des locaux et sont habituellement encastrés dans la dalle de béton d’une maison sans sous-sol.
Système de chauffage conçu pour transférer directement l’énergie rayonnante d’une source de chaleur aux objets ou aux occupants de l’espace chauffé. Dans les habitations, les systèmes à chauffage rayonnant présentent le plus souvent des câbles électriques ou des canalisations d’eau chaude disposés en boucles à l’intérieur des plafonds, des murs ou des planchers.
Petit appareil de chauffage électrique situé dans le plénum d’air chaud.
Appareil de chauffage autonome, souvent dépourvu d’évent, alimenté au kérosène.
Appareil de chauffage autonome équipé d’une cheminée ou d’un autre dispositif permettant d’évacuer les produits de la combustion à l’extérieur d’une maison.
Chemisage souple préfabriqué destiné aux chambres de combustion des appareils de chauffage équipés d’un brûleur au mazout à rétention de flamme.
Matériau hautement réfractaire qui recouvre l’intérieur de la chambre de combustion.
Réseau de tuyaux et de composants reliés à un appareil à combustion pour évacuer les produits de combustion à l’extérieur.
Voir système de reprise.
Climatisation, f.Air conditioning [1]; space cooling [2](1) Dans son acception générique, ce terme est synonyme de
« conditionnement de l’air ». Voir ce terme.
(2) Dans son acception spécifique, ce terme est souvent utilisé dans le sens de « rafraîchissement », par opposition à la notion de « chauffage ».
Appareil ou installation qui rafraîchit l’air à partir d’un lieu central et qui le distribue aux pièces d’une maison. Fait souvent référence à un système de chauffage à air pulsé central dont
le plénum est équipé d’un serpentin de refroidissement pour climatiser les locaux en été. Syn. : conditionneur d’air central.
Mesure de l’efficacité d’une thermopompe ou d’un appareil de climatisation. Rapport de l’énergie d’alimentation à l’énergie de sortie. Un appareil dont l’énergie d’alimentation est de 1 kWh et l’énergie de sortie est de 3 kWh a un coefficient de performance de 3:1.
(1) Dispositif d’admission ou de distribution des fluides ou des gaz dans les installations de plomberie et de chauffage,
les tuyaux d’alimentation en gaz ou les systèmes d’évacuation des gaz de combustion.
(2) Dans une installation à air pulsé, conduit qui transporte l’air conditionné entre la chambre de répartition d’air et les gaines de dérivation individuelles et qui recueille l’air provenant
des gaines de reprise pour le réacheminer vers le plénum de reprise.
Tuyau de raccordement ou chambre qui reçoit les gaz de combustion d’un ou de plusieurs conduits de fumée et les achemine vers un conduit unique. Voir fourreau de cheminée.
Commande d’une chaudière ou d’un système de chauffage à eau potable qui assigne la priorité à la fourniture d’eau chaude plutôt qu’au chauffage, en cas de demande d’eau chaude.
Réglage de la température de l’air (au moyen d’un appareil de chauffage ou de climatisation), de sa teneur en humidité (avec un humidificateur ou un déshumidificateur) et de sa pureté (par filtration). Syn. : climatisation.
Conditionneur d’air à deux blocs, m.Split system air conditionerSystème de climatisation constitué d’un évaporateur et d’un condenseur reliés par des tubes dans lesquels circule un gaz frigorigène. L’évaporateur est habituellement placé dans la chambre de répartition d’air d’une installation à air pulsé où il utilise le frigorigène provenant du condenseur extérieur pour refroidir l’air circulant dans le réseau de conduits. Une fois réchauffé dans l’évaporateur, le frigorigène est réacheminé
vers le condenseur extérieur où il est refroidi de nouveau avant d’être retourné à l’intérieur vers l’évaporateur. Les systèmes de climatisation non centraux appelés « mini-splits » possèdent aussi un condenseur extérieur, mais l’évaporateur situé à l’intérieur est un appareil autonome utilisé pour climatiser une seule pièce ou un seul espace.
Voir climatiseur central.
Appareil de climatisation dont tous les composants sont regroupés au sein d’un même habillage. Comprend les appareils installés aux fenêtres, dans un mur ou sur les toitures. Voir PTAC.
Tuyau par lequel l’air circule dans une installation de chauffage, de climatisation et de ventilation.
Dans un système de chauffage à eau chaude, commande permettant de relever ou d’abaisser la température de l’eau en fonction des fluctuations de la température extérieure. Ce mécanisme aide le système à mieux atteindre les conditions de confort requises à l’intérieur, à réduire les déperditions thermiques au sein du réseau de distribution et, dans certains cas, à accroître l’efficacité de la chaudière.
Corps de chauffe conçu pour transférer la chaleur qu’il produit (grâce à l’électricité ou à l’eau chaude) à l’air qui circule autour de lui, par convection naturelle ou forcée, ou les deux.
Dispositif placé dans le système d’évacuation, entre la cheminée et le générateur d’air chaud, la chaudière ou le chauffe-eau, conçu pour favoriser l’évacuation des produits de la combustion lorsqu’il y a rupture de tirage, refoulement ou blocage au-delà du coupe-tirage. Sert aussi à prévenir le refoulement d’air dans le générateur d’air chaud et à neutraliser le tirage de la cheminée ou du conduit d’évacuation des gaz brûlés à la mise en marche du générateur d’air chaud afin d’en maintenir l’efficacité. Les appareils de chauffage à haut rendement les plus récents sont parfois dépourvus de coupe-tirage.
Dégagement, m.Clearance(1) Distance entre une surface chaude et un matériau adjacent.
(2) Espace ménagé afin de permettre un accès suffisant pour effectuer des travaux d’entretien ou de réparation.
(3) Distance entre un objet à entretenir et la surface la plus près pouvant compliquer le travail.
Mesure de la différence entre une température de référence – 18 °C – et la température extérieure moyenne pendant une journée. La somme des degrés-jours au-dessous de 18 °C pendant toute la saison sert à calculer les besoins en chauffage.
Terme utilisé pour exprimer une différence de température.
Chaleur totale que perd une habitation par heure (habituellement mesurée en kW ou en Btu par heure) lorsque la température extérieure a atteint la température extérieure de calcul hivernale et que la température intérieure se trouve à la température intérieure de calcul hivernale. Le calcul de la
déperdition de chaleur tient compte des pertes thermiques par conduction qui se produisent à travers les murs, les plafonds, les fondations, les fenêtres et les portes, ainsi que de la chaleur perdue en raison des fuites d’air et de la ventilation. Elle ne
tient pas compte des gains solaires ou internes. Cette donnée est utilisée pour déterminer la puissance de l’appareil de chauffage
d’une habitation.
Échangeur de chaleur, m.Heat exchangerAppareil permettant de transférer la chaleur entre deux fluides (de l’air, un gaz ou de l’eau p. ex.) lorsque ces fluides sont physiquement séparés l’un de l’autre. L’échangeur de chaleur air-air d’un système de ventilation et l’échangeur eau-eau d’un chauffe-eau domestique en sont des exemples.
Fuites intermittentes ou continues de gaz de combustion dans l’air intérieur d’un bâtiment provenant du système d’évacuation. Ces fuites peuvent se produire lorsque le système d’évacuation des gaz de combustion est bloqué ou débranché, ou lorsque
des trous ou des fissures se sont formés par lesquels les gaz de combustion peuvent s’échapper. Les émanations peuvent aussi résulter d’une inversion de tirage. Syn. : refoulement partiel des gaz de combustion.
Terme utilisé pour décrire la teneur en chaleur de l’air, y compris la chaleur sensible et la chaleur latente.
Évacuation des gaz par conduit unique, f.Single-pipe venting systemÉvacuation des gaz de combustion au moyen d’un simple tuyau. Dans le cas d’une ventouse murale, le système d’évacuation est généralement considéré comme étant à tirage induit positif. Le système peut être équipé ou non d’un dispositif d’admission d’air de dilution.
Méthode d’évacuation des gaz de combustion selon laquelle les gaz sont évacués à l’extérieur à travers un mur. Ces systèmes peuvent être à tirage induit positif ou à ventilation directe.
Tuyau de plastique ou d’acier inoxydable destiné à évacuer les gaz d’un appareil à combustion et à condensation. Comme la condensation des gaz dans le tuyau est à prévoir, il faut adopter diverses mesures compensatoires, par exemple une pente continue pour le drainage du condensat, des purgeurs et
des drains.
Valeur qui s’applique notamment à l’efficacité énergétique des chauffe-eau et qui tient compte des pertes à vide et autres pertes ainsi que de l’efficacité stable.
Fourreau de cheminée, m.Chimney thimble, chimney collarPièce située dans le mur de la cheminée par laquelle passe
le tuyau à fumée ou le conduit de raccordement d’un appareil de chauffage pour atteindre le conduit de fumée. Voir collecteur de fumée ou raccord de collecteur de fumée.
Dans un bâtiment, apport de chaleur provenant de l’extérieur qui se produit à la suite d’un transfert d’énergie par conduction, rayonnement, convection et transfert de masse. L’unité de mesure est le watt (W) ou le Btu par heure (Btuh). Le calcul des gains de chaleur sert à dimensionner les installations de climatisation.
Chaleur totale qu’accumule une habitation par heure (habituellement mesuré en kW ou en Btu par heure) lorsque la température extérieure a atteint la température extérieure de calcul estivale et que la température intérieure se trouve à la température intérieure de calcul estivale. Le calcul des gains de chaleur tient compte des gains thermiques qui se produisent à travers les murs, les plafonds, les fondations, les fenêtres et les portes, ainsi que de la chaleur acquise en raison des fuites d’air et de la ventilation. Cette donnée est utilisée pour déterminer la puissance de l’appareil de climatisation d’une habitation.
Gaine de dérivation, f.Branch ductConduit qui transporte l’air vers un registre ou une grille ou en provenance d’un registre ou d’une grille.
Appareil qui convertit en chaleur l’énergie électrique ou l’énergie issue de la combustion de mazout ou de gaz. Cette chaleur
est habituellement diffusée aux locaux d’habitation par une installation à air pulsé.
Appareil de chauffage doté d’un échangeur de chaleur qui obtient de la chaleur additionnelle (et une meilleure efficacité énergétique) en condensant la vapeur d’eau des gaz de combustion.
Générateur d’air chaud ayant deux régimes de fonctionnement afin que la puissance du générateur soit mieux adaptée à la charge de chauffage requise pour ainsi réduire la consommation de combustible, limiter la fréquence des cycles marche-arrêt et accroître l’efficacité.
Générateur d’air chaud équipé d’un moteur pouvant faire varier le débit en fonction des besoins de conditionnement d’air.
Générateur d’air chaud dans lequel l’air est chauffé par des éléments électriques.
Générateur d’air chaud compact, autonome et ventilé installé dans ou sur un mur qui distribue directement l’air chaud aux pièces ou aux locaux adjacents par des bouches de soufflage, et qui reçoit l’air de reprise directement par des grilles sans recourir à des conduits.
Générateur d’air chaud utilisé dans une installation de chauffage par circulation naturelle. Contrairement aux appareils récents, un générateur d’air chaud par circulation naturelle ne possède pas de ventilateur de circulation; l’air chaud est plutôt diffusé au réseau de conduits par la seule force ascensionnelle de l’air chauffé.
Appareil central qui ne possède aucun diffuseur d’air chaud ni conduit de reprise d’air froid.
Installation de chauffage à air chaud dans laquelle l’air est propulsé par un ventilateur. Voir installation à air pulsé.
Installation de chauffage par circulation naturelle, f.Gravity space heating systemInstallation de chauffage qui équipait les maisons à une certaine époque. Elle comportait un générateur d’air chaud par circulation naturelle ainsi que des conduits de diffusion et de reprise d’air, mais était dépourvue de ventilateur de circulation pour pulser l’air. Ce genre d’installation misait sur la force ascensionnelle de l’air chauffé pour diffuser l’air chaud dans les
pièces situées à l’étage. Contrairement aux installations modernes à air pulsé, les conduits d’approvisionnement aboutissaient souvent à des grilles à registre situées sur les murs intérieurs. L’air frais était repris par des grilles de plancher situés sur les murs extérieurs et sous les fenêtres. L’air froid, plus dense, redescendait vers le générateur d’air chaud pour y être chauffé de nouveau. Les conduits de diffusion d’air de forme circulaire étaient raccordés au plénum du générateur d’air chaud, un peu à la manière des
tentacules d’une pieuvre.
Manchon d’emboîtement, m.ThimbleDispositif souvent métallique utilisé pour le passage d’une section de cheminée à travers un mur ou un plafond. Syn. : virole.
Matériau servant à sceller de façon permanente les joints, les trous et les fissures dans les conduits.
Moteur à commutation électronique, m.Electronically commutated motor [ECM]Moteur sans balais à régulateur électronique intégré pouvant fonctionner à diverses vitesses sans perdre son efficacité.
Souvent utilisé dans les générateurs d’air chaud, les appareils de traitement d’air et les pompes à haut rendement énergétique.
Abaissement du taux d’allumage, donc de la puissance calorifique, d’un générateur d’air chaud.
Perte de chaleur, f.Heat lossDans un bâtiment, flux de chaleur vers l’extérieur qui se produit à la suite d’un transfert d’énergie par conduction, rayonnement, convection et transfert de masse. L’unité de mesure est le watt (W) ou le Btu par heure (Btuh). Le calcul des pertes de chaleur sert à dimensionner les installations de chauffage.
Abréviation de pied par minute, fréquemment utilisée pour décrire la vitesse de l’air dans les réseaux de conduits d’installations de CVC. Voir pcm.
(1) Partie d’un système à air pulsé qui est située directement à la sortie d’un appareil de chauffage ou d’un appareil de
traitement d’air. Contient souvent le serpentin d’évaporateur d’un conditionneur d’air central à deux blocs. Syn. : chambre de répartition d’air.
(2) Dans un système à air pulsé, caisson raccordé au générateur d’air chaud. Le plénum d’alimentation (chambre de répartition d’air) achemine au circuit d’alimentation l’air conditionné par le générateur d’air chaud. Quant au plénum de reprise, il retourne au générateur d’air chaud l’air provenant du circuit de reprise. Un plénum peut être réalisé
entre deux solives de plafond ou de plancher afin d’alimenter une pièce en air frais ou d’en extraire l’air vicié.
Appareil de chauffage plat, de forme allongée, comportant des ouvertures basse et haute par lesquelles l’air circule et recueille de la chaleur à partir d’un convecteur interne. Ces radiateurs sont habituellement disposés à la base des murs extérieurs, sous les fenêtres.
Appareil de chauffage alimenté au bois.
Appareil de chauffage/de climatisation thermodynamique utilisé pour transférer de la chaleur au sein d’une installation de conditionnement des locaux et de chauffage de l’eau. Ses principaux composants sont le condenseur et l’évaporateur. Syn. : thermopompe.
Dispositif qui prélève de la chaleur dans l’air extérieur pour la restituer à l’air intérieur aux fins de chauffage des locaux en
hiver. Le cycle est inversé en été pour fournir de la climatisation. L’appareil est constitué d’un évaporateur intérieur, généralement placé au sein d’une installation à air pulsé, et d’un condenseur
situé à l’extérieur.
Pompe à chaleur air-eau, f.Air-to-water heat pumpThermopompe qui prélève de la chaleur dans l’air extérieur pour la transmettre à un volume d’eau aux fins de chauffage de l’eau et des locaux.
Pompe à chaleur utilisée dans un système géothermique.
Somme de la pression statique négative (pression d’aspiration) du côté de la reprise ou de l’entrée d’air et de la pression positive (pression d’éclatement) du côté de l’évacuation d’un dispositif de déplacement d’air, comme un ventilateur, un générateur d’air chaud ou un appareil de traitement de l’air.
Raccord de collecteur de fumée, m.Breech pipeCourt tuyau dont une extrémité est cimentée dans le collecteur d’une cheminée en maçonnerie et l’autre peut être fixée à un conduit de raccordement ou un tuyau à fumée.
Partie d’un système de chauffage qui transmet la chaleur dans une pièce. Plus souvent employé pour désigner un corps de chauffe dans lequel circule de l’eau chaude comme principale source de chaleur. Peut aussi désigner un appareil de chauffage électrique.
Appareil transportable destiné à chauffer temporairement un espace sur un chantier de construction.
Appareil de chauffage placé sur une surface plane, ou en affleurement, conçu pour fonctionner essentiellement comme un radiateur.
Rapport de la largeur à la hauteur d’un conduit.
Transfert de la chaleur d’une surface chaude à une surface ou
un objet plus froid par rayonnement dans la plage de température de l’infrarouge lointain.
Refoulement, m.Backdrafting [flow reversal]Entrée d’air extérieur dans un bâtiment par une soupape barométrique, un coupe-tirage, un brûleur ou une chambre de combustion, due à une obstruction dans la cheminée ou à une dépressurisation de la maison par rapport à l’extérieur qui entrave le tirage de la cheminée. Cette dépressurisation peut être causée par l’effet de cheminée ou l’action du vent ou par le fonctionnement d’un appareil extracteur d’air comme une sécheuse, une hotte de cuisinière ou un ventilateur de salle de
bains. Il peut s’ensuivre des émanations à l’intérieur du bâtiment des produits de combustion de l’appareil de chauffage (odeur, fumée, gaz toxiques ou particules). Un refoulement d’air froid
se produit lorsque l’appareil de chauffage n’est pas en marche, la cheminée agissant comme une bouche d’admission d’air. À l’opposé, un refoulement d’air chaud survient lorsque le tirage des gaz de combustion est inversé pendant que l’appareil de chauffage est en marche. Syn. : inversion de tirage.
Voir émanations des gaz de combustion.
Ouverture dans la cheminée, située sous l’entrée du tuyau à fumée, permettant d’enlever les résidus.
État d’équilibre d’un système de chauffage lorsque les températures sont constantes.
Volet ou ensemble de clapets fixés dans un conduit de ventilation, une grille à registre ou un système d’évacuation servant à régler le flux d’air ou le tirage.
Dispositif installé dans un système d’évacuation des gaz de combustion permettant d’ouvrir automatiquement ce système lorsque l’appareil est en marche, puis de le refermer dès que l’appareil est à l’arrêt.
Dispositif automatique (parfois non électrique) qui permet la recirculation de l’air entre la chambre de répartition d’air et la chambre de mélange d’un système à air pulsé doté d’un contrôle de zone.
Volet qui règle l’alimentation en air de combustion d’un générateur d’air chaud fonctionnant au mazout ou au gaz équipé de brûleurs atmosphériques ou à air soufflé.
Registre de tirage à clapet automatique, m.Automatic flue damperClapet ajouté en aval du tuyau de raccordement d’un générateur d’air chaud ou d’une chaudière et relié au brûleur par des commandes automatiques afin de réduire la perte de chaleur lorsque l’installation de chauffage ne fonctionne pas.
Registre d’un système de chauffage ou de climatisation à air pulsé qui s’ouvre ou se ferme automatiquement pour régler la température dans une zone de conditionnement donnée.
Volet à contrepoids situé dans un système d’évacuation entre l’appareil de chauffage à combustion et sa cheminée. Il est réglé pour que les écarts de pression barométrique dans le conduit de fumée fassent ouvrir ou fermer le volet graduellement afin de maintenir un tirage constant dans la partie du conduit située directement en amont du régulateur.
Efficacité d’un appareil à combustion qui fonctionne en continu, sans tenir compte des pertes à vide.
Valeur qui décrit l’efficacité globale d’un appareil en tenant compte du cycle d’arrêt et des pertes parasitiques. Calculé selon une norme du département de l’Énergie des États-Unis.
Dans une installation à eau chaude, récipient permettant au fluide caloporteur de se dilater sans créer de surpression dans le circuit.
Ruban de vinyle, de tissu ou d’aluminium servant à sceller les raccords entre les conduits pour réduire les fuites d’air temporairement.
Soupape placée sur un brûleur de mazout pour retarder l’écoulement du combustible jusqu’à la mise en marche du ventilateur d’air de combustion.
Système d’évacuation d’un appareil à combustion au sein duquel l’air comburant est aspiré de l’extérieur et apporté au brûleur par un tuyau et les produits de combustion sont évacués directement à l’extérieur par un second tuyau.
Installation de chauffage alimentée par deux sources d’énergie, comme le bois et le mazout, ou encore le gaz et l’électricité.
Système d’évacuation à l’épreuve des refoulements de gaz de combustion, m.Non-spillage susceptible
combustion venting system
Système d’évacuation qui n’est pas sujet au refoulement des
gaz de combustion causé par une dépressurisation de la maison. Comprend les systèmes à ventilation directe et les systèmes d’évacuation à tirage induit.
Type de système à évacuation des gaz de combustion comportant un ventilateur en aval de la chambre de combustion. Ce système peut être à l’épreuve ou non des refoulements de gaz de combustion.
Système utilisé pour évacuer à l’extérieur les gaz de combustion d’un appareil de chauffage au moyen d’une cheminée, d’un conduit de raccordement ou d’un évent, de façon naturelle (poussée thermique) ou mécanique. Peut aussi comprendre des moyens d’approvisionnement en air de combustion extérieur, surtout si l’appareil est à ventilation directe.
Système d’évacuation des gaz de combustion hermétiquement scellé par rapport à l’air intérieur. La totalité de l’air comburant entre dans le système par l’extérieur avant d’atteindre le brûleur, et les produits de combustion sont par la suite évacués
directement à l’extérieur. Ce système hermétique est conçu pour prévenir le refoulement des gaz de combustion dans la maison.
Système d’évacuation sujet à des émanations de gaz de combustion causées par une dépressurisation de la maison. Comprend tous les systèmes d’évacuation des appareils à combustion reliés à une cheminée à tirage naturel.
Installation de chauffage par circulation d’eau chaude, produite par une chaudière ou un autre appareil, à l’intérieur d’un réseau de canalisations d’alimentation et de retour raccordées à des radiateurs situés dans les locaux à chauffer. Ne comprend pas les ventilo-convecteurs ni les chauffe-eau.
Système de chauffage à eau chaude dans lequel l’eau chaude est pompée dans un réseau de tuyaux intégré à un plancher qui chauffe la pièce uniformément par rayonnement. Ce système comporte des assemblages à masse élevée et à faible masse.
Système de chauffage électrique par rayonnement à partir du sol, m.In-floor electric heating systemSystème de chauffage électrique dans lequel des nappes ou des panneaux renfermant des éléments chauffants sont intégrés au plancher pour chauffer uniformément la pièce par rayonnement.
Système pour le chauffage des locaux faisant appel à deux sources d’énergie, comme l’électricité et le mazout, une pompe à chaleur et le gaz naturel ou une pompe à chaleur et l’électricité. Ce
genre d’installation est généralement mis en place pour offrir de la souplesse quant à la source d’énergie de chauffage utilisée en fonction des coûts relatifs de l’énergie fournie. Voir aussi système bi-énergie.
Réseau de passages, de conduits et de plénums par lesquels l’air des locaux desservis retourne vers la reprise d’air d’un générateur d’air chaud ou d’un appareil de traitement de l’air. Syn. : circuit de reprise d’air froid.
Système d’arrêt automatique du brûleur principal d’un appareil de chauffage à gaz en cas d’obstruction totale du conduit d’évacuation des gaz de combustion.
Système mécanique qui utilise un échangeur de chaleur et des trous de forage pour extraire l’énergie du sol à des fins
de chauffage ou de climatisation d’un bâtiment. Peut ou non recourir à une thermopompe pour modifier la température de l’énergie extraite.
Mesure de la performance énergétique des pompes à chaleur air-air.
Mesure de l’efficacité énergétique des appareils de conditionnement d’air (climatiseurs) et des pompes à chaleur. Plus le TRES est élevé, plus l’appareil est efficace.
Température de calcul, f.Design temperatureTempératures extérieures et intérieures utilisées pour déterminer la puissance des appareils de chauffage et de climatisation. Les températures extérieures sont basées sur les données historiques de la localité où se trouve la maison et sur la probabilité
(p. ex., calcul de 1 % ou 2,5 %). Quand les températures extérieures réelles excèdent les températures de calcul, le système de chauffage ou de climatisation risque de ne pas pouvoir maintenir la température intérieure de calcul, à moins d’avoir été surdimensionné à cette fin.
Température extérieure de calcul servant à déterminer la puissance d’un appareil de climatisation.
Température extérieure de calcul servant à déterminer la puissance d’un appareil de chauffage.
Température intérieure servant à déterminer la puissance d’un appareil de chauffage ou de climatisation.
Thermostat, m.ThermostatInstrument qui règle automatiquement le fonctionnement d’un appareil de chauffage ou de climatisation en réagissant aux changements de température dans un local.
Thermostat qui permet de régler la température selon les besoins distincts en chauffage ou en climatisation de deux zones de conditionnement ou plus.
Diffusion sous pression de l’air comburant au brûleur d’un appareil à combustion.
Expulsion des gaz de combustion d’un appareil de chauffage résultant de la création d’un mouvement d’air provoqué par la différence de densité entre l’air extérieur froid et les gaz chauds plus légers circulant dans la cheminée, ce qui entraîne l’aspiration des fumées vers l’extérieur.
Méthode d’évacuation des gaz de combustion dans laquelle l’air comburant fourni à l’appareil (p. ex. un générateur d’air chaud ou un chauffe-eau) provient du bâtiment et les produits de combustion sont aspirés de l’appareil et évacués à l’extérieur
au moyen d’un ventilateur et d’un évent hermétique spécialisé.
Tonne, f.De refroidissementMesure nominale de la puissance frigorifique. 1 tonne =
12 000 Btu/h de refroidissement. Historiquement, 12 000 Btu/h représente l’énergie nécessaire pour faire fondre 1 tonne de glace sur une période de 24 heures.
Tuyau de raccordement, m.Smoke pipeTuyau raccordé à un appareil de chauffage à combustible solide ou liquide qui achemine les produits de la combustion vers
un conduit de cheminée. Voir Cheminées, terminologie : tuyau à fumée.
Unité de mesure de la quantité de chaleur, définie comme étant la quantité d’énergie nécessaire pour élever la température d’une livre d’eau de un degré Fahrenheit.
Petite flamme qui brûle en permanence dans un appareil à gaz (générateur d’air chaud, chaudière, chauffe-eau, foyer) qui sert à allumer le brûleur principal de l’appareil.
Ventilateur qui, étant placé en aval du générateur d’air chaud, contribue à la circulation des produits de combustion. Peut faire partie d’un système d’évacuation à l’épreuve ou non des refoulements de gaz de combustion.
Dispositif installé à l’extrémité d’un système d’évacuation des gaz de combustion, là où se termine l’évent et qui induit le tirage
Voir Ventilation, f., terminologie.
Voir Ventilation, f., terminologie.
Chaux anhydre, f.Anhydrous limeChaux vive. Voir ce terme.
Poudre blanche utilisée dans la fabrication du ciment et du mortier. Syn. : chaux anhydre.
Ouvrage en brique, pierre, béton, métal ou autre matériau incombustible, logeant au moins un conduit de fumée, destiné à évacuer à l’extérieur les gaz de combustion.
Cheminée préfabriquée, f.Factory-built chimneyCheminée entièrement faite de pièces fabriquées en usine conçues pour être assemblées les unes aux autres sans qu’il soit nécessaire de construire la cheminée sur place. Comprend les cheminées de types A, B et L.
Liquides formés par la condensation des gaz évacués sur les surfaces des parties servant à l’évacuation (conduits, cheminées, etc.).
Passage logé dans une cheminée dans lequel les produits de combustion sont évacués d’un appareil à combustible vers l’extérieur. Voir boisseau.
Conduit de cheminée comportant un chemisage métallique et une paroi extérieure scellée ou ventilée, destiné aux poêles à bois.
Conduit qui raccorde un appareil à combustion au fourreau de cheminée ou au mur extérieur (dans le cas d’un appareil à évacuation par ventouse murale).
Tirage à rebours qui se produit dans une cheminée lorsque des courants d’air s’y introduisent par le sommet et y descendent.
Pièce située dans le mur de la cheminée par laquelle passe le tuyau à fumée ou le conduit de raccordement d’un appareil de chauffage pour atteindre le conduit de fumée.
Combinaison de produits de combustion et d’air excédentaire produite par les appareils à combustion.
Partie d’un appareil à combustible à laquelle est attaché le conduit de raccordement.
Pièce de couronnement du débouché du conduit de fumée destinée à empêcher la pénétration de la pluie, de la neige, des animaux, des oiseaux, etc., de même que les courants d’air descendants.
Dispositif, comme un coupe-tirage ou une soupape barométrique, conçu pour stabiliser le tirage d’un appareil à combustion à tirage naturel (relié à une cheminée).
Matériau métallique ou composé placé autour de la cheminée à l’endroit où elle traverse le toit afin de recouvrir le joint et empêcher l’eau de s’y infiltrer.
Chlorurofluorurocarbone,
m.
CFCProduit chimique utilisé dans les frigorigènes, les solvants et les agents gonflants de bien des isolants rigides, attaquant la couche d’ozone lorsqu’il est libéré dans l’atmosphère.
Cimaise de protection, f.Chair railGarniture intérieure installée horizontalement sur un mur à environ un mètre (trois pieds) au-dessus du plancher qui a une fonction à la fois décorative et fonctionnelle, car elle protège le revêtement de finition intérieur contre les dommages causés par le dossier des chaises.
Substance poudreuse à base de calcaire et d’argile qui, mélangée avec de l’eau et du sable, devient du mortier ou qui, mélangée avec de l’eau, du sable et du gravier, devient du béton.
Ciment Portland, m.Portland cementPoudre grise faite de calcaire mélangé à du sable et de l’eau pour produire du mortier, ou mélangé à du sable, de petites pierres ou du gravier et de l’eau pour produire du béton de ciment Portland. Breveté en 1824 par le briqueteur anglais Joseph Aspdin, qui l’appela « Portland » à cause de sa couleur semblable à celle de la pierre extraite des carrières de l’île de Portland,
une péninsule du sud de la Grande-Bretagne.
Produit résistant aux températures élevées utilisé pour étanchéiser les joints des cheminées de maçonnerie ou préfabriquées.
Mélange de ciment et d’eau, sans sable ou autre granulat.
Cisaillement, m.ShearForce qui entraîne ou a tendance à entraîner le glissement de deux parties contiguës l’une par rapport à l’autre dans une direction parallèle à leur plan de contact. Désigne aussi l’effet d’une force appliquée perpendiculairement à l’axe d’une pièce d’assemblage ou d’appui.
Clé, f.FrogDépression pratiquée sur un ou deux plats de certaines briques afin de favoriser l’adhérence du mortier.
Cloison coupe-feu, f.Fire partitionVoir mur coupe-feu.
Clôture, f.FenceConstruction servant à séparer un espace d’un autre. Peut aussi être utilisée pour délimiter une zone ou l’enclore complètement ou partiellement.
Clôture constituée d’un grillage de fils métalliques entrelacés généralement fabriqués d’acier, fixée à un cadre de poteaux et traverses.
Clouage de face, m.Face nailingAction d’enfoncer le clou au droit de la pièce.
Clouage en biais, m.ToenailingFixation de deux pièces de bois en enfonçant les clous en angle. On procède habituellement ainsi lorsqu’il n’est pas possible de chevaucher ou d’aligner les deux pièces pour clouer à angle droit. Le joint sera d’autant plus solide si les clous sont enfoncés à angles opposés.
Clouage à tête perdue ou dissimulée utilisé pour l’installation de lames de parquet ou d’une autre surface de finition.
Méthode de clouage où le clou est enfoncé en angle dans la rive d’une lame pour être caché par la rainure de la lame suivante. Syn. : clouage dissimulé.
CNBNBCAbréviation de Code national du bâtiment – Canada.
Abréviation de commande numérique directe. Forme de domotique où un câblage spécial reçoit des signaux analogiques ou numériques et transmet des messages aux appareils, systèmes et équipements sélectionnés.
Abréviation de Conseil national de recherches du Canada.
Code axé sur les objectifs, m.Objective-based codeCode du bâtiment rédigé de manière à décrire les résultats attendus et à donner une certaine latitude aux utilisateurs pour déterminer la solution. Le Code national du bâtiment – Canada 2005 comprend des exigences axées sur les objectifs. Voir code normatif.
Ensemble de règles définissant les exigences qui s’appliquent à la construction des bâtiments en matière de salubrité et de sécurité, de fonctionnalité, d’accessibilité, d’issues et d’autres aspects.
Code du bâtiment rédigé de façon à décrire ce qui doit être fait pour satisfaire aux exigences en matière de sécurité, de salubrité et de performance. Le Code national du bâtiment – Canada était un code normatif jusqu’à 2005. Le CNB 2005 comporte des exigences normatives et des exigences de performance. Voir code axé sur les objectifs.
Voir Fenêtres, f. pl., terminologie.
Mesure de la modification relative d’une unité de longueur, d’aire ou de volume quand la température varie de un degré à une pression constante.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Mesure qui représente la capacité d’un matériau à transmettre la chaleur. Voir aussi Fenêtres, f. pl., terminologie.
Commutateur à berceau, m.
commutateur de transfert automatique, m.
compartiment résistant au feu, m.
Fire compartmentVoir Électricité, f., terminologie.
Voir Électricité, f., terminologie.
Espace intérieur fermé dans un immeuble séparé de toutes les autres parties du bâtiment par une séparation coupe-feu ayant le degré voulu de résistance au feu.
Compartiment d’une aire de plancher séparé du reste de celle-ci de manière à être étanche à la fumée pour une durée déterminée.
Complexe d’étanchéité, m.Dampproof courseRevêtement résistant à l’eau mis en œuvre au-dessus de la surface du sol dans un mur de brique ou de pierre pour empêcher l’humidité du sol de s’infiltrer par capillarité dans le mur.
Type d’enduit utilisé pour ponter les joints entre les plaques
de plâtre et en réaliser la finition. Syn. : pâte à jointoyer, ciment à joints.
Substance émise sous forme de gaz ou de vapeur par une multitude de produits de construction, comme les peintures et vernis à l’huile, les mastics de calfeutrage, les colles, les moquettes synthétiques et les revêtements de sol en vinyle.
Compostière, f.ComposterContenant d’extérieur en bois ou en plastique percé d’orifices d’aération, de fentes ou de grilles destiné à favoriser la décomposition naturelle de matières organiques, telles que les déchets de jardin et de cuisine (sauf la viande). Le compost qui en résulte peut servir à engraisser les pelouses et les plates-bandes. Syn. : composteur, bac de compostage.
Conception de bâtiment solaire passif, f.Passive solar designConception architecturale destinée à capter, à stocker et à utiliser l’énergie solaire aux fins de chauffage et d’éclairage, tout en la maîtrisant pour limiter les besoins de climatisation, et ce, sans recourir à des installations électriques ou mécaniques.
Condensation, f.CondensationTransformation en eau de la vapeur d’eau contenue dans l’air provoquée par le contact avec une surface froide.
Voir Cheminées, f. pl., terminologie.
Condensation qui se produit à l’intérieur du toit ou d’un mur extérieur. Syn. : condensation interstitielle.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Conductibilité, f.ConductivityAptitude d’un matériau à transmettre l’électricité.
Rythme auquel la chaleur est transmise à travers un matériau.
Conduit d’air, m.Air ductTuyau habituellement rond ou rectangulaire assurant la distribution de l’air dans les différentes pièces d’un bâtiment, généralement associé à l’installation de chauffage, de ventilation et de climatisation.
Conduite de distribution d’eau, f.
conduits en tôle, m. pl.
Sheet metal ductworkVoir Plomberie, f., terminologie.
Tous les composants faits de métal en feuille utilisés pour les conduits de chauffage, de ventilation et de climatisation.
Arbre ou arbuste résineux portant des fruits de forme conique et un feuillage écailleux ou épineux. Généralement à feuillage persistant, sauf quelques exceptions.
Coffrage isolant, m.Insulated concrete formCoffrage modulaire (en blocs ou en panneaux) constitué de parois de polystyrène rigide parallèles dont l’écartement est maintenu par des entretoises en métal ou en plastique entre lesquelles est coulé du béton pour former des murs hors sol et sous le niveau du sol.
Technique de construction qui consiste à monter une ossature murale intérieure devant une ossature murale extérieure. Ce procédé est habituellement utilisé afin d’accroître l’espace disponible pour l’isolation afin de conférer au mur un coefficient de résistance thermique supérieur de manière à réduire les gains et les pertes de chaleur. Habituellement, un seul des deux murs est porteur.
Genre de construction réalisée à partir de petits composants répétitifs dont les éléments de charpente sont en acier ou s’appuient sur une ossature d’acier.
Genre de construction réalisée à partir de petits composants répétitifs dont les éléments de charpente sont surtout en bois ou s’appuient sur une ossature de bois. Voir Ossature de bois, f., terminologie.
Genre de construction dont l’extérieur est constitué d’un placage de brique non porteur qui s’appuie sur une ossature de bois ou d’acier ou sur un mur de fond en béton ou en maçonnerie.
Genre de construction dont les murs extérieurs sont faits de blocs composés de terre alumineuse et de paille, et durcis au soleil.
Genre de construction ou procédé par lequel le béton des murs, des planchers, des poutres, etc. est mis en place sans interruption.
Construction en blocs, f.Block constructionGenre de construction où les murs sont faits de blocs de béton ou de blocs d’argile de charpente.
Genre de construction dont les murs extérieurs porteurs sont faits de briques ou d’une combinaison de briques et d’autres éléments de maçonnerie.
Procédé par lequel une maison est construite en usine puis expédiée au chantier sous la forme de panneaux qui seront assemblés sur des fondations permanentes et constitueront les murs, les planchers et la toiture.
Type de construction dans laquelle un certain degré de sécurité incendie est assuré grâce à l’utilisation de matériaux incombustibles pour les éléments structuraux et autres composants.
Procédé par lequel une maison est construite en usine en une ou plusieurs sections pour être ensuite installée sur des fondations permanentes à son lieu d’implantation. Voir construction préfabriquée et construction usinée.
Genre de construction conçue de manière à n’exiger qu’un minimum d’assemblage en chantier; habituellement composée d’une série de grands panneaux de bois ou d’éléments de béton usinés. Voir construction usinée et construction modulaire.
Procédé par lequel une maison est construite en une ou plusieurs sections fixées en permanence sur un châssis métallique sur lequel reposera la maison durant son transport et une fois rendue à son lieu d’implantation. La maison peut être déposée ou non sur des fondations permanentes, et les travaux sont terminés sur place.
Voir construction préfabriquée et construction modulaire.
Bâtiment résidentiel comportant une enveloppe extérieure et une enveloppe intérieure entre lesquelles on a ménagé un espace où circule de l’air. Sur le côté sud de la maison, cet espace peut former un atrium.
Maison usinée, f.Factory-built housing, manufactured homeLogement dont les composants sont entièrement ou partiellement fabriqués dans une usine puis transportés au chantier pour y être assemblés. Syn. : maison préfabriquée.
Construction à dalle, f.Slab constructionType de construction où la superstructure prend appui sur une dalle de béton.
Voir Construction, f., types. Voir Construction, f., types. Voir Construction, f., types.
Voir Construction, f., types.
Construction en panneaux, f.
construction hors toit, f.
BulkheadVoir Construction, f., types.
Dans la construction des bâtiments : construction au-dessus du toit de toute partie d’un bâtiment enfermant un escalier, un réservoir, la machinerie d’ascenseur, un appareil de ventilation ou telle partie d’une gaine qui se prolonge au-dessus du toit.
Voir Construction, f., types.
Contamination, f.ContaminationPrésence d’impuretés dans l’air, l’eau ou le sol pouvant constituer un risque pour la santé, ou présence d’éléments indésirables
dans un matériau (tel que le béton) qui peuvent en altérer le rendement ou l’apparence.
Ligne prédéterminée établissant la configuration proposée du sol autour d’un bâtiment.
Force interne qui résiste à un changement de forme ou de dimension par suite de l’effet d’efforts externes.
Effort que subit un élément de charpente soumis à une force non axiale, exprimé en kilopascals (kPa) ou en livres par pouce carré (psi), l’unité de mesure anglo-saxonne équivalente.
Contrainte unitaire la plus élevée qu’un matériau peut subir jusqu’à sa rupture ou tout juste avant.
Contrainte (ou force) moyenne appliquée sur une unité de surface donnée. Mesurée en newtons par mètre carré (N/m²), en pascals (Pa) ou en livres par pouce carré (lb/po²).
Effet de plusieurs sollicitations créant des contraintes diverses dans un même élément de charpente (par exemple, courbure et compression).
Contre-écrou, m.Check nutÉcrou serré fermement contre un autre écrou pour l’empêcher de se desserrer.
Contremarche, f.RiserÉlément vertical séparant deux marches.
Couche de placage posée perpendiculairement aux placages de face. Syn. : pli transversal.
Contreplaquer, v.Cross bandDisposer des placages de bois de sorte que leurs fils soient à angles droits pour réduire le plus possible le gauchissement.
Contre-porte, f.Storm doorPorte extérieure additionnelle servant de protection contre les intempéries.
Contre-solin, m.CounterflashingSolin supérieur recouvrant un solin inférieur pour en écarter l’eau et pour en permettre le déplacement différentiel sans endommager le solin.
Contreventement, m.Bracing [1];
wind bracing [2]
(1) Liens servant à soutenir et à consolider divers types de constructions.
(2) Pièces de bois ou de métal installées en diagonale dans un mur extérieur pour offrir une résistance additionnelle aux charges imposées par les vents violents.
Éléments structuraux en métal ou en bois (tels que fourrures, planches, cales, barres) qui, lorsqu’ils sont assujettis en diagonale et de façon continue aux membres composant les fermes, les murs, les planchers, etc., servent à consolider l’assemblage pour prévenir les déformations.
Analyse exhaustive des déchets produits par la construction ou l’occupation d’un bâtiment. Peut révéler des occasions de réduire la quantité de déchets ou de faire du recyclage.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Convection, f.ConvectionMontée ou descente de masses de gaz ou de fluides selon que la température s’élève ou baisse. Certains types de systèmes de chauffage, comme les plinthes chauffantes, distribuent la chaleur par convection. La chaleur peut être transportée de
manière passive au gré du déplacement du gaz ou du fluide, et ce, indépendamment de la chaleur (convection forcée), ou la chaleur elle-même peut entraîner le mouvement du gaz ou du fluide par
la force ascensionnelle ou l’expansion (convection naturelle).
Convection naturelle, f.Natural convectionTransport de la chaleur causé par le mouvement continu et naturel d’un fluide (air ou liquide) résultant de la montée du fluide chaud et de la descente du fluide refroidi.
Cordon de mastic continu, m.Continuous caulkingBande étroite ininterrompue de matériau d’étanchéité.
Latte métallique taillée en bandes et pliée pour former un angle droit, utilisée comme armature d’angle interne des murs et des plafonds enduits.
Saillie horizontale, souvent ornementale, moulée ou préformée, située à la partie supérieure d’un mur ou d’une colonne et servant d’élément de finition. A aussi pour fonction de protéger des précipitations les surfaces sous-jacentes.
Costière, f.CurbPetit ouvrage servant à délimiter et à contenir le bord d’un toit.
Cote de première heure, f.
couche aquifère, f.
AquiferVoir Plomberie, f., terminologie.
Formation souterraine saturée d’eau; composée de sable, de gravier et de roche poreuse ou fissurée, qui peut être une source d’approvisionnement en eau.
Couche éraflée, f.Scratch coatPremière couche d’enduit ou de stucco qui est éraflée pour assurer un meilleur liaisonnement de la couche suivante.
Coulis, m.GroutMélange fluide de mortier utilisé pour remplir les interstices entre des éléments de maçonnerie ou entre la maçonnerie et les plaques de base en acier. Sert aussi à combler les joints entre des carreaux de céramique.
Ciment mélangé avec de l’eau et du sable utilisé pour le lit des plaques d’appui, pour poser les boulons d’ancrage et pour remplir et lisser les fissures dans les fondations.
Coupe, f.CutOuverture faite dans un matériau au moyen d’une lame (trait de scie) ou d’un autre instrument acéré.
Sciage du bois parallèlement au grain. Syn. : sciage en long.
(1) Dispositif d’obturation placé dans un espace dissimulé pour bloquer le passage de l’air vers le haut d’un bâtiment ou à travers.
(2) Recoupement étanche à l’air à l’intérieur des murs et des planchers ou entre eux pour retarder le passage de la fumée et des flammes.
Bande de feutre, de caoutchouc, de métal ou de toute autre matière fixée sur le pourtour d’une fenêtre ou d’une porte pour empêcher l’infiltration d’air et réduire la déperdition de chaleur.
Cannelure ménagée en sous-face d’un ouvrage horizontal saillant, comme un appui de fenêtre ou une dalle de balcon, qui empêche la pluie ou l’eau de fonte qui s’écoule sur cet ouvrage d’y adhérer et de le contourner en ruisselant sur sa sous-face. Le coupe- larme contribue à détourner les précipitations qui, autrement, s’accumuleraient sous l’ouvrage saillant ou ruisselleraient sur
la façade, au risque de s’infiltrer dans l’enveloppe du bâtiment.
Syn. : goutte d’eau; larmier (voir ce terme).
Coupure thermique, f.Thermal breakMatériau à faible conduction thermique utilisé dans un assemblage de construction pour réduire le flux de chaleur qui se produit par ponts thermiques d’un côté à l’autre de l’assemblage. Peut servir à limiter les pertes de chaleur par les cadres de fenêtres en métal, les dalles de plancher en béton et les poteaux d’acier.
(1) Espace libre à ciel ouvert entouré par des bâtiments ou des murs sur trois côtés, le quatrième étant partiellement ou totalement ouvert sur une rue, un jardin ou une propriété contiguë et destiné principalement à donner de l’éclairage et de l’air, mais qui peut servir d’accès à un bâtiment.
(2) Terrain autour d’une maison. Une maison peut avoir une cour arrière, une cour avant ou une cour latérale, ou toutes les trois ou deux d’entre elles. Souvent une cour est gazonnée et possède un jardin de fleurs ou un potager, ou les deux.
Bien des municipalités ont adopté des règlements de zonage qui déterminent les dimensions minimales des
cours. Syn. : jardin.
Courants porteurs en ligne, m. pl.CPLEn domotique, signaux qui passent par les fils à courant alternatif existants du bâtiment.
Ligne tracée sur une carte ou un plan et reliant tous les points d’un site qui sont à une même altitude ou à une même élévation.
Bloc ou autre matériau de recouvrement, uni ou mouluré, formant le dessus d’un mur, d’un pilier, d’un poteau d’escalier ou d’une colonne; chaperon, couronnement de cheminée. Voir Ossature de bois, f., terminologie.
Couverture multicouche, f.Built-up roofRevêtement de toit composé de rangs de feutre à couverture saturé de goudron ou d’asphalte, sur lequel est déposé après coup de la pierre concassée, du gravier ou une membrane de finition, généralement destiné aux toits plats ou à pente douce.
Garniture utilisée entre les cadres des portes extérieures et des fenêtres et le revêtement mural de finition.
(1) Liquide huileux provenant de la distillation du goudron de bois ou de charbon, employé pour la préservation du bois.
(2) Hydrocarbures brûlés ou partiellement brûlés qui sont les dérivés de la combustion du bois.
(1) Enduit de plâtre ou de mortier de ciment appliqué sur un mur de maçonnerie ou de béton.
(2) Enduit de parement d’un mur de maçonnerie, de béton ou de stucco pour en améliorer l’apparence ou accroître sa résistance à la pénétration de l’eau.
Revêtement mural extérieur réalisé en projetant de petits cailloux sur un enduit de mortier fraîchement posé; technique généralement utilisée pour des murs de stucco.
Action d’excaver le sol, comme pour réaliser des fondations, installer des services souterrains, etc.
CSAPas d’équivalent en françaisAbréviation d’Association canadienne de normalisation.
Bande de bois ou de métal fixée à un mur, le long de la ligne du plancher et autour des fenêtres, des portes et d’autres ouvertures, servant d’arrêt pour l’enduit et de guide d’épaisseur.
Cuisinière, f.Range, stoveÉlectroménager de cuisine comportant des éléments de cuisson et la plupart du temps un four.
Rue ou passage sans issue. Syn. : impasse.
CVCHVACAbréviation de chauffage, ventilation et climatisation. Sert à décrire les systèmes de conditionnement de l’air.
D
Voir Plomberie, f., terminologie.
(1) Pierre plate, habituellement de 25 à 75 mm (1 à 3 po) d’épaisseur, utilisée pour réaliser un pavage extérieur (patio, trottoir ou chaussée).
(2) Surface horizontale en béton.
(1) Couche de béton sur le plancher d’un vide sanitaire.
(2) Chape de béton servant à niveler le roc sous une fondation.
Dalot, m.Scupper(1) Ouverture pour le drainage dans un mur, une bordure ou un parapet.
(2) Tuyau d’évacuation dans une descente pluviale ou un toit plat, généralement raccordé à la descente pluviale.
Action de compacter le sol ou un autre matériau manuellement ou mécaniquement, par l’application de percussions
verticales répétées.
Suivant la verticale.
Déblai, m.CutVolume de terre résultant d’une excavation.
Processus d’altération du relief d’un terrain par lequel on effectue des opérations de remplissage avec des matériaux résultant des excavations. Voir remblai.
Débord de fondation, m.Brick ledgeExtrémité d’un mur de fondation ou dalle de plancher en saillie servant à soutenir un placage de brique.
Partie du toit faisant saillie sur le mur. Syn. : avant-toit.
Réduction d’épaisseur pour constituer une surface d’appui horizontale. Syn. : retranche.
Procédé de décapage d’une surface à l’aide d’un puissant jet de sable pour la nettoyer, enlever un revêtement de finition (de la peinture, par exemple) ou lui donner une texture. Syn. : sablage.
Déformation, f.DeformationAltération de la forme d’une construction lorsqu’elle est assujettie à une charge ou à un poids.
Distance entre des objets (immobiles ou en mouvement) ou des surfaces adjacents (p. ex. dégagement d’une porte par rapport au plancher, dégagement entre un conduit de fumée et une surface combustible). Voir aussi Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Temps en minutes ou en heures pendant lequel un matériau ou une construction empêche le passage des flammes et la transmission de la chaleur dans des conditions précises d’essai et de comportement.
Temps en minutes ou en heures pendant lequel un dispositif d’obturation, une fenêtre ou un ouvrage de brique de verre résiste au passage des flammes et au transfert de la chaleur lorsqu’il est exposé au feu dans des conditions précises d’essai et de comportement.
Degré-jour de chauffage, m.
DEL
LEDVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie : degré-jour.
Voir appareil d’éclairage à diodes électroluminescentes.
Densification, f.DensificationStratégie d’aménagement urbain qui accroît le nombre de personnes ou de logements au sein d’une zone urbaine établie. Les moyens déployés pour y parvenir sont les pratiques d’urbanisme qui autorisent et encouragent la réalisation de logements accessoires, de maisons sur ruelle, d’immeubles
à usage mixte et d’habitations intercalaires, de même que le réaménagement de secteurs urbains qui ont besoin d’être rénovés.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Dépressurisation, f.DepressurizationÉtat d’une habitation ou d’une pièce où la pression d’air intérieure est plus basse que la pression d’air extérieure. Généralement causée par les ventilateurs d’extraction des cuisines et salles de bains, ainsi que par les sécheuses, les ventilateurs de cuisinière et les autres dispositifs d’extraction d’air.
Condition dans laquelle la pression est moins élevée à l’intérieur qu’à l’extérieur d’un bâtiment après l’utilisation d’un ventilateur pour évacuer l’air du bâtiment.
Se dit de deux éléments à angle droit l’un par rapport à l’autre. Syn. : à angle droit.
Dans la construction des bâtiments : porte inclinée qui donne accès à une cave à partir de l’extérieur d’un bâtiment.
(1) Tuyau acheminant l’eau d’une gouttière jusqu’au sol ou à un système d’évacuation des eaux pluviales. Voir aussi Plomberie, f., terminologie.
(2) Tuyau situé à l’intérieur d’un bâtiment et conçu pour acheminer l’eau du toit jusqu’à un tuyau d’évacuation ou à la surface du sol extérieur.
Appareil conçu dans le but d’enlever la vapeur d’eau ou l’humidité contenue dans l’air.
Réduire la quantité de vapeur d’eau ou la teneur en humidité de l’air dans une pièce.
Détecteur d’incendie, m.Fire detectorDispositif qui détecte un incendie et déclenche une alarme (comprend les détecteurs de fumée et les détecteurs de chaleur).
Dispositif sensible à la chaleur, programmé pour se déclencher lorsque la température atteint un degré prédéterminé. Souvent utilisé pour déclencher une alarme incendie ou des extincteurs automatiques à eau.
Dispositif qui s’active lorsque la concentration de particules de combustion dans l’air dépasse un niveau prédéterminé. Peut déclencher une alarme, activer des portes coupe-feu et des écrans anti-fumée ou couper le courant d’un appareil.
Dispositif destiné à détecter la présence de monoxyde de carbone.
Détecteur thermovélocimétrique, m.Rate of rise heat detectorDispositif mécanique qui déclenche une sonnerie d’avertissement et fonctionne sous l’action d’une élévation soudaine de température.
(1) Ampleur de l’écart entre un élément et une ligne.
(2) Voir Plomberie, f., terminologie.
Description écrite détaillée du type et de la qualité des matériaux à utiliser et des travaux à effectuer pour un projet.
Différence de pression, f.Pressure differenceDifférence de pression entre deux zones au sein d’une maison, ou entre le volume d’air enfermé dans l’enveloppe de la maison et l’air extérieur entourant l’enveloppe. Une différence de pression peut aussi se produire dans les appareils et les installations où circulent des gaz ou des liquides, tels que les réseaux de conduits de ventilation et les installations de plomberie.
Diffusion de vapeur, f.Vapour diffusion [1];
water-vapour diffusion [2]
(1) Mouvement de la vapeur d’eau entre deux zones causé par une différence de pression de la vapeur, indépendamment du mouvement de l’air. Le taux de diffusion est fonction de
(a) la différence de pression de la vapeur et (b) la perméabilité du matériau à la vapeur d’eau (d’où l’importance de choisir des matériaux à faible perméabilité pour les pare-vapeur).
(2) Mouvement de la vapeur d’eau à travers un matériau ou l’air causé par une différence de pression de vapeur, et ce, indépendamment du mouvement de l’air.
Dimensions hors tout d’un article une fois qu’il est achevé et prêt à être utilisé. Voir Bois de construction, m., terminologie.
Distance entre les éléments d’ossature d’une ouverture de porte ou de fenêtre non finie.
Voir Bois de construction, m., terminologie.
Voir Bois de construction, m., terminologie.
Polluant atmosphérique résultant d’une combustion à haute température en présence d’azote.
Gaz invisible, inodore et incombustible présent dans l’atmosphère qui est produit par la respiration des animaux, la décomposition des matières organiques et la combustion des combustibles. Ce gaz est dangereux s’il est présent en concentrations élevées. Les émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère contribuent au réchauffement climatique.
Dispositif antirefoulement, m.
dispositif d’obturation, m.
ClosureVoir Plomberie, f., terminologie.
Toute partie d’une séparation coupe-feu ou d’un mur extérieur, destinée à fermer une ouverture, comme un volet, une porte, du verre armé ou des briques de verre, et comprenant les ferrures, le mécanisme de fermeture, l’encadrement et les pièces d’ancrage.
Domotique, f.Home automationEnsemble des techniques de gestion automatisée de l’habitat.
La domotique fait appel à l’informatique et à la télématique pour gérer un large éventail de fonctions, telles que le chauffage, la ventilation et la climatisation des locaux, l’électronique de loisir, la sécurité, l’éclairage et les électroménagers. Intégrés en réseau, les systèmes de domotique permettent aux équipements, appareils et systèmes d’une maison de communiquer entre
eux afin d’offrir plus de commodité, de confort, d’économies d’énergie et de sécurité aux occupants.
(1) Pièce de bois horizontale posée au sol pour distribuer une charge. Voir aussi Ossature de bois, f., terminologie.
(2) Pièce de bois traité sous pression utilisée comme
support d’appui.
Dosse, f.SlabPièce externe enlevée d’une grume de bois durant le processus de fabrication du bois d’œuvre.
Voir Réutilisation, f. et recyclage, m. de l’eau, terminologie.
Doucine, f.Ogee, O.G.Moulure dont le profil a la forme de la lettre S, c’est-à-dire une courbe suivie d’une contre-courbe. Syn. : talon.
Drainage du sol, m.Site drainageÉvacuation des eaux de surface par écoulement naturel, par percolation dans le sol ou par un réseau d’égouts pluviaux. Voir Drainage du sol, m., terminologie.
Bassin de rétention, m.Retention pondBassin servant à emmagasiner temporairement un volume soudain des eaux de ruissellement avant de les distribuer graduellement dans le réseau d’évacuation.
Égout latéral, m.Lateral sewerPortion de l’égout sanitaire qui raccorde le réseau de canalisations des eaux usées de l’intérieur du bâtiment à l’égout principal.
Canalisation destinée à recueillir les eaux pluviales, le drainage de surface et les eaux de chaussées, mais pas les eaux usées ni les déchets industriels.
Tuyau qui transporte des eaux usées.
Canal plus profond que large servant à l’évacuation des eaux de surface.
Ouvrage servant de petit pont qui comporte au moins un conduit (tuyau de ponceau) destiné à assurer le libre passage de l’eau sous une route, une voie ferrée, etc. Sous l’influence de l’anglais « culvert », le terme « ponceau » est souvent utilisé seul pour désigner à la fois le conduit où passe l’eau (tuyau de ponceau) et le petit pont aménagé par-dessus (ponceau). Voir tuyau de ponceau.
Chambre d’accès à un égout, une canalisation maîtresse ou un autre conduit souterrain qui en permet l’entretien et l’inspection.
Petit canal habituellement gazonné, plus large que profond.
Surplus des eaux de surface qui coulent sur un terrain au lieu de s’infiltrer dans le sol.
Réseau d’évacuation des eaux de surface des champs ou de grandes étendues gazonnées par l’utilisation de fossés remplis de gravier. On utilise parfois des conduits perforés. Syn. : drain agricole.
Droit de passage, m.Right-of-wayAutorisation de passer sur un terrain privé, généralement en vertu d’une servitude.
Durabilité, f.Environmental sustainabilityCaractéristique d’une évolution qui préserve les ressources et les équilibres naturels et permet de ménager l’avenir. Syn. : durabilité de l’environnement.
Voir durabilité.
E
Eau de ressuage, f.Bleed waterRemontée de l’eau de gâchage excédentaire à la surface du béton après sa mise en place.
Ébénisterie, f.JoineryAjustage et assemblage de pièces de bois pour donner un objet fini ou une construction. Comprend les travaux de menuiserie fine, de menuiserie à l’établi et d’autres formes de menuiserie de finition.
Échafaudage, m.Scaffold, scaffoldingCharpente temporaire en bois d’œuvre ou en acier, employée dans la construction, la réfection ou la démolition d’un bâtiment pour soutenir les ouvriers, leurs outils et les matériaux.
Échangeur de chaleur air-air, m.
écharpe, f.
BraceVoir Ventilation, f., terminologie.
Pièce de bois disposée en biais dans des murs, des cloisons armées ou des toitures de bâtiments à ossature de bois pour former des triangles qui renforcent la charpente. L’écharpe qui soutient un chevron s’appelle un étrésillon.
Voir Ossature de bois, f., terminologie.
Éclairage fluorescent, m.Fluorescent lightingÉclairage fourni par des lampes fluorescentes, de forme linéaire, circulaire ou compacte. La lumière fluorescente est produite lorsque la couche de phosphore qui revêt la paroi intérieure
d’un tube de verre scellé est frappée par une lumière ultraviolette émise par le mercure se trouvant dans le tube à l’application
d’une décharge électrique.
Écran pare-pluie, m.RainscreenMode de construction d’un mur qui prévoit l’ajout d’une deuxième ligne de protection contre la pénétration de l’eau et comprend une lame d’air entre les deux parois ainsi créées, de sorte que (a) l’eau qui traverse la première ligne de défense peut être évacuée à l’extérieur et (b) l’espace entre les parois murales peut sécher entre les précipitations. Voir écran pare-pluie à pression équilibrée.
Écran pare-pluie à pression équilibrée, m.Pressure equalized rainscreenMur conçu pour empêcher la pluie de s’infiltrer, par la régulation des forces qui poussent l’eau à l’intérieur des murs. Syn. : mur-écran pare-pluie à pression équilibrée.
Écrou conçu et fabriqué de telle sorte qu’il se bloque une fois serré en place et ne peut se desserrer.
Plaque perforée fixée autour d’une ouverture comme un trou de serrure ou plaque à laquelle est fixée une poignée de porte. Syn. : entrée de serrure.
Mouvement vertical de l’air causé par la différence de densité entre l’air intérieur et l’air extérieur, ce qui accroît la poussée aérostatique de l’air intérieur par rapport à celle de l’air extérieur. Cette différence est provoquée par les écarts de température entre les milieux intérieur et extérieur. Les forces ascensionnelles qui alimentent l’effet de cheminée augmentent en fonction
de la hauteur du bâtiment et de la différence de température. En climat froid, l’effet de cheminée a tendance à faire entrer l’air par le bas des bâtiments et à le faire sortir par le haut. Syn. : effet de tirage.
Transformation des ondes du rayonnement solaire admises par une substance en ondes de chaleur qui ne peuvent s’échapper. Ce processus a d’abord été observé dans les serres, dont le verre laisse passer le rayonnement solaire mais piège ensuite la chaleur à l’intérieur. L’expression s’applique maintenant à la surface de la Terre, où les constituantes de l’atmosphère emprisonnent le rayonnement solaire.
Effet du vent, m.Wind effectPhénomène qui survient lorsque le vent souffle sur une maison et crée une zone de haute pression du côté au vent, ce qui tend à forcer l’infiltration d’air dans la maison. Simultanément, le côté de la maison qui est sous le vent se trouve dans une zone de basse pression.
Voir Ventilation, f., terminologie.
Consommation énergétique nette zéro, f.Net zeroObjectif d’un équilibre entre la consommation et la production d’énergie d’une maison ou d’un bâtiment. L’énergie consommée et l’énergie produite par la maison doivent s’équilibrer sur une base annuelle. Voir aussi EQuilibriumMC.
Coupure de courant automatique ou manuelle servant à limiter la demande énergétique de pointe, et les coûts qui s’y rattachent, qu’un bâtiment pourrait susciter ou à laquelle une entreprise de service public aurait à répondre.
Le fait de déplacer la consommation d’énergie des périodes de pointe aux périodes hors pointe afin de réduire les pointes de consommation d’énergie ou de bénéficier de tarifs plus avantageux.
Dispositif optique, infrarouge ou à ultrasons servant à ouvrir ou à fermer automatiquement un conditionneur
d’air, un ventilateur ou une lampe en fonction de l’occupation d’un local et permettant ainsi d’économiser l’énergie.
Utilisation directe, diffuse ou réfléchie de la lumière du soleil en association avec l’éclairage artificiel pour réduire la consommation d’énergie liée à l’éclairage.
Apport de lumière spécifiquement dirigé vers une tâche ou une aire de travail afin de réduire les besoins d’éclairage général et, du même coup, la consommation d’énergie.
Programme d’homologation facultatif de l’agence de protection de l’environnement (EPA) et du département de l’Énergie
des États-Unis qui recense des produits éconergétiques. Les produits homologués, qui peuvent porter le symbole
ENERGY STAR, dépassent les normes fédérales minimales
en matière de consommation d’énergie ou, en l’absence de telles normes, comportent certaines caractéristiques éconergétiques.
Entreprise privée qui effectue des travaux d’amélioration thermique dans un bâtiment, à peu de frais ou gratuitement pour le propriétaire, et qui récupère son investissement avec le temps grâce aux économies d’énergie qui en résultent. L’entreprise peut prendre part à l’exploitation des bâtiments ainsi rénovés durant la période de récupération de l’investissement pour s’assurer que des économies d’énergie seront effectivement réalisées.
Initiative ENERGY STARMD pour les maisons neuves, f.ENERGY STAR® for
New Homes Initiative
Programme créé en 1992 par l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA) que Ressources naturelles Canada
se charge d’administrer et de promouvoir au Canada pour encourager l’adoption de pratiques d’efficacité énergétique en milieu résidentiel et ainsi participer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Les maisons homologuées ENERGY STARMD sont généralement mieux isolées et comportent des fenêtres
et des installations de chauffage et de climatisation offrant un meilleur rendement énergétique que les maisons bâties selon les exigences des codes du bâtiment. Le programme prévoit aussi une vérification par un tiers accrédité du respect
des exigences du programme.
Mesures d’amélioration thermique habituellement appliquées à l’enveloppe d’un bâtiment afin de le protéger contre les pertes de chaleur et les courants d’air. Désignant à l’origine
le remplacement des coupe-froid, l’obturation des fissures et orifices de même que d’autres améliorations de même nature, l’intempérisation inclut souvent aussi les travaux visant à accroître l’isolation d’un bâtiment et l’efficacité énergétique
des installations de chauffage de l’eau et des locaux.
Logement durable, m.Sustainable housingLogement dont la conception, la construction et l’occupation reposent sur des techniques, des matériaux et des technologies qui font en sorte que le logement est très éconergétique,
fait un usage rationnel des ressources, a un faible impact sur l’environnement, est sain pour ses occupants, est abordable et peut produire autant d’énergie qu’il en consomme annuellement.
Maison qui, annuellement, consomme autant d’énergie que ce qu’elle produit sur place.
Maison saineMC, f.Healthy HousingTMÀ la SCHL, désigne une habitation saine pour ses occupants, éconergétique, écoefficace, à faible impact pour l’environnement et abordable.
Utilisation d’un seul compteur d’électricité pour mesurer la consommation d’un ménage et l’énergie électrique produite au moyen d’installations éoliennes ou photovoltaïques. Le ménage vend à l’entreprise de service public la quantité nette d’électricité qu’il génère et lui achète l’électricité nette dont il a besoin.
Emploi des plaques de plâtre intérieures en association avec des joints d’étanchéité, des coffrets électriques étanches à l’air et du mastic de calfeutrage pour former un pare-air continu dans un bâtiment.
Dispositif électrochimique qui convertit directement en électricité l’énergie provenant d’un combustible.
Type de prêt hypothécaire qui prend en compte les économies que permet de réaliser une habitation éconergétique par rapport à un logement ordinaire afin qu’un emprunteur soit
admissible à un montant de prêt supérieur à celui auquel il aurait
normalement accès.
Rénovation éconergétique, f.Energy efficiency retrofitModification ou ensemble de modifications apportées à un bâtiment ainsi qu’à ses systèmes et équipements qui permettent de réduire la consommation d’énergie. Peut aussi consister à ajouter à un bâtiment une caractéristique d’économie d’énergie qui n’avait pas été prévue lors de sa construction. Voir aussi modernisation. Syn. : amélioration thermique.
Stockage de l’énergie thermique, m.Thermal energy storageAccumulation de chaleur excédentaire pour pouvoir l’utiliser ultérieurement.
Se dit d’un assemblage très étanche à l’air grâce à l’emploi de matériaux offrant un excellent coefficient de résistance thermique et de méthodes de construction de pointe.
Tout système utilisé pour caractériser systématiquement l’efficacité énergétique d’une maison, souvent par rapport à des critères de performance bien définis. Le système ÉnerGuide de Ressources naturelles Canada en est un exemple. Voir Home Energy Rating System.
Système créé par Ressources naturelles Canada (RNCan) pour évaluer l’efficacité énergétique d’une maison.
Thermostat doté d’une minuterie intégrée qui peut régler le fonctionnement d’un appareil de conditionnement d’air en fonction de l’heure du jour et de la journée de la semaine. Souvent utilisé en hiver pour abaisser la température de consigne à l’intérieur et pour la relever en été lorsqu’une maison est inoccupée afin d’écourter les périodes de fonctionnement
de l’appareil et de réduire la consommation d’énergie.
Procédé qui permet de réchauffer de l’air en hiver ou de le refroidir en été en le faisant circuler dans un conduit souterrain. Syn. : puits climatique.
Voir Ventilation, f., terminologie.
Efflorescence, f.EfflorescenceDépôt poudreux de sels solubles, de couleur blanche, entraînés par l’humidité vers la surface de la brique, du béton ou du mortier. Les sels cristallisent à mesure que l’humidité s’évapore, créant des formes irrégulières caractéristiques à la surface des matériaux touchés.
Perte d’adhérence d’une couche de béton ou de brique, formant des paillettes, généralement sous l’action du gel ou sous l’effet de la corrosion de l’acier d’armature noyé dans le béton. Syn. : écaillage.
Barre collectrice thermique, f.Hot barBarre métallique à l’intérieur de la boîte de distribution qui sert de point de transition entre le branchement principal et le fusible ou le disjoncteur.
Ensemble constitué d’un coffret ou d’une boîte en métal contenant les fusibles ou les disjoncteurs, pouvant être mis sous clé ou scellé.
Enceinte protégée servant de point de transition entre l’entrée de service et les circuits de distribution, et qui renferme les
dispositifs de surintensité (fusibles ou disjoncteurs) qui protègent chacun des circuits.
Câble d’alimentation électrique relié à la boîte de distribution. Ensemble de fils isolés transportant le courant électrique.
Fil électrique isolé doté d’une gaine souple en métal – souvent appelé câble BX.
Câble simple ou à multiconducteurs qui protège les signaux ou les données qu’il transporte contre les champs électrostatiques. Il est couramment utilisé pour la câblodistribution et d’autres applications, notamment en domotique.
Fil de mise à la terre raccordant le compteur d’eau avec l’électrode de terre de la tuyauterie se trouvant du côté de la chaussée, lorsque l’installation électrique a été mise à la terre sur la tuyauterie du côté de la maison.
Pièce en plastique servant à raccorder les fils conducteurs dans les boîtes de connexion et les prises de courant.
Réseau de câbles conducteurs de l’électricité.
Partie du câblage située entre le dernier dispositif de protection contre les surintensités du circuit (fusibles et disjoncteurs) et les sorties et appareils.
Circuit transmettant l’énergie électrique à un moteur ou à un appareil de chauffage de force trop grande pour être desservi par un circuit ordinaire.
Coffret électrique étanche à l’air, m.Airtight electrical boxCoffret approuvé conçu pour faire partie intégrante d’un pare-air. Habituellement fait de plastique, il permet de former un joint étanche autour des fils qui y entrent et en sortent. Il possède une aile à laquelle la membrane pare-air du mur ou du plafond qui l’entoure peut être scellée.
Interrupteur électrique que l’on actionne par une pression au haut ou au bas d’une plaque de commande.
Interrupteur qui transfère les circuits de la maison reliés
au service public à une génératrice d’urgence ou à une autre source d’alimentation.
Dispositif mesurant la quantité d’énergie électrique utilisée.
Compteur qui mesure la quantité d’énergie électrique provenant du réseau public utilisée par une maison ainsi que la quantité d’énergie que la maison retourne au réseau.
Fil, câble ou pièce métallique de faible résistance transportant le courant électrique d’une pièce d’appareillage électrique à une autre, ou servant pour la mise à la terre.
Gaine tubulaire protégeant les fils électriques.
Dispositif servant à retenir un câble par sa gaine ou son armature à l’entrée d’une boîte de sortie électrique.
Dispositif unissant deux ou plusieurs conducteurs, ou encore un ou plusieurs conducteurs à une enceinte telle qu’une boîte de sortie, utilisé pour connecter des circuits électriques.
Dispositif de protection contre les surcharges qui permet de raccorder deux charges sur un seul jeu de fusibles. Normalement utilisé lorsque le branchement n’est pas suffisant pour alimenter deux gros appareils en même temps.
Flux d’électricité.
Intensité maximale du courant électrique dans un conducteur, exprimée en ampères.
Courant alternatif, m.C.a.Flux électrique qui change constamment de direction à raison d’une fréquence donnée. Les installations électriques d’une habitation, les appareils et équipements qui s’y trouvent fonctionnent normalement en courant alternatif.
Flux d’un courant électrique circulant dans un seul sens. Les bateaux et les voitures sont habituellement équipés d’appareils utilisant ce type de courant. Les systèmes solaires photovoltaïques produisent de l’électricité sous forme de c.c. Celui-ci doit être converti en courant alternatif au moyen d’un onduleur avant
de pouvoir être utilisé dans une maison ou transmis au réseau de distribution public.
Courroie fixant fermement un câble électrique à un électroménager pour éviter toute possibilité que le connecteur soit arraché par accident.
Contact accidentel entre deux points d’un circuit entre lesquels il existe une différence de potentiel, par un conducteur de faible résistance.
Diagramme indiquant la disposition des fusibles ou des disjoncteurs, identifiant chaque circuit; se trouve habituellement sur l’intérieur de la porte du coffret des fusibles ou disjoncteurs.
Dispositif électromécanique interrompant instantanément l’alimentation électrique par suite d’une surcharge ou d’un court- circuit, sans endommager le dispositif; sert aux mêmes fins que
le fusible, soit prévenir la surchauffe d’un circuit en surcharge, mais peut être réenclenché et n’a pas besoin d’être remplacé.
Dispositif destiné à interrompre presque instantanément une connexion accidentelle entre une installation électrique sous tension et la terre (court-circuit ou choc) lorsque le courant dépasse une valeur fixe très basse. Ce dispositif réagit à une situation dangereuse avant un fusible ou un disjoncteur, et avant qu’une personne ne soit blessée par le choc électrique.
Dispositif qui sert de protection contre les excès de courant, mais pas nécessairement contre les courts-circuits, et qui est en mesure d’ouvrir automatiquement un circuit électrique, par fusion de métal ou par un moyen électromécanique.
Voir fusible et disjoncteur.
Électrode de terre, f.Ground electrodeConducteur de gros calibre ou réseau de conducteurs, normalement enfoui sous terre, assurant la connexion entre un circuit électrique ou de l’équipement et la terre.
Réaction électrochimique entre deux métaux dissemblables, comme le cuivre et l’acier galvanisé, qui cause la corrosion d’un joint au point de rencontre des deux matériaux.
Fil porteur de courant, de couleur noire ou rouge, constituant le prolongement de la ligne de transport du fournisseur d’électricité, protégé par un fusible ou un disjoncteur.
Très ancien câblage exposé utilisant des isolateurs et des tubulures de porcelaine afin de l’isoler des surfaces sur lesquelles il est fixé ou qu’il traverse.
Utilisation d’un purificateur d’air électronique ou de fibres de plastique pour assainir l’air en attirant les particules au moyen d’une charge électrique.
Dispositif provoquant l’interruption automatique du courant dans des conditions de surcharge ou de court-circuit, en faisant fondre un élément qui ouvre le circuit lorsque des charges excessives prédéterminées sont atteintes.
Fusible qui fond sous l’effet d’une accumulation de chaleur, en plus d’une intensité de courant excessive. Il peut donc ouvrir le circuit même si la valeur du courant nominal n’a pas été dépassée. Il suffit qu’une quantité suffisante de chaleur soit produite. Syn. : fusible de type P.
Fusible temporisé, m.Time delay fuseDispositif de protection contre les surintensités qui laisse passer un courant de surtension pendant une courte période, mais qui s’ouvre pour interrompre l’alimentation électrique si la demande de courant dépasse la valeur prédéterminée de façon continue. Il sert surtout à protéger les circuits de moteurs électriques, de gros électroménagers et d’outils électriques stationnaires. Syn. : fusible de type D.
Mesure du degré de résistance d’un élément électrique au flux
de courant électrique lorsqu’une tension est appliquée (s’exprime en ohms)
Installation de mise à la terre, f.Grounding systemInstallation constituée par tous les conducteurs, les colliers et agrafes de mise à la terre, les plaques ou tuyaux de mise à la terre et les électrodes de terre.
Dispositif d’ouverture et de fermeture d’un circuit électrique ou de modification des connexions.
Interrupteur à fusibles destiné à couper le courant électrique alimentant un gros appareil électroménager.
Interrupteur bipolaire capable de couper l’électricité d’un système entier. On l’installe entre le compteur et la boîte de distribution, ou devant le compteur.
Interrupteur employé en conjonction avec un autre afin de commander une prise de courant ou un appareil d’éclairage
de deux points différents. Normalement installé aux extrémités d’escaliers et de couloirs.
Gaine non conductrice d’électricité enveloppant un fil ou un équipement et qui prévient le court-circuitage.
Mettre un corps hors contact avec tout autre corps conducteur d’électricité au moyen d’un matériau ou d’un vide d’air.
Garniture de mousse placée derrière la plaque des prises électriques, des interrupteurs et des appliques pour réduire les fuites d’air dans les murs et le vide sous toit.
Unité de mesure de la consommation d’énergie électrique durant une période donnée; plus précisément, l’utilisation de 1 000 watts en une heure. (Dans le Système international d’unités [SI], le kWh s’exprime en MJ. 1 kWh = 3,6 MJ.)
Unité de mesure du flux lumineux émis par une source lumineuse.
Prolongement de conduit servant à monter la tête de branchement à la hauteur de dégagement nécessaire pour les câbles aériens.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Ohm, m.OhmUnité de résistance électrique. Il s’agit de la résistance qui existe entre deux points d’un conducteur lorsqu’une différence de potentiel constante de 1 volt, appliquée entre ces deux points, produit dans ce conducteur un courant de 1 ampère.
Dispositif permettant de transformer un courant continu en un courant alternatif au sein de l’installation électrique d’une habitation. Le courant continu est généralement de l’énergie électrique fournie par d’autres sources d’énergie, comme
les aérogénérateurs et les panneaux solaires photovoltaïques, ou des batteries.
Boîte électrique qui distribue l’électricité à chaque circuit de dérivation (chaque fiche et chaque interrupteur) et offre une protection contre les surcharges à l’aide de disjoncteurs.
Centre de commande pour divers circuits comportant des fusibles ou des disjoncteurs habituellement contenus dans un coffret métallique. Comporte parfois des interrupteurs pour chaque circuit.
Prise où peuvent être branchés des accessoires ou de l’équipement portatif, tels que des lampes et de petits appareils électriques.
(1) Dispositif d’alimentation fixe permettant le branchement d’appareils et d’accessoires électriques.
(2) Dispositif de contact installé dans une boîte pour la connexion de câbles électriques.
Prise de courant habituellement dotée d’un fusible distinct,
qui n’est pas utilisée pour l’éclairage ou comme source d’énergie ordinaire, surtout utilisée pour la cuisinière ou la sécheuse.
Quantité d’énergie consommée ou produite durant une période donnée; s’exprime en watts.
Courte section de fil électrique.
Émission de rayons provenant d’un champ électromagnétique, d’origine artificielle si elle est provoquée par des courants électriques et d’origine naturelle si elle émane de la terre.
Élément coupe-feu, m.Fire barrierMur, porte et autre élément semblable résistant au feu qui retarde la propagation de la flamme dans un bâtiment. Voir coupe-feu.
Élément de maçonnerie creux, m.
élément de maçonnerie massif, m.
élément de maçonnerie plein, m.
élément en porte-à-faux, m.
élément rainuré, m.
Kerfed memberVoir Maçonnerie, f., types. Voir Maçonnerie, f., types. Voir Maçonnerie, f., types.
Voir Ossature de bois, f., terminologie.
Pièce de bois marquée de traits de scie réguliers sur un côté, pour en faciliter la courbure.
Élévation, f.Elevation(1) Distance verticale entre un point donné et un point de référence (p. ex. nombre de mètres au-dessus du niveau de la mer).
(2) Face extérieure d’un bâtiment en ce qui a trait à la direction dans laquelle il s’oriente ou à sa position relativement à un autre point de référence (ex. élévation sud, élévation avant,
élévation sur rue).
Émanations des gaz de combustion, f. pl.
émissions gazeuses, f. pl.
Off-gassingVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Dégagement de substances volatiles qui proviennent de matériaux de construction et de finition.
Système de stockage de la chaleur qui emploie des matériaux tels que des sels eutectiques, qui fondent en absorbant de la chaleur et qui gèlent en la libérant.
Système de stockage de la chaleur qui emploie une masse de pierre ou de maçonnerie dans un contenant isolé afin de retenir la chaleur aux fins d’usage ultérieur.
Encadrement, m.CasingMoulure décorative servant à couvrir le vide entre le revêtement mural et le cadre d’une porte ou d’une fenêtre.
Voir Fenêtres, f. pl., terminologie.
Élément de finition, doté ou non de profils ou de caractéristiques ornementaux, utilisé pour couvrir le vide entre le cadre d’une porte et son bâti d’attente.
Entrée étanche à l’air, f.Airlock entryVestibule rendu étanche à l’air par une deuxième porte à l’intérieur.
Pièce posée entre des éléments de charpente pour en maintenir l’alignement.
Personne physique ou morale engagée pour exécuter des travaux. En construction, un entrepreneur peut être engagé pour exécuter la totalité des travaux (entrepreneur général) et confier ensuite à des sous-traitants (par exemple, électriciens et plombiers) certains travaux particuliers.
Voir Efficacité énergétique, f., terminologie.
Processus de conservation des bâtiments et des terrains à leur niveau de qualité initial qui nécessite un programme d’inspection, de nettoyage et de réparation.
Enveloppe du bâtiment, f.Building envelopeÉléments d’un bâtiment, incluant son support structural, qui séparent les espaces conditionnés des espaces non conditionnés.
Assemblage isolant d’un bâtiment constitué des murs, plafonds, planchers, portes et fenêtres qui forme une enceinte destinée
à réduire les pertes ou les gains de chaleur et à le protéger des
fluctuations de la température extérieure.
Équarrissage, m.DressingDressage et piquage de la pierre ou du bois aux fins de construction.
Différence d’élévation entre deux courbes de niveau contiguës.
Voir Bois de construction, m., terminologie.
Équipement mécanique, m.Mechanical equipmentTout équipement se rapportant aux ascenseurs, à l’extinction des incendies, à la plomberie, au chauffage, à la climatisation, à la ventilation et à la canalisation du gaz.
Transport des particules de sol véhiculées au hasard de l’action du vent, de l’eau ou de la gravité.
Ouvrage composé d’une série de marches de même hauteur, permettant de passer d’un niveau de plancher à un autre.
Comprend des paliers, des limons, des contremarches, des
poteaux de départ, des mains courantes et des balustrades.
Espace conditionné, m.Conditioned spaceToute zone chauffée ou climatisée d’un bâtiment qui se trouve à l’intérieur de l’enveloppe.
Pièce en bon état et salubre où des personnes peuvent habiter, vivre. Syn. : pièce habitable.
Essence de térébenthine, f.TurpentineHuile volatile à base de pétrole servant de diluant dans les peintures et de solvant dans les vernis.
Partie d’un bâtiment située entre le plafond d’une aire de plancher et le plafond de l’aire de plancher située directement au- dessus ou, dans le cas du dernier étage d’un bâtiment, le plafond de ce dernier étage. Le terme « étage » est souvent employé pour décrire la hauteur d’un immeuble relativement au nombre d’aires de plancher habitables situées au-dessus du niveau du sol.
Capacité de l’enveloppe du bâtiment ou d’un composant de l’enveloppe du bâtiment de résister aux fuites d’air.
Étayage, m.ShoringAssemblage de pièces en bois ou d’autres matériaux destiné à soutenir provisoirement un bâtiment ou les côtés d’une excavation.
Étoupe, f.OakumLin ou chanvre traité servant à calfeutrer les joints dans un emboîtement et dans un assemblage à emboîtement.
Pièce de charpente conçue pour résister à une contrainte de compression longitudinale, comme les pièces qui supportent un faîtage ou des chevrons.
Section d’acier repliée de manière à pouvoir être assujettie
à une solive ou à une poutre afin d’établir un appui d’extrémité pour les solives, les chevêtres, etc.
Échantillonnage des sols d’un site afin de déterminer leurs propriétés, leur emplacement, la qualité du drainage et leur capacité portante, habituellement effectué par forages et analyses subséquentes en laboratoire.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Processus par lequel un liquide (généralement de l’eau) est changé en vapeur sous l’effet de la chaleur latente.
Ouverture permettant le passage, l’échappement ou la baisse de pression d’un fluide, d’un gaz, de l’air ou de la fumée.
Évent de faîte, m.Ridge ventÉvent de forme linéaire en métal ou en plastique situé le long du faîte d’un toit pour ventiler le vide sous toit.
Cuve avec alimentation en eau et vidange généralement utilisée pour laver la vaisselle.
Mouvement, fuite d’air ou de liquide vers l’extérieur d’une enceinte. Ce terme est souvent associé au déplacement fortuit de l’air intérieur vers l’extérieur par des ouvertures créées intentionnellement ou non dans l’enveloppe d’un bâtiment.
Exsudation, f.BleedingApparition de résine, de gomme, de créosote ou d’autres substances à la surface du bois ou apparition d’eau à la surface du béton. Voir eau de ressuage.
Voir gicleur.
Mélange de chaux vive et d’eau. Face supérieure courbe d’une arche.
F
(1) Face verticale, visible en entier, d’un bâtiment. Il s’agit habituellement de sa face principale, donnant sur la rue ou ayant une valeur architecturale particulière.
(2) Vue de la façade avant d’un bâtiment. Syn. : élévation avant.
Facteur de sécurité, m.Factor of safetyRapport entre la charge de rupture d’un matériau, d’un élément ou d’une construction et la charge sûre admissible. Par exemple, si pour une corde pouvant soutenir une charge de 2 000 kg avant de se rompre on spécifie que la corde ne doit porter qu’une charge d’au plus 1 000 kg, le facteur de sécurité est établi en divisant 2 000 par 1 000, soit 2.
Mesure de la propension d’un matériau ou d’un assemblage de matériaux à transmettre la chaleur, exprimée en watts par mètre carré par degré Celsius. Le facteur U est l’inverse de la valeur R, c.-à-d., U = 1/R.
Sommet d’un toit, ligne de rencontre des chevrons.
Ornement, souvent long et étroit, rapporté sur le faîtage d’une toiture.
Poudre fine semblable à de la craie qui est le fruit de la détérioration de la peinture par oxydation. Voir Peinture, f., terminologie.
Demi-longueur de brique quelquefois employée dans l’appareil flamand.
Fenêtrage, m.FenestrationRépartition ou disposition des fenêtres, portes et boiseries ornementales dans un mur.
À double vitrage, loc. adj.Double-glazedSe dit d’une fenêtre dont le vitrage est constitué de deux parois de verre séparées par une lame d’air pour en accroître la résistance thermique (RSI).
Se dit d’une fenêtre comportant trois parois de verre séparées par une lame d’air pour en augmenter la résistance thermique (RSI).
Base du cadre de la fenêtre, inclinée vers l’extérieur pour écarter l’eau de pluie.
Ouvrage d’encadrement d’une ouverture destinée à recevoir une fenêtre.
Assemblage qui reçoit la vitre d’une fenêtre. Vitre de petite dimension.
Cadre léger en bois, en métal ou en plastique, fixe ou ouvrant, qui reçoit le vitrage.
Châssis se présentant par paires et coulissant verticalement, dont un seul est ouvrant, habituellement le châssis inférieur. Voir fenêtre à guillotine à deux vantaux.
Châssis se manœuvrant à l’horizontale sur une languette ou un rail.
Châssis simple fixé en permanence dans un cadre de façon qu’il ne puisse être élevé, abaissé ou tiré.
Châssis qui s’ouvre ou se ferme au moyen de pivots situés de part et d’autre du châssis ou en partie supérieure et inférieure.
Terme employé dans le domaine du chauffage et de la climatisation pour décrire la quantité de chaleur qui se transmet par les fenêtres. Une valeur de 1,0 correspond à une transmission de 100 % et une valeur de 0,5, à une transmission de 50 %.
Coefficient de transmission de chaleur, m.U-valueFlux de chaleur total traversant l’ensemble d’une fenêtre (centre et rives du vitrage, cadre et intercalaire). Syn. : coefficient U, valeur U, coefficient k (anciennement).
Contre-fenêtre, f.Storm windowChâssis de pleine grandeur, fixe ou mobile, ajouté à l’extérieur d’une fenêtre pour offrir une protection contre les intempéries. Syn. : contre-châssis.
Poids qui fait équilibre au poids du châssis pour en faciliter l’ouverture.
Revêtement chimique dur à faible émissivité appliqué au verre d’une fenêtre pour en améliorer le rendement énergétique.
Dans les fenêtres à guillotine, dispositif habituellement à ressort, conçu pour contrebalancer le châssis d’une fenêtre sans l’emploi de pesées, de poulies et de corde.
Ensemble des deux parois vitrées d’une porte ou d’une fenêtre séparées par une lame d’air. Elles peuvent être scellées
hermétiquement pour former un seul élément ou être installées séparément dans une porte ou un châssis.
Cadre extérieur d’une fenêtre avec appui dans lequel sont suspendus les châssis coulissants ou les battants.
Cadre qui contient un châssis monté sur des charnières latérales pour s’ouvrir vers l’intérieur ou l’extérieur.
Fenêtre de style ancien caractérisée par la présence de petits-bois qui retiennent des carreaux de vitre individuels. Une fenêtre comprend plusieurs carreaux.
Fenêtre dont le vitrage est enduit d’une mince couche métallique qui réduit le rayonnement de la chaleur. Ces fenêtres sont conçues pour conserver la fraîcheur en été et
la chaleur en hiver. Voir couche pyrolytique et pellicule appliquée par pulvérisation cathodique.
Paire de châssis superposés coulissant à la verticale, indépendamment l’un de l’autre, dotés de ressorts ou de contrepoids pour en faciliter l’ouverture et la fermeture.
Fenêtre à l’italienne, f.Awning windowCadre contenant un ou plusieurs châssis, chacun étant installé dans un plan vertical et monté sur des charnières pour permettre au bas du châssis de s’ouvrir vers l’extérieur. Syn. : fenêtre-auvent.
Fenêtre n’ayant qu’un seul vitrage.
Cadre comprenant un ou plusieurs châssis installés à la verticale et montés sur charnières de façon à ce que le haut du châssis s’ouvre vers l’intérieur.
Cadre contenant au moins une paire de châssis dont les traverses s’emboîtent l’une dans l’autre lorsque ces châssis sont fermés.
Les châssis sont installés à la verticale et conçus pour se déplacer verticalement ou horizontalement.
Fenêtre en saillie courbée au lieu d’être segmentée. Voir fenêtre en baie.
Fenêtre avec son cadre, ses châssis et son vitrage qui, dans des conditions normales d’essai, répond aux exigences de protection contre l’incendie pour l’emplacement auquel elle est destinée.
Fenêtre verticale dans une lucarne qui sert à éclairer une pièce située dans les combles.
Fenêtre qui avance au-delà de l’alignement d’une façade et du compartiment dans lequel elle est située. Syn. : fenêtre en saillie. Voir fenêtre cintrée.
Fenêtre ou groupe de fenêtres qui font saillie sur le mur d’un bâtiment et qui s’appuient sur des corbeaux.
Fenêtre haute, f.Clerestory windowFenêtre percée dans les parties hautes du mur d’une pièce.
Voir claire-voie.
Fenêtre contenant un certain nombre de panneaux de verre à recouvrement mobiles et disposés comme les lames d’une jalousie.
Fenêtre hermétique dont la lame d’air entre les vitres est remplacée par une lame d’argon ou parfois de krypton – des gaz inertes plus lourds que l’air –, ce qui en accroît la performance thermique.
Fenêtre sans châssis, f.Sashless windowFenêtre avec cadre en bois contenant au moins deux vitres avec rive polie ou meulée. Au moins une des vitres coulisse horizontalement ou verticalement.
Fenêtre ayant un vitrage en arc au-dessus d’un vitrage rectangulaire
Imposte, f.Transom windowBaie fixe ou ouvrante, souvent rectangulaire et placée à l’horizontale, située au-dessus d’une porte ou d’une autre fenêtre.
Indice établi selon un barème de cotation énergétique permettant de comparer la quantité d’énergie perdue par les portes coulissantes et les fenêtres, au travers du vitrage et par les fuites d’air, les intercalaires et les cadres avec les gains de chaleur provenant de l’énergie solaire. Il s’exprime en watts par mètre carré et le coefficient peut être positif ou négatif. Le RE type d’une fenêtre à vitrage simple est de -50, de -30 pour le vitrage double et entre -12 et +4 pour les vitrages à lame d’argon et à faible émissivité.
Élément de charpente horizontal situé au-dessus d’une baie de fenêtre.
Élément vertical séparant des fenêtres ou des portes adjacentes. Le meneau peut être structural lorsqu’il doit supporter un linteau au-dessus d’une baie de fenêtre ou de porte. Désigne aussi l’élément vertical situé entre deux portes adjacentes sur lequel
la porte vient s’appuyer à la fermeture, s’enclencher et parfois se verrouiller.
Point de rencontre de deux panneaux d’une porte coulissante en verre, d’une fenêtre à guillotine ou d’une fenêtre coulissante créant une protection contre les infiltrations d’air et d’eau.
Revêtement souple à faible émissivité appliqué sur le verre d’une fenêtre que l’on bombarde d’atomes d’argent ou de zinc sous vide.
Fer d’angle, m.Angle ironSection d’acier en forme de L utilisée fréquemment pour soutenir la maçonnerie au-dessus d’une baie de fenêtre ou de porte. Voir linteau.
Barre d’acier ayant la forme d’un T, en coupe transversale.
Assemblage de pièces de charpente en bois ou en métal, à âme rigide ou triangulée, utilisées pour soutenir les planchers et les toits. Les fermes peuvent aussi servir à réaliser les assemblages muraux des maisons très éconergétiques afin de créer des murs plus épais pour accroître la quantité d’isolant qu’on peut y mettre. Elles portent alors le nom de poutrelles murales verticales.
Ferme à deux poinçons, f.Queen-post trussDans les charpentes en bois d’œuvre, genre de ferme qui comporte deux poinçons soutenant les membrures, au lieu d’un seul comme dans le cas de la ferme simple.
Feuillure, f.Rabbet(1) Entaille pratiquée le long de la rive d’une planche ou pièce de bois, d’un panneau de particules ou de contreplaqué ou d’un autre élément en bois d’œuvre.
(2) Renfoncement dans une brique de façade destiné à loger un cadre de fenêtre.
(3) Renfoncement dans un cadre de porte destiné à loger la porte.
(1) Fils de verre très fins réunis sous forme de laine utilisée comme isolant thermique ou acoustique ou enchevêtrés en un mat de verre qui, une fois combiné avec des résines synthétiques, forme un matériau léger et très robuste.
(2) Composé de fibres de verre tirées ou soufflées directement
à partir de verre fondu.
Fibre optique, f.Fibre opticsFilament de verre très fin de forme cylindrique par lequel passent des pulsions lumineuses codées pour transmettre des signaux audio et vidéo ainsi que des données.
Fil à plomb, m.Plumb lineCordeau muni d’une masse à une extrémité utilisé pour établir une ligne verticale ou une ligne perpendiculaire par rapport à l’horizontale ou comme ligne de référence au moment de vérifier la verticalité ou un autre positionnement.
Filtration, f.LeachingMigration d’une substance à la surface. En maçonnerie, la filtration laisse souvent un dépôt salin à la surface.
Voir Électricité, f., terminologie.
Mécanisme forçant l’air à passer à travers un filtre et un média filtrant mécanique. Ce processus capte les particules telles que la poussière, les desquamations animales et le pollen. Les filtres plus fins peuvent capter les microorganismes.
Appareil débarrassant un fluide ou un gaz d’éléments indésirables.
Filtre activé par l’absorption de vapeur d’eau lorsque les gaz polluants, attirés par le charbon, adhèrent au filtre.
Dispositif contenant un bloc ou des granules de charbon et destiné à enlever certaines particules de l’eau. Le charbon actif dans le filtre élimine les produits volatils indésirables tels que le chlore, les gaz toxiques, les solvants, les pesticides et certains minéraux en traces.
Filtre à haute efficacité pour les particules
de l’air, m.
HEPAFiltre à air constitué de fibres de verre submicroniques capable de retenir 99,97 % de toutes les particules de plus
de 0,3 micromètre circulant dans un flux d’air. Fréquemment utilisé dans les établissements industriels où l’on fabrique des composants électroniques et des produits pharmaceutiques, mais peut aussi être employé dans les habitations lorsque des occupants sont hypersensibles aux matières particulaires en
suspension dans l’air.
Fini au balai, m.Broom finishProcédé de finition du béton qui consiste à en effectuer le surfaçage à l’aide d’un balai lorsqu’il est encore humide pour lui donner une texture rugueuse et un motif linéaire.
Flèche, f.DeflectionDéplacement d’un élément structural tel un poteau, une poutre ou un linteau sous l’effet d’une charge, qu’il s’agisse d’une charge permanente ou d’une surcharge.
Matériau de renforcement ou servant de surface de clouage pour certains revêtements de finition.
Partie inférieure d’un ouvrage, généralement en maçonnerie ou en béton. Comprend les semelles, par l’entremise desquelles les charges d’un bâtiment sont transférées au sol d’appui.
Fondations de bois et de contreplaqué traitées sous pression avec des produits chimiques pour en accroître la résistance à la pourriture et aux insectes à long terme. Voir Béton,
m., terminologie.
Fondations dont la hauteur est inférieure à celle d’un sous-sol ordinaire et qui abritent un vide sanitaire, une aire de rangement ou un autre espace non habitable.
Fondations suffisamment profondes pour offrir une hauteur libre adéquate entre le plafond et le plancher sur toute la superficie
du bâtiment.
Gaz incolore, à l’odeur âcre très irritante qui peut se dégager de certains adhésifs, isolants, articles d’ameublement, fibres, panneaux de particules, plastiques et agents de traitement.
Espace ouvert en bas du niveau du sol, contigu à un bâtiment, utilisé pour laisser passer l’air ou la lumière ou servant de moyen d’accès à un sous-sol ou à une cave. Syn. : puits de lumière.
Fourrure, f.Furring [1]; strapping [2](1) Élément généralement long et plat qui est posé sur un bâti pour fixer des revêtements ou pour donner l’impression que le mur est plus épais. Syn. : fond de clouage.
(2) Latte de bois fixée aux faces des murs et plafonds pour servir de support aux bardages, aux plaques de plâtre, aux lattis pour plâtre et à d’autres revêtements. Syn. : fond de clouage.
Ouverture ou appareil situé à la base d’une cheminée où l’on brûle du bois ou du gaz pour produire de la chaleur ou créer une ambiance. Souvent réalisé en maçonnerie, en pierre ou en métal, le foyer peut être intégré ou non à la structure d’une maison.
Entrée publique ou commune dans un ensemble résidentiel.
Appareil de chauffage au bois qui emmagasine la chaleur qu’il produit dans la masse que constituent ses briques ou ses pierres pour ensuite la libérer. La chaleur ainsi emmagasinée peut rayonner pendant des heures après que le feu est éteint. Syn. : corps de chauffe en maçonnerie.
Foyer construit selon des techniques avancées de combustion et d’échange thermique pour augmenter l’efficacité de chauffage.
Évasement pratiqué dans une pièce quelconque pour qu’une plaque de métal ou la tête d’une vis ou d’un boulon ne fasse pas saillie sur la face de l’ouvrage.
Partie médiane d’un entablement entre l’architrave et la corniche. Partie supérieure d’un mur décoré en bas de la corniche.
(1) Pignon à pente faible.
(2) Couronnement ornementé, de profil bas et généralement triangulaire, situé à l’avant d’un bâtiment ou au-dessus d’une porte ou d’une fenêtre.
Inclinaison de l’un des parements d’un mur, telle que l’épaisseur du mur diminue de sa base vers son faîte.
Flux d’air incontrôlé au travers de l’enveloppe ou d’un composant d’un bâtiment en raison d’une différence de pression. Voir infiltration et exfiltration.
Gâche, f.Strike platePetit boîtier métallique fixé sur le chambranle d’une porte dans lequel s’engage le pêne d’une serrure.
Chaleur produite par les humains, l’éclairage, les appareils électroménagers et d’autres objets non conçus pour le chauffage des locaux qui accroît l’apport thermique et réduit de ce fait
les besoins en chauffage, mais qui augmente les besoins en
climatisation.
Gain solaire passif, m.Passive solar gainApport thermique que reçoit un matériau ou un espace lorsque l’énergie solaire pénètre par les fenêtres. Syn. : apport solaire passif.
Galeries souterraines,
f. pl.
Shelter tubeTunnels creusés par les termites sous la terre pour se protéger pendant qu’ils se déplacent entre la colonie souterraine et une source de nourriture en surface.
Garantie, f.WarrantyPromesse d’un fabricant, d’un fournisseur ou d’une autre partie qu’un produit, qu’un matériau ou que la qualité d’exécution seront conformes à un niveau de performance donné pour
une période déterminée. La plupart des émetteurs de garanties s’engagent à réparer ou à remplacer le produit ou le matériau,
à refaire le travail ou à en rembourser le coût.
Garde-corps, m.GuardBarrière de protection placée autour d’une ouverture dans un plancher ou sur les côtés ouverts d’un escalier, d’une rampe d’accès, d’un palier, d’un balcon, d’une mezzanine, d’une galerie ou d’un passage piéton surélevé ou à tout autre endroit afin de prévenir une chute dans le vide ou encore l’entrée par mégarde dans une zone dangereuse.
Garde-corps constitué d’une lisse supérieure et d’une lisse intermédiaire, cette dernière étant située à mi-chemin environ entre la sous-face de la lisse supérieure et le plancher.
Gaz à effet de serre,
m.
GESGaz présent dans l’atmosphère terrestre qui absorbe et émet
les rayons issus du spectre de rayonnement infrarouge thermique, ce qui a pour effet d’augmenter la température de l’atmosphère.
Gaz naturel, m.Natural gasMélange d’hydrocarbures gazeux combustibles constitué essentiellement de méthane, mais contenant aussi une petite quantité d’éthane, de propane et de butane. Le gaz naturel
est acheminé par tuyaux jusqu’aux bâtiments pour y alimenter en combustible les générateurs d’air chaud, les chauffe-eau,
les cuisinières, les foyers et les sécheuses.
Gazon en plaques, m.SodTapis de gazon et de sol coupé immédiatement sous les racines et posé sur un nouveau terrain pour y aménager rapidement une pelouse. Syn. : gazon cultivé.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Générateur d’air chaud à condensation, m.
générateur d’air chaud à deux régimes, m.
générateur d’air chaud à régime variable, m.
générateur d’air chaud électrique, m.
générateur d’air chaud mural, m.
générateur d’air chaud par circulation naturelle, m.
générateur d’air chaud sans conduits, m.
générateur-pulseur d’air chaud, m.
gerçure, f.
ShakeVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Défectuosité se présentant dans un arbre vivant, due au gel, au vent ou à d’autres causes, ou par suite de dommages causés lors de l’abattage, du flottage, etc., qui se révèle plus tard dans le bois usiné, plus communément sous forme de séparation partielle ou complète entre les anneaux de croissance.
Cueillette, transport, traitement et élimination des déchets produits par un processus comme la construction d’un bâtiment. Peut comprendre la gestion et le contrôle des matières résiduelles en vue de déterminer comment en réduire la quantité, les recycler ou les détourner des lieux d’enfouissement.
Dans un bâtiment, dispositif activé par la chaleur ou la fumée destiné à éteindre un début d’incendie. Syn. : extincteur automatique à eau. Voir aussi Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Distance horizontale d’une marche mesurée d’une contremarche à l’autre. Voir pas.
Liquide transparent posé sur les tuiles ou les carreaux avant leur cuisson pour leur donner une surface lustrée.
Gobetis, m.RoughcastEspèce d’enduit extérieur auquel de petites pierres anguleuses sont mélangées. Voir stucco.
Produit bitumineux, liquide ou semi-solide, ayant des propriétés adhésives et imperméables. Voir asphalte.
Cheville de bois ou de métal utilisée pour retenir ou renforcer deux éléments de bois d’œuvre à leur point d’assemblage; cheville ou tenon s’ajustant dans un trou correspondant, servant à assujettir deux pièces de bois l’une à l’autre.
Pièce de bois ou de métal fixée de part et d’autre d’un joint pour en augmenter la résistance et la stabilité.
Gouttière, f.Eavestrough, gutterCanal métallique fixé sur le débord de toit, qui recueille l’eau de pluie et l’achemine vers la descente pluviale.
Chéneau de bois habituellement doublé de métal.
Gradient, m.GradientDegré d’inclinaison ou pente sur une surface quelconque.
Granulat, m.AggregateMatériaux comme le gravier, la pierre concassée ou le sable qui peuvent être utilisés dans la couche de base des semelles, des patios et des voies d’accès pour automobiles ou auxquels le ciment et l’eau sont malaxés pour donner du béton. Voir granulat minéral.
Granulat (sable) d’un diamètre inférieur à 5 mm (0,20 po).
Granulat (pierre concassée et gravier) d’un diamètre de 5 mm (0,20 po) et plus.
Granulat consistant en un mélange de pierres concassées, de scories concassées, de gravier concassé ou non, de sable, de pierre, de refus de tamisage et de poussière minérale. Voir granulat.
Particule de matières végétales sèches ou de bois séché, utilisée comme combustible dans les poêles à bois. Voir poêle à granulés.
Grille, f.Grate, grating [1]; grill [2](1) Assemblage de barres d’acier placées au-dessus d’une ouverture pour permettre l’écoulement de l’eau ou le mouvement de l’air.
(2) Assemblage de barres d’acier posées à une fenêtre pour en empêcher l’accès. Décrit aussi les insertions ou meneaux ajoutés aux panneaux de verre pour imiter les anciennes fenêtres. Voir Fenêtres, f. pl., terminologie : fenêtre
à carreaux.
Habillage, m.TrimOuvrage exécuté par les entrepreneurs en mécanique et en électricité peu avant l’achèvement des travaux.
Hauban, m.Guy wireCâble tendu entre un élément vertical à stabiliser et un point fixe auquel il est solidement ancré. Souvent utilisé pour maintenir en place des arbres récemment plantés ou des antennes.
Distance verticale entre un plan horizontal au niveau du sol et un plan horizontal passant par : (a) le point le plus élevé
de la toiture dans le cas d’un bâtiment à toit plat ou à toiture- terrasse (un toit dont la pente est inférieure à 20 ° par rapport à l’horizontale est considéré comme un toit plat); ou (b) le niveau moyen de la portion d’un toit en pente située entre le débord de
toit et le faîte.
Hauteur de bâtiment en étages, f.Height of building in storeysNombre d’étages compris entre la toiture la plus élevée d’un bâtiment (à l’exception d’une construction hors toit dépourvue de logements) et le plancher de son premier étage.
Espace entre le dessus de la tête d’une personne et le plafond ou un autre élément de charpente.
Variété de plantes généralement utilisée comme aménagement paysager et comme mesure de contrôle de l’érosion. Syn. : gazon
Se dit d’un élément qui n’est pas vertical.
Humidificateur, m.HumidifierAppareil portatif ou raccordé à l’installation de chauffage d’une habitation destiné à accroître la teneur en eau de l’air.
Appareil réglant le fonctionnement d’un humidificateur, d’un déshumidificateur ou d’un ventilateur en fonction de la teneur en eau de l’air ambiant
Quantité de vapeur d’eau contenue dans l’air. Généralement exprimée en tant que taux d’humidité relative. Voir aussi humidité relative.
Masse de vapeur d’eau présente dans un volume d’air donné ordinairement exprimée en grammes par mètre cube d’air. Peut aussi désigner la masse d’eau contenue dans une masse d’air sec donnée. Voir rapport de mélange.
Quantité de vapeur d’eau contenue dans l’air (exprimée en pourcentage) par rapport à la quantité d’eau que l’air à la même température pourrait contenir si l’air était entièrement saturé. Voir rapport de mélange et point de rosée.
Hygromètre, m.HygrometerAppareil qui sert à mesurer l’humidité relative.
ICCCRHRAII
Abréviation d’Institut canadien du chauffage, de la climatisation et de la réfrigération.
Bloc central comportant parfois des armoires ou des tablettes au-dessous.
Bâtiment comprenant trois logements ou plus superposés, souvent desservis par une entrée commune et partageant d’autres services et aménagements essentiels.
Voir Habitations, f. pl., types.
Imperméabilisation des fondations, f.Foundation waterproofingMesure de protection contre l’humidité de grande qualité réalisée sous le niveau du sol. Sert à empêcher l’eau d’entrer dans les murs extérieurs de béton et de maçonnerie et les dalles de plancher lorsqu’une pression hydrostatique se produit.
Se dit d’un sol ou d’un matériau qui ne permet pas le passage de l’eau.
Baie située au-dessus d’une porte ou d’une fenêtre, servant à faire pénétrer la lumière naturelle ou à ventiler. Voir aussi Fenêtres, f. pl., terminologie.
Inclinaison, f.RakeVersant, comme dans un toit en pente. Extrémité d’un mur en pente; pente.
Angle vertical d’inclinaison d’un capteur d’énergie solaire – ou de la toiture qui le soutient – par rapport à l’horizon.
Indice d’isolement aux bruits d’impact, m.Impact insulation class [IIC]Mesure de l’affaiblissement du bruit dû aux impacts et vibrations dans la charpente transmis par les planchers et les plafonds.
Indice de propagation de la flamme, m.Flame-spread ratingIndice ou classement indiquant la vitesse de propagation de la flamme à la surface d’un matériau ou d’un assemblage de
matériaux, déterminé par un essai normalisé de comportement au feu.
Voir Fenêtres, f. pl., terminologie.
Indice de performance des murs, planchers et autres assemblages relativement à l’atténuation des bruits aéroportés. Voir indice d’isolement aux bruits d’impact.
Infiltration, f.InfiltrationPénétration accidentelle d’air ou de liquide. Ce terme évoque souvent le mouvement non maîtrisé d’air extérieur vers l’intérieur d’un bâtiment à travers des ouvertures intentionnelles ou non perçant l’enveloppe d’un bâtiment.
Appareillage comportant un gros ventilateur installé dans l’embrasure d’une porte extérieure pour dépressuriser une maison ou un bâtiment afin d’en déterminer les caractéristiques d’étanchéité à l’air. Peut également servir à dépressuriser une maison afin de repérer les endroits où il y a infiltration d’air au moyen de dispositifs de détection tels que les poires à fumée et les caméras ou enregistreurs vidéo thermographiques.
Installation combinée de chauffage des locaux et de l’eau potable, f.
installation de
ReVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Réutilisation, f. et recyclage, m. de l’eau, terminologie.
Installation de chauffage à air chaud à prolongement de plénum, f.
installation de collecte de l’eau de pluie, f.
installation de mise à la terre, f.
installation de plomberie, f.
installation de ventilation avec réseau de conduits reliant toute l’habitation, f.
installation de ventilation hybride, f.
installation de ventilation par extraction d’air, f.
installation de ventilation par extraction et apport d’air, f.
installation de ventilation simplifiée, f.
installations de plomberie parallèles, f. pl.
installations mécaniques,
f. pl.
Mechanical systemsVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Réutilisation, f. et recyclage, m. de l’eau, terminologie.
Voir Électricité, f., terminologie. Voir Plomberie, f., terminologie. Voir Ventilation, f., terminologie.
Voir Ventilation, f., terminologie. Voir Ventilation, f., terminologie. Voir Ventilation, f., terminologie.
Voir Ventilation, f., terminologie.
Voir Réutilisation, f. et recyclage, m. de l’eau, terminologie.
Ensemble des matériels, tuyauteries, câbles, conduits et autres composants de l’équipement mécanique d’un bâtiment assurant les services de chauffage de l’eau et des locaux, de ventilation, d’extinction des incendies, d’adduction, etc.
Instructions fournies par un fabricant relatives à l’installation, à l’utilisation et à l’entretien d’un produit que l’on doit suivre pour assurer le bon fonctionnement du produit et le respect de la garantie.
Voir Efficacité énergétique, f., terminologie.
Isolation thermique, f.Thermal insulationTerme générique qui s’applique à tous les matériaux utilisés pour bloquer ou réduire le transfert de chaleur. Voir Isolation, f., terminologie.
Couverture isolante, f.BlanketIsolant qui couvre un réservoir à eau chaude pour conserver l’énergie.
Matériau isolant composé de fibres de verre formées en matelas légers d’épaisseur uniforme. Syn. : laine de verre isolante.
Matériau non métallique à faible conductivité thermique placé sur le pourtour d’un panneau de vitre afin de séparer et de sceller les vitrages d’une fenêtre éconergétique. L’intercalaire isolant améliore la performance énergétique des fenêtres et réduit
le risque de condensation.
Matériau offrant une résistance thermique plus élevée que la moyenne employé pour empêcher la transmission de la chaleur ou d’autres formes d’énergie.
Isolant en vrac fait de papier journal recyclé déchiqueté qu’on a traité avec des produits chimiques résistant au feu et inhibant la croissance de champignons.
Isolant en nattes ou en rouleaux fait de fibres provenant de divers matériaux (fibres de verre, fibres minérales, roche).
Matériau isolant fabriqué à partir de coton, de vêtements recyclés, de chanvre, de laine, de lin, etc. dont les fibres sont
liées par adhésif pour former des matelas ou des panneaux rigides ou semi-rigides ignifugés et protégés contre les ravageurs et
les attaques fongiques.
Matériau isolant à la fois léger et rigide formé à partir de perles de polystyrène contenant de l’air, lesquelles sont liées ensemble et moulées en panneaux isolants et en d’autres formes comme celles utilisées pour la réalisation des coffrages isolants. Étant donné que les perles de polystyrène sont agglutinées les unes aux autres, ce matériau est plus perméable à l’humidité qu’un isolant en polystyrène extrudé.
Isolant de polystyrène extrudé, m.Extruded polystyrene insulationMatériau isolant à la fois léger et rigide obtenu par l’extrusion de perles de polystyrène dissoutes au moyen d’un procédé chimique. La structure à alvéoles fermées, fine et uniforme, qui en résulte permet d’obtenir un matériau moins perméable à l’humidité
et offrant un meilleur pouvoir isolant par unité d’épaisseur que le polystyrène expansé.
Mousse isolante cellulaire contenant des gaz frigorigènes (hydrurofluorurocarbones), qui peut aussi être utilisée comme pare-air, mais non comme pare-vapeur.
Isolant de fibre de verre, de laine minérale ou d’autre matière fibreuse, d’épaisseur et de densité diverses, taillé pour être posé entre les éléments d’ossature. Syn. : isolant en natte.
Isolant en vrac, m.Loose fillMatériaux divers dont la texture varie entre granulaire et mousseuse, convenant parfaitement aux espaces irréguliers ou difficiles d’accès, où l’espace est asymétrique ou encombré. Ne convient pas à une utilisation au-dessous du niveau du sol.
Isolant soufflé, m.Blown insulationIsolant en vrac, de basse densité, injecté dans un vide
sous toit, un mur ou ailleurs, le plus souvent à l’aide d’une souffleuse mécanique.
Action de mettre en œuvre de l’isolant. Voir ce mot. Voir aussi
Électricité, f., terminologie.
Laine minérale, f.Mineral woolMatériau employé pour l’isolation thermique de bâtiments, produit par un jet de vapeur contre de la pierre ou des scories en fusion; les types les plus courants sont la laine de roche, la laine de verre et la laine de laitier.
Isolant thermique sans pare-vapeur, qui se maintient en place dans la charpente par friction, sans autre mode de fixation.
Mousse d’isocyanurate, f.Isocyanurate plastic foamIsolant en mousse de plastique cellulaire, semi-flexible, composé d’isocyanurates, de résines et de catalyseurs; peut aussi servir
de pare-air.
Matériau isolant constitué de mousse de cellulose et de polyuréthane appliquée sous pression, avec un pulvérisateur, sur des murs ou à l’intérieur d’un vide sous toit, d’un vide sanitaire ou d’un plancher. La cellulose peut être mélangée avec de l’eau et des adhésifs afin de pouvoir coller aux surfaces verticales dans des cavités ouvertes.
Mousse injectée dans les cavités murales.
Panneau isolant semi-rigide fabriqué à partir de fibre de verre comprimée souvent employé comme revêtement intermédiaire isolant sur les murs extérieurs, que ce soit au-dessous ou au- dessus du niveau du sol.
Panneau isolant fabriqué à partir de résines de phénol- formaldéhyde, convenant aux endroits où l’espace est limité et nécessitant un coefficient de résistance thermique élevé. Nota : La mousse phénolique doit être protégée contre le soleil et l’eau.
Panneau isolant fait de plastique à alvéoles fermées convenant aux endroits où l’espace est limité et nécessitant un coefficient de résistance thermique élevé.
Panneau à coefficient de résistance thermique très élevé constitué d’un matériau léger, rigide et poreux scellé à l’intérieur d’une mince enveloppe étanche dont presque tout l’air a été retiré.
La valeur d’isolation thermique qui résulte du vide créé dans le panneau peut atteindre RSI 5,2 par centimètre (R75 par pouce).
Matériau d’isolation dense et rigide, existant en panneaux mesurant généralement 1 200 mm sur 2 400 mm. Syn. : isolant rigide.
Minéral qui, une fois chauffé, prend de l’expansion et se remplit d’air, ce qui lui confère des propriétés isolantes. Il s’agit d’un matériau granulaire léger, utilisé en vrac, qui est versé dans la zone à isoler. Comme la vermiculite peut contenir de l’amiante, elle peut représenter un risque pour la santé si elle est déplacée.
Issue, f.ExitPartie d’un moyen d’évacuation, y compris les portes, qui conduit de l’aire de plancher qu’il dessert à un bâtiment distinct, à une voie de circulation publique dégagée (une rue p. ex.) ou
à un endroit extérieur à découvert non exposé au feu provenant du bâtiment et ayant un accès à une voie de circulation publique. Syn. : sortie.
Issue permettant de passer d’un bâtiment à un autre par une porte, un vestibule, un passage, une passerelle ou un balcon.
J
Joint, m.JointLigne séparative formée par la rencontre de deux ou plusieurs pièces ou composants contigus. Voir Joints, m. pl., terminologie.
Voir Bois de construction, m., terminologie.
Joint d’assise, m.Bed joint(1) Joint horizontal en briquetage ou en maçonnerie.
(2) Joint rayonnant d’un arc.
Voir Électricité, f., terminologie.
Joint raclé, m.Raked jointJoint dans un placage de maçonnerie où le mortier est tiré de façon à ce que sa surface soit en retrait de la face de la maçonnerie.
Joule, m.JouleUnité de mesure énergétique du Système international d’unités (SI) servant à quantifier le chauffage et la climatisation. Un joule est égal au travail d’une force d’un newton qui déplace son point d’application de 1 mètre dans la direction de l’application de la force, équivalente au watt-seconde. Symbole : J. Dans les unités de mesure anglo-saxonnes, c’est l’unité thermique britannique (Btu) qui sert à quantifier le chauffage et la climatisation.
K
Laboratoires des assureurs du Canada,
m. pl.
ULCOrganisme indépendant sans but lucratif qui effectue des essais de sécurité et produit des certificats d’homologation. Il est agréé par le Conseil canadien des normes dans le cadre du Système national des normes.
Lambourde, f.SleeperBande de bois posée sur un plancher ou un toit pour soutenir un plancher de bois ou une plate-forme. Voir aussi Ossature de bois, f., terminologie.
Tasseau de bois fixé sur le côté d’une poutre ou d’un mur et sur lequel les solives s’appuient.
Cavité ou espace dans les murs, fenêtres ou autres parties fermées d’un bâtiment entre divers éléments de charpente.
Se dit de couches de bois collées, vissées ou clouées ensemble pour former un tout et les rendre solidaires. Certains planchers sont dits lamellés lorsqu’ils sont constitués de pièces de bois posées sur chant (platelage). Syn. : stratifié.
Lampadaire, m.Light standardPoteau supportant un luminaire, généralement à l’extérieur.
Lampe dont la lumière est émise au moyen d’un filament porté à l’incandescence par le passage d’un courant électrique.
Mince tringle rectangulaire en bois qui sert à joindre deux pièces rainurées et à en consolider l’assemblage.
Couvercle ou autre dispositif placé au-dessus d’une baie de toiture pour laisser passer la lumière naturelle ou, lorsqu’on peut l’ouvrir, pour ventiler l’espace. Syn. : puits de lumière.
Larmier, m.Drip edgeÉlément de métal, de plastique, de maçonnerie ou de béton faisant saillie sur une façade et obligeant un liquide (comme l’eau) à s’égoutter vers l’extérieur plutôt que de ruisseler sur la surface. Peut aussi désigner uniquement le petit canal ménagé en sous-face de l’élément. Voir coupe-larme.
Désigne chacune des bandes de bois ou de métal appliquées sur les murs et les plafonds pour servir de support d’enduit. Voir treillis.
Pièce de bois étroite et mince utilisée comme support d’enduit ou de stucco.
Métal déployé ou fil métallique tissé employé comme support à enduit ou à stucco.
Appareil sanitaire fixe à hauteur de table, avec cuvette, robinets d’eau courante et système de vidange.
Lessivage, m.LeachingDissolution naturelle des sels minéraux et autres nutriments contenus dans le sol, par l’eau de pluie ou l’eau d’irrigation infiltrée au cours de sa percolation au travers du terrain, qui altère la fertilité et la composition physique du sol.
En charpenterie, désigne le mode d’assemblage des murs à poteaux d’acier fixés au rail supérieur par un dispositif flexible permettant au mur de transférer des charges horizontales, mais pas des charges verticales. Voir mur à poteaux flottants.
Ligne de centre, f.Centre lineLigne réelle ou présumée qui divise de façon symétrique
une surface ou un objet et qui sert de ligne de référence pour le mesurage. Syn. : axe.
Ligne de position connue servant de référence pour la localisation de bâtiments, sentiers et chemins ou toute autre construction.
Point d’où une arche, un plafond à gorge ou une construction semblable s’écarte de la verticale.
Ligne de repère de hauteur, f.Datum lineEn arpentage, ligne de base d’après laquelle toutes les lignes ou élévations sont prises.
Ligne établie par arpentage délimitant les frontières légales d’une propriété. Voir limite de terrain.
Lignes de bornage d’une parcelle de terre décrite comme un lotissement dans le titre d’une propriété. Voir limite de propriété.
Ligne délimitant sur un plan, une coupe ou une élévation l’étendue légale de l’aire dans laquelle s’effectuent des travaux de construction.
Élément entaillé pour recevoir les extrémités des marches et des contremarches d’un escalier. Syn. : limon d’escalier. Voir aussi Sol, m., terminologie.
Élément de charpente horizontal qui supporte la charge au-dessus d’une baie de porte ou de fenêtre et la transmet aux montants. Voir Fenêtres, f. pl., terminologie.
Fer d’angle en acier placé au-dessus d’une fenêtre ou d’une autre ouverture pour soutenir un placage de brique
Élément horizontal auquel se fixe l’extrémité inférieure des poteaux d’un mur à ossature de bois. Voir Ossature de bois, f., terminologie : lisse basse.
Lisseuse, f.Darby floatTaloche légère à lame semi-rigide en plastique ou en acier inoxydable pour l’étalement ou l’égalisation d’enduit, de crépi ou de béton.
Lit, m.Bed(1) Toute surface horizontale préparée pour recevoir l’élément ou les éléments qui seront posés par-dessus.
(2) En maçonnerie, couche horizontale de mortier sur laquelle
repose chaque assise de maçonnerie.
Lit de mortier, m.Mortar bedCouche de mortier dans laquelle se pose une pièce de charpente, un élément de maçonnerie ou un carreau.
Logement, m.,Dwelling unitUnité d’habitation à l’usage d’une ou plusieurs personnes où l’on peut faire la cuisine, manger, vivre et dormir, et comportant des installations sanitaires.
Logement collectif, m.Multiple dwellingDésigne un bâtiment, ou l’un des logements d’un bâtiment selon le cas, comportant plus de deux unités et pouvant se présenter sous la forme d’un immeuble d’appartements, d’un triplex, de logements superposés ou de divers types de maisons en rangée. Syn. : collectif d’habitation.
Cavité ou espace dans un mur de maçonnerie ou de béton pour recevoir l’extrémité d’une poutre. Syn. : retrait à poutre.
Logement polyvalent, m.Flexible housingLogement doté de caractéristiques et de commodités particulières comblant une vaste gamme de besoins pour divers types d’occupants, ce qui leur permet d’y demeurer plus longtemps que dans une habitation ordinaire. Les quatre principes
du logement polyvalent sont l’adaptabilité, l’accessibilité,
l’abordabilité et la qualité du milieu intérieur.
Accès sans obstacles, m.Barrier free designSignifie qu’une personne ayant une incapacité physique ou sensorielle peut atteindre un immeuble, y entrer et en utiliser les installations. Un bâtiment ainsi conçu ne comporte ni élément architectural ni facteur psychologique susceptible d’empêcher une personne, handicapée ou non, de s’y rendre ou d’en utiliser les commodités.
Concept créé par la SCHL, le Bâti-FlexMC est une architecture qui permet de modifier l’aménagement intérieur d’un bâtiment au gré des besoins des occupants. Par exemple, on pourra réaménager l’espace et les installations afin d’ajouter ou d’enlever un appartement accessoire, transformer une pièce en chambre pour un nouveau-né ou un parent âgé ou encore ajouter un bureau.
Conception de produits et d’environnements qui comblent les besoins d’un large éventail de gens. Elle tient compte des
besoins des personnes à mobilité réduite ou ayant une incapacité cognitive et de ceux de la population en général en prévoyant des aménagements utiles, fonctionnels, intuitifs, sécuritaires et accessibles à un grand nombre de personnes.
État d’une personne qui présente des limitations d’activités et des restrictions à la participation découlant d’une condition physique ou mentale ou d’un problème de santé.
Logement comportant des caractéristiques, des commodités ou des produits permettant de mieux répondre aux besoins d’une personne handicapée et, par le fait même, de maximiser le nombre de personnes qui peuvent l’occuper facilement.
Logement conçu et construit pour être modifié ultérieurement au moindre coût à mesure que les besoins et la situation des occupants changent. Peut comporter de l’espace prévu pour aménager un bureau ou un appartement accessoire, ou des mesures facilitant la vie des occupants à mobilité variable, telles qu’une douche aménagée pour fauteuils roulants, des embrasures de porte élargies et des entrées sans seuil.
Appareils, équipements et systèmes qui accroissent l’autonomie et la sécurité des personnes ayant une incapacité physique, sensorielle ou cognitive. Peut comprendre les sonnettes qui activent une lumière clignotante, les avertisseurs personnels d’urgence ou les monte-escalier.
Longrine, f.StringerPièce de bois longue et lourde, d’allure horizontale, servant à répartir les charges ou à les transmettre à des appuis, ou poutre en bois ou en béton formant entretoise entre des pieux ou
des poteaux.
Mesure horizontale du limon utilisée en charpenterie d’escalier.
Loupe, f.BurlExcroissance localisée du bois, généralement causée par une croissance anormale due à une blessure de l’arbre.
Lucarne, f.DormerOuvrage dont la charpente fait saillie sur un toit en pente. La lucarne est généralement créée pour faire entrer de la lumière ou pour accroître l’espace habitable sous le comble. Elle peut aussi n’être qu’un élément décoratif.
Maçonnerie, f.MasonryM
Pierres, briques ou autres produits terreux utilisés pour la construction de bâtiments.
Maçonnerie brute, f.RubbleMaçonnerie élevée en petits blocs de pierre plus ou moins taillés appelés moellons. Lorsque seules les irrégularités grossières
sont enlevées, il s’agit de moellons smillés, et lorsque les pierres de chaque assise sont grossièrement dressées à une hauteur
à peu près uniforme, il s’agit de moellons alignés. Voir aussi
Maçonnerie, f., types.
Main courante, f.Banister [1]; handrail [2](1) Pièce longue et profilée qui couronne la balustrade d’un escalier.
(2) Pièce d’appui horizontale ou en pente (dans le cas d’une rampe ou d’un escalier) située au haut ou sur le côté d’un garde-corps, d’un mur ou d’une balustrade pour que la main d’une personne puisse s’y tenir afin de prévenir les chutes.
Voir Efficacité énergétique, f., terminologie.
Maison intelligente, f.Smart houseHabitation dotée de systèmes automatisés commandant, entre autres, le système de sécurité, le chauffage et la climatisation des zones, les appareils de divertissement, etc. et facilitant
la communication.
Maison mobile, f.Mobile homeMaison fabriquée en usine, puis installée sur un cadre avec roues en vue de son déplacement vers le terrain qui lui est destiné.
Maison modulaire, f.Modular homeMaison fabriquée par modules.
Maladie liée aux immeubles, f.MLIMaladie le plus souvent infectieuse qui survient à la suite d’un séjour dans un immeuble, mais qui diffère du syndrome des bâtiments hermétiques du fait qu’elle est confirmée par des résultats obtenus en clinique et en laboratoire. La maladie des légionnaires, due à la propagation de micro-organismes par le système de climatisation, en est un exemple.
Tuyau ou autre élément installé dans un ensemble de construction avant la mise en place du béton pour y faire passer les services mécaniques et électriques.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Manchon de tuyau à fumée, m.
manteau de cheminée, m.
Mantel, mantelpieceVoir Cheminées, f. pl., terminologie.
Tablette décorative placée au-dessus d’un foyer.
Surface horizontale sur laquelle on pose le pied pour monter ou descendre d’un niveau à un autre.
Partie d’escalier ayant la forme d’un trapèze qui est utilisée pour établir un changement de direction par rapport à la ligne de foulée. Syn. : marche rayonnante.
Dernière marche d’une volée d’escalier, de plain-pied avec le palier. Syn. : planche palière.
Marge de reculement, f.SetbackDistance horizontale entre le mur d’un bâtiment et l’alignement de la voie publique ou la limite de propriété. Syn. : recul.
Mastic, m.Carpentry putty [1];
mastic [2]
(1) Matériau pâteux et plastique utilisé par les vitriers, les peintres et les menuisiers pour sceller le verre dans les châssis ou obturer de petits trous dans le bois, comme ceux qu’ont laissés les clous.
(2) Matériau utilisé comme adhésif souple ou produit d’étanchéité.
Mastic acoustique, m.Acoustic sealantProduit d’étanchéité synthétique qui ne durcit pas et convient aux assemblages conçus pour l’isolement acoustique. Peut également servir au scellement des joints des membranes de polyéthylène utilisées comme pare-air ou pare-vapeur.
Terme générique désignant un matériau malléable étanche à l’air et à l’eau utilisé du côté intérieur et extérieur des bâtiments pour prévenir les fuites d’air et d’eau par les joints et les ouvertures dans l’enveloppe. Sert aussi à sceller et à finir les joints autour des appareils sanitaires, sur le pourtour des murs entourant
une douche ou une baignoire, un dosseret, etc. Syn. : pâte à calfeutrer.
Matériau d’étanchéité durable, élastique et imperméable qui est efficace pour sceller les joints entre des matériaux pouvant être soumis à l’humidité (baignoires, cabines de douche, lavabos, robinets, etc.). Syn. : pâte à calfeutrer à base de silicone.
Produit de calfeutrage constitué d’une émulsion à base d’eau, pouvant être peint, et que l’on applique sur les surfaces non poreuses comme l’aluminium, le verre et le carrelage céramique, ou qui sert au scellement et à la finition des joints sur les surfaces de bois.
Produit d’étanchéité en caoutchouc synthétique pouvant être peint et adhérant à la plupart des surfaces, dont le métal et
la maçonnerie.
Matériau d’étanchéité pouvant être peint et ne perdant pas de son élasticité après la cure; convient bien pour utilisation sur des surfaces de pierre, de maçonnerie et de béton.
Produit de composition chimique variable servant à assurer l’étanchéité à l’eau ou à l’air.
Mastic de fond, m.Back putty, back beddingMastic utilisé sur la feuillure d’un châssis avant d’y insérer la vitre.
Mastic de vitrier, m.Glazier puttyMélange de chaux en poudre et d’huile de lin formant une substance plastique pour fixer les carreaux dans les cadres après l’enfoncement des pointes de vitrier.
Matelas isolant maintenu par friction, m.
matériau combustible/ incombustible, m.
Combustible and non- combustible materialVoir Isolation, f., terminologie.
En général, un matériau combustible peut brûler et un matériau incombustible ne peut pas brûler. Les matériaux sont classés sous la rubrique combustible ou incombustible dans les limites des températures qui peuvent régner à l’intérieur d’un bâtiment dans des conditions normales ou en cas d’incendie. L’expression
incombustible s’applique généralement aux matériaux conformes aux critères de la norme CAN4-S114M Détermination de l’incombustibilité des matériaux de construction.
Voir Toits, m. pl., types.
Matériaux tels que roche concassée, gravier et certains sols utilisés à des fins de remblayage ou pour favoriser l’évacuation de l’eau sous une dalle.
Matériau fabriqué à partir de matières recyclées avant consommation détournées du flux des déchets produits par un procédé de fabrication et/ou à partir de matières recyclées après consommation détournées du flux des déchets produits par les secteurs résidentiel, commercial et institutionnel.
Matériau réutilisé sans avoir été réusiné ou avoir subi un traitement quelconque.
Matériau suffisamment rigide pour être autoportant et être fixé avec des clous ou des vis. Par exemple : un isolant rigide.
Ensemble d’accessoires (rails montés au plafond, appareils de levage, tableau de commande, commutateurs, moteur électrique, bloc d’alimentation et batterie de secours) conçus pour aider les personnes à mobilité réduite.
MCEECMAbréviation de moteur à commutation électronique.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Plomberie, f., terminologie.
Matériau utilisé pour empêcher l’humidité de traverser les éléments d’un bâtiment, tels qu’une dalle ou une semelle de béton et un mur de fondation, ou pour empêcher l’humidité de passer d’un matériau à un autre, notamment entre la maçonnerie ou le béton et le bois.
Terme générique désignant tout matériau en feuille, comme le papier traité au goudron bitumineux, la polyoléfine filée-liée et le caoutchouc synthétique, appliqué sur les murs extérieurs d’un bâtiment pour les protéger contre les infiltrations d’air et d’eau. Syn. : membrane pare-intempéries.
Filtre constitué d’une mince pellicule percée de pores microscopiques à travers laquelle circule de l’eau sous pression pour y être débarrassée de diverses impuretés, notamment des microorganismes.
Matériau en feuille qui, une fois posé sur un toit, une paroi murale ou un mur de fondation, empêche la pénétration de l’eau.
Voir membrane de revêtement intermédiaire.
Menuiseries, f. pl.MillworkMatériaux de construction fabriqués en bois dans une usine de conversion, comme les moulures, les portes, les fenêtres et leurs cadres ainsi que les escaliers.
Mesures d’économie de l’eau, f. pl.Water retrofitRemplacement des accessoires et appareils sanitaires existants par des produits ou accessoires économes en eau. Ces mesures peuvent notamment consister en l’installation de toilettes de six litres à faible consommation d’eau ou à double chasse, de pommes de douche à débit réduit, d’aérateurs de robinets et de citernes pour la collecte des eaux de pluie à des fins d’irrigation. Syn. : modernisation des installations de plomberie, mesures de conservation des ressources en eau.
Voir mesures d’économie de l’eau.
Treillis métallique formé par matriçage ou découpage des tôles qui sont étirées de manière à former des mailles ouvertes. Employé comme armature dans les constructions en béton et comme lattis pour le plâtre et le stucco.
Mettre d’aplomb, v.PlumbRendre vertical.
Comptoir ou meuble qui sert d’appui à un lavabo ou une vasque dans une salle de bains ou une salle de toilette.
Étage intermédiaire partiel entre le plancher et le plafond de tout étage.
Ensemble des conditions climatiques particulières à un endroit donné, qui diffèrent des conditions générales environnantes. Un microclimat peut être influencé par le relief, la végétation, l’écoulement des eaux pluviales, l’exposition au soleil ou
les structures contiguës comme les bâtiments et les aires
de stationnement.
MLIBRIVoir maladie liée aux immeubles.
Ensemble des accessoires installés dans un lieu extérieur tels que bancs, jardinières, poubelles, tables, chaises, équipement de jeu, abris, etc.
(1) Ajout d’équipement, de systèmes, de composants ou d’autres éléments à un bâtiment après sa construction. Selon le contexte, on pourra aussi utiliser les noms adaptation (f.), modification (f.) ou installation (f.) ou encore modifier
la phrase pour utiliser les verbes correspondants.
(2) En anglais, le terme « retrofitting » décrit souvent – implicitement – l’ajout d’isolant, de commandes, d’appareils et de fenêtres éconergétiques, d’installations solaires, de mesures d’étanchéité à l’air pour améliorer l’efficacité énergétique d’un bâtiment (energy efficiency retrofit). En français, dans ce sens, on utilisera plutôt les expressions « amélioration thermique » et « rénovation éconergétique ». Voir Efficacité énergétique,
f., terminologie : rénovation éconergétique.
Voir mesures d’économie de l’eau.
Module de rupture, m.Modulus of ruptureValeur de la contrainte unitaire de la fibre, calculée suivant l’hypothèse d’une variation linéaire de contrainte, lorsqu’une poutre est rompue sous l’effet d’une charge transversale connue.
Moisissure, f.Mold, mildewChampignon microscopique qui prolifère sur les matières humides, dont les matériaux de construction, les plantes, le papier, le cuir, etc.
Se dit d’une construction faite d’une masse continue d’un matériau. Voir Construction, f., types.
Gaz de combustion incolore, inodore et toxique produit lors de la combustion par les chaufferettes au kérosène, les poêles à bois, les appareils au gaz sans conduit d’évacuation et les automobiles. Dangereux même en faibles concentrations. Les effets toxiques s’accumulent avec la durée de l’exposition.
Montant, m.Jamb [1]; stile [2](1) Poteau latéral d’une porte, d’une fenêtre ou de toute autre ouverture.
(2) Élément vertical d’un châssis, d’une porte, d’une pièce d’ossature ou d’un panneau qui sert de support aux extrémités d’une traverse.
Voir Fenêtres, f. pl., terminologie.
Fauteuil ou plate-forme qui se déplace au moyen d’un moteur sur un rail installé le long d’une volée d’escalier. Cet appareil permet aux personnes en fauteuil roulant ou à mobilité réduite d’atteindre facilement les différents niveaux d’une maison. Syn. : élévateur d’escalier.
Moraillon, m.HaspDispositif de verrouillage consistant en une plaque fendue qui s’ajuste sur un crampon d’un cadre de porte et est retenue en place par une cheville ou un cadenas.
(1) Entaille faite dans une planche ou une porte pour recevoir un verrou ou une charnière.
(2) Entaille faite dans une colonne ou une poutre pour recevoir
un tenon.
Mortier, m.MortarMatériau liant obtenu suivant un dosage prescrit de ciment, de sable et d’eau.
Mortier dont le ciment est principalement du ciment Portland.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie. Pièce de bois à profil déterminé servant de décoration.
Moulure de corniche, f.Bed-mouldingToute moulure utilisée pour couvrir le joint à la rencontre d’un mur et d’une corniche en saillie.
Moulure décorative posée au haut d’une pièce, à la jonction du mur et du plafond.
Toute moulure placée à la base d’une colonne, d’un poteau, d’un mur, etc. Voir quart-de-rond.
Mousse d’étanchéité à l’uréthane, f.Urethane foam sealantMousse isolante servant à obturer de larges joints ou cavités lorsque les matériaux d’étanchéité usuels ne conviennent pas, par exemple autour des ouvertures de plomberie et de ventilation.
Mousse isolante appliquée par projection, f.
mousse isolante d’urée- formaldéhyde, f.
moyen d’évacuation, m.
Means of egressVoir Isolation, f., terminologie.
Voir Isolation, f., terminologie.
Voie continue d’évacuation permettant aux personnes qui se trouvent à un endroit quelconque d’un bâtiment ou d’une cour intérieure d’accéder à un bâtiment distinct, une voie publique ou un endroit extérieur à découvert non exposé au feu provenant du bâtiment et donnant accès à une voie publique; comprend
les issues et les accès à l’issue.
Mur à poteaux flottants, m.Free-floating stud wallMur à poteaux d’acier fixé au rail supérieur de façon à transférer des charges horizontales, mais pas des charges verticales.
Mur coupe-feu, m.FirewallSéparation de construction incombustible qui divise un bâtiment ou sépare des bâtiments contigus afin de s’opposer à la propagation du feu, et qui offre un degré de résistance au feu
conforme aux normes en vigueur tout en maintenant sa stabilité structurale lorsqu’elle est exposée au feu pendant le temps correspondant à sa durée de résistance au feu.
Mur en maçonnerie constitué de deux parois séparées par un vide d’environ 50 mm (1,97 po) d’épaisseur et fixées ensemble par
des agrafes métalliques ou des ouvrages de liaisonnement afin de
résister aux charges. Voir aussi Maçonnerie, f., types.
Mur de contreventement, m.
mur de fenêtres hautes, m.
ClerestoryVoir Murs, m. pl., terminologie.
Partie supérieure d’un mur comportant des fenêtres servant à laisser entrer la lumière du jour dans un bâtiment. Mur
dont les fenêtres sont situées au-dessus d’une toiture adjacente et permettent l’entrée de lumière à l’intérieur du bâtiment.
Syn. : claire-voie.
Mur à ossature d’acier ou de bois, en béton ou en maçonnerie situé dans l’assemblage mural extérieur d’un bâtiment qui
lui permet de résister aux charges latérales et sert à fixer le revêtement de finition extérieur, l’isolant, le pare-air, le pare- vapeur, de même que le revêtement de finition intérieur (plaques de plâtre ou enduit).
Partie d’un mur extérieur, d’un mur mitoyen ou d’un
mur coupe-feu se prolongeant au-dessus du niveau du toit.
Voir parapet.
Maçonnerie de pierres plus ou moins appareillées, non liées par un mortier, servant habituellement de mur de soutènement de faible hauteur.
Mur dont la partie supérieure, ayant souvent la forme d’un triangle, est comprise dans une toiture ou en fait saillie.
Mur de soutènement, m.Retaining wall(1) Mur destiné à retenir ou à soutenir un talus de terre.
(2) Mur soumis à une pression latérale autre que la pression du vent.
(3) Mur de pourtour construit pour résister à la pression latérale de charges internes.
Voir écran pare-pluie à pression équilibrée.
Mur qui sépare un logement d’un autre ou des aires communes d’un bâtiment. Voir aussi Murs, m. pl., terminologie.
Mur-rideau, m.Curtain wallMince paroi de façade fixée directement à l’ossature d’un bâtiment et qui ne soutient aucune autre charge verticale que son propre poids.
Mur en maçonnerie ou en béton, situé derrière une grande surface vitrée s’étendant du plancher au plafond, qui absorbe et emmagasine la chaleur solaire afin de la restituer plus tard
au milieu ambiant.
Mycélium, m.MyceliaEnsemble des filaments formant l’appareil végétatif d’un champignon qui envahissent un matériau et transportent les nutriments dissous.
N
Masse d’eau souterraine soumise à une pression. Niveau en bas duquel le sol et le roc sont saturés d’eau.
Étendue d’eau libre contenue dans les pores du sol, les sédiments et la roche. Cette eau provient de la pluie et de la fonte des neiges et de la glace et elle sert à alimenter les aquifères, les sources et
les puits. La partie supérieure de cette étendue d’eau constitue la nappe phréatique.
Caoutchouc synthétique dense et compressible utilisé comme fond de joint pour les mastics, comme garniture d’étanchéité pour les portes et fenêtres et dans les membranes d’imperméabilisation en feuilles.
Rive arrondie et en saillie d’une marche d’escalier, d’un appui de fenêtre, d’un comptoir.
Niveau moyen du sol autour d’un mur de fondation. Peut aussi désigner la pente du terrain ou le gradient que l’on peut modifier par déblai et remblai.
Nivellement définitif, m.Finish gradingTravail qui consiste à niveler un terrain, à étendre la terre pour obtenir un profil désiré après la construction des bâtiments et des autres structures. Syn. : régalage de finition.
Voir terrassement général.
Nœud, m.KnotPartie d’une branche d’arbre parfois présente dans le bois de sciage. L’emplacement des nœuds, leurs dimensions et leur solidité ont une incidence sur la classification du bois.
En électricité et en domotique, extrémité d’une branche ou point de jonction de plusieurs branches raccordées à un système de commande central.
Nombre de personnes pour lequel un bâtiment ou une partie de bâtiment est conçu.
Angle interne formé à la jonction de deux pentes d’un toit.
Partie centrale restante d’une bille de bois taillée par un couteau rotatif.
O
Ogive, f.OgiveUne des nervures saillantes et de renfort d’une voûte.
Organe de fructification, m.Fruiting bodyMasse charnue qui se dépose sur le bois carié et qui est responsable de la production de spores des champignons microscopiques
de la carie. Sa présence indique un stade avancé de détérioration du bois. Cette masse revêt différentes formes selon la famille de champignons en cause; certaines excroissances ressemblent à des
crochets, d’autres à des champignons macroscopiques.
Orientation, f.OrientationPosition angulaire d’un axe ou d’une surface, comme un bâtiment ou un mur, par rapport aux points cardinaux.
Disposition d’un bâtiment sur son terrain. Le terme est souvent utilisé lorsqu’il est question d’ensoleillement et il définit alors l’emplacement du bâtiment par rapport au rayonnement solaire.
Chevron, m.RafterUn des éléments inclinés qui constituent la charpente du toit et en supportent les charges, mais non les revêtements de plafond. Généralement d’une épaisseur de 38 mm (1,5 po).
Court élément de bois se prolongeant au-delà d’un mur afin de porter le débord d’un toit.
Moitié supérieure de la sablière d’un mur à ossature de bois.
Petites pièces de bois insérées en diagonale entre les solives contiguës d’un plancher pour en augmenter la rigidité et en empêcher la déformation.
Assemblage structural conçu pour résister aux forces latérales du vent et des tremblements de terre auxquelles sont soumis des murs de cisaillement ou une charpente. Le diaphragme peut faire partie d’un plancher, d’un mur ou d’une toiture
et est habituellement réalisé avec des panneaux de contreplaqué ou de copeaux orientés fixés à l’ossature.
Voir écharpe encastrée.
Pièce de bois insérée dans les rainures des poteaux muraux qu’elle contrevente, laissant une surface plane du côté contreventé.
Syn. : écharpe à embrèvement.
Élément relativement court, tel une poutre, une solive ou un chevron, supporté par un chevêtre à une extrémité.
Prolongement d’un chevron au-delà de la ligne du mur.
Chevron court s’étendant de la sablière à un arêtier ou d’une noue au faîte.
Entaille pratiquée à l’extrémité d’un chevron qui crée une surface plane pour que le chevron puisse s’appuyer sur la sablière.
Élément de raidissage des solives, incorporé entre celles-ci, ayant la forme d’éléments pleins ou de deux éléments entrecroisés (voir croix de Saint-André).
Lambourde, f.Ribband, ribbon, ledgerPièce de bois encochée ou clouée à l’arrière des poteaux pour supporter l’extrémité des solives de plancher ou de plafond dans une ossature à claire-voie.
Élément horizontal d’un mur à ossature de bois fixé à la base des poteaux du mur et aux éléments de la charpente du plancher.
Élément structural ancré sur le dessus d’un mur de fondation sur lequel reposent les solives de plancher.
Ossature murale conçue pour résister aux forces latérales appliquées dans son propre plan. Le mur de cisaillement peut être fait d’un ou de plusieurs segments dans le plan du mur.
Méthode de construction à ossature de bois où les poteaux se prolongent d’une seule venue depuis la lisse d’assise des
fondations jusqu’à la sablière qui supporte le toit. Le plancher est habituellement suspendu à des lambourdes intégrées à l’ossature à claire-voie.
Charpente de maison renforcée par des écharpes, particulièrement aux angles.
Ossature de bois réalisée au moyen d’une technique qui consiste à calculer minutieusement et à réduire au minimum la quantité de bois nécessaire pour réaliser l’ossature en fonction des besoins structuraux et de finition. Une ossature évoluée peut comprendre des poteaux positionnés à entraxe de 600 mm, des poteaux alignés avec les solives et les fermes afin de limiter l’emploi de sablières jumelées et de poteaux nains de renfort, des poteaux corniers à deux éléments, des contreventements latéraux au lieu d’un revêtement intermédiaire, etc.
Élément horizontal habituellement de 18 mm (0,7 po) d’épaisseur situé à l’extrémité supérieure des chevrons et auquel ceux-ci sont cloués. Syn. : planche faîtière.
En construction de plancher en bois d’ingénierie, élément d’ossature entourant la rive d’un plancher servant à transférer les charges verticales d’un plancher à un autre et à fixer les solives de plancher.
Poteau, m.StudÉlément vertical faisant partie d’une série constituant les murs ou les cloisons d’une construction à ossature de bois, habituellement d’une épaisseur nominale de 50 mm (2 po).
Potelet cloué au bâti d’attente d’une porte ou d’une fenêtre afin d’en augmenter la rigidité et d’établir un appui solide pour le linteau et un fond de clouage pour le chambranle de porte ou le cadre de fenêtre.
Poteau court qui sert à transférer la charge d’une sablière au linteau d’une porte ou d’une fenêtre et aux cloisons.
Élément structural horizontal habituellement de 50 mm (2 po) d’épaisseur qui supporte l’extrémité supérieure des chevrons.
Pièce de métal servant à renforcer un élément d’un mur de charpente affaibli par la pénétration d’un conduit de plomberie.
Élément horizontal fixé à l’extrémité supérieure des poteaux formant les cloisons et les murs et généralement doublé pour transférer les charges du dessus aux poteaux muraux.
Élément horizontal ou incliné en bois, faisant partie d’une série, ayant généralement une épaisseur nominale de 50 mm, destiné à soutenir un plancher, un plafond ou un toit.
Élément de charpente longitudinal placé le long d’une ouverture et auquel s’assemble un chevêtre.
Pour les planchers faits de bois d’échantillon, solive qui couvre le périmètre des solives de plancher. Voir solive de rive.
Un de plusieurs éléments d’ossature horizontaux habituellement utilisés avec des chevrons ou des solives de toit dans la toiture. Ces éléments séparent les aires habitées du vide sous toit et soutiennent le plafond. Les solives de plafond peuvent servir à assujettir la partie inférieure de chevrons opposés afin de prévenir leur écartement et peuvent fournir un appui aux murs nains dans le vide sous toit.
Élément horizontal ou incliné en bois, faisant partie d’une série, ayant généralement une épaisseur nominale de 50 mm, destiné à soutenir un plancher.
Solive de bordure située perpendiculairement aux solives de plancher et clouée à celles-ci.
Balcon, m.BalconyPlate-forme en saillie sur la face d’un mur, en porte-à-faux ou supportée par des poteaux ou des consoles, fermée par une balustrade ou un garde-corps.
Construction au haut d’une maison, ou dans un lieu élevé, d’où la vue s’étend au loin.
Petit bâtiment attenant à une maison ou indépendant qui abrite une ou plusieurs automobiles.
Petit pavillon décoratif normalement coiffé d’un toit et ouvert sur tous les côtés, mais parfois partiellement fermé ou muni de moustiquaires.
Perron, m.PerronEscalier extérieur dont la dernière marche forme palier devant la porte d’entrée d’un bâtiment.
Construction en saillie sur l’extérieur d’un bâtiment qui en abrite l’entrée.
Type de porche supporté par des colonnes et comportant un fronton.
Construction qui permet de se livrer à différents jeux (grimper, ramper, glisser, se balancer).
Plate-forme surélevée, généralement attenante à l’étage d’une maison, suffisamment grande pour accueillir des chaises, des tables, des jardinières et d’autres équipements d’extérieur.
Aire (pavée, en bois ou paysagée) relativement de niveau, attenante à un bâtiment.
Galerie ouverte (habituellement surmontée d’un toit) attenante à l’extérieur d’un bâtiment. Une véranda située à l’entrée d’une maison peut être considérée comme un porche.
Palier, m.Landing, stair landingP
Plate-forme entre deux volées d’escalier.
Panneau, m.Panel(1) Feuille d’OSB, de contreplaqué ou d’un autre matériau.
(2) Planche mince dont toutes les extrémités sont insérées dans une rainure ou un cadre fait d’un matériau plus épais.
(3) Portion d’une surface plane en retrait d’un lambris, d’une corniche, d’un plafond, mise en valeur par une moulure ou un autre élément décoratif.
(4) Section d’un plancher, d’un mur, d’un plafond ou d’un toit, habituellement préfabriquée et de grandes dimensions, manutentionnée comme un élément simple dans les
opérations d’assemblage et de montage.
Panneau de copeaux orientés, m.
panneau de disjoncteurs, m.
panneau de distribution, m.
panneau de fibre de verre, m.
panneau de fibres, m.
FibreboardVoir Bois d’ingénierie, m., terminologie.
Voir Électricité, f., terminologie. Voir Électricité, f., terminologie. Voir Isolation, f., terminologie.
Panneau fabriqué à partir de fibres de bois agglomérées.
Voir Bois d’ingénierie, m., terminologie.
Voir Bois d’ingénierie, m., terminologie.
Panneau de mousse phénolique, m.
panneau de particules, m.
ParticleboardVoir Isolation, f., terminologie.
Produit de bois fabriqué de sciures et de particules de bois collées, largement utilisé dans la fabrication des comptoirs, des tablettes et des meubles.
Voir Isolation, f., terminologie.
Panneaux structuraux isolés, m. pl.
panneresse, f.
StretcherBéton, m., terminologie.
Désigne la face de parement d’une brique posée de manière à présenter sa grande face.
Papier de revêtement solide généralement imprégné de bitume et posé sous ou derrière les matériaux de revêtement extérieur
d’une construction à ossature de bois en vue de la protéger contre l’eau liquide.
Papier semi-perméable traité au goudron ou à l’asphalte et posé sous le parement d’un mur extérieur pour assurer une protection contre le passage de l’eau ou de l’air.
Papier de construction saturé d’asphalte à chaud employé sous la couverture et les matériaux de revêtement extérieur comme protection contre l’infiltration d’eau.
Mur en surélévation à l’extrémité d’une surface, comme un toit, une terrasse, un pont, etc.
Pare-air, m.Air barrierCombinaison de matériaux durables, imperméables et étanches à l’air que l’on intègre à l’enveloppe d’un bâtiment en
l’assujettissant à son ossature pour envelopper complètement et de façon continue le volume intérieur conditionné du bâtiment (formé par les plafonds, les murs extérieurs, les portes, les fenêtres, les murs de fondation et les planchers) et pour résister au mouvement de l’air entre l’intérieur et l’extérieur.
Voir Efficacité énergétique, f., terminologie.
Parement, m.CladdingTout matériau couvrant un mur intérieur ou extérieur.
Matériau utilisé dans l’enveloppe d’une habitation pour retarder le passage de la vapeur d’eau.
Feuille ou membrane textile placée du côté extérieur de l’enveloppe du bâtiment de manière à protéger l’isolant thermique contre toute circulation d’air extérieur. Voir polyoléfine filée-liée.
Unité servant à exprimer l’épaisseur d’un ouvrage de maçonnerie habituellement fondée sur un élément de maçonnerie. Par exemple, un mur de maçonnerie pourrait être décrit comme étant à simple, double ou triple paroi.
Muret de tôle ondulée, de béton ou de bois d’œuvre aménagé autour du puits de lumière d’un sous-sol pour éviter l’éboulement des terres vers la fenêtre. Syn. : margelle.
Revêtement de sol fait de petites pièces de bois qui forment des dessins géométriques.
Revêtement de sol en bois formé de lames étroites embouvetées.
Solides (poussière, fumée, pollen, etc.) en suspension dans l’air.
Les particules inhalables, que les poumons peuvent respirer en profondeur, ont un diamètre inférieur à 10 micromètres (un micromètre égale un millionième de mètre).
Partiellement organique, loc. adj.
pas, m.
TreadVoir Sol, m., terminologie.
Partie horizontale d’une marche, par opposition à la contremarche verticale. Le pas comprend le giron et le nez de la marche.
Unité de mesure de contrainte ou de pression dans le Système international d’unités. 250 pascals = 1 pouce de colonne d’eau.
Espace laissé entre l’isolant thermique du toit et le support de couverture qui permet à l’air de circuler librement.
Couloir étroit couvert reliant une maison et un bâtiment auxiliaire.
PcmCFMAbréviation de pied cube-minute. Unité de mesure souvent utilisée pour exprimer le débit de l’air.
Liant, m.BinderConstituant filmogène de la peinture qui a une incidence sur des propriétés telles que l’adhérence, la durabilité, le lustre et
la résilience. Les liants sont des résines naturelles et synthétiques telles que l’alkyde et l’acrylique.
Revêtement décoratif et protecteur appliqué sur un subjectile et constitué de pigments (pour donner la couleur, le pouvoir couvrant et le lustre), d’un solvant (pour donner au produit la
consistance nécessaire à son application) et de liants (pour assurer la durabilité et l’adhérence).
Peinture dont les pigments sont dispersés dans une huile siccative, habituellement l’huile de lin.
Peinture à base d’huile dont le liant est l’alkyde. Offre une bonne résistance à l’usure normale.
Terme général souvent employé (improprement) pour
désigner des peintures à l’eau dont les liants sont des polymères synthétiques tels que l’acrylique, le vinylacrylique et le styrène acrylique. Voir peinture-émulsion acrylique.
Peinture faite de pigments purs sans additifs. Les pigments ne sont pas moulus, mais réduits pour être très fins et suspendus dans un véhicule colloïdal.
Produit combinant deux substances liées chimiquement qui constituent une peinture ayant d’excellentes propriétés pour résister à la corrosion et donner une finition dure et stable.
Peinture dite « au latex » contenant un liant acrylique qui résiste bien aux taches, est facile à laver et adhère très bien au subjectile. Syn. : émulsion acrylique.
Dernière étape suivant la défaillance d’une couche de peinture ou de teinture qui résulte de la présence d’humidité sous la peinture ou la teinture ou de l’incompatibilité de couches successives.
Ingrédient qui donne couleur et lustre à la peinture.
Enduit contenant des résines plastiques.
Pêne demi-tour, m.LatchLangue de métal biseautée dans une serrure de porte qui s’engage en fermant la porte (à la différence d’un pêne dormant qui ne s’engage qu’avec une clé ou une barrette tournante).
Infiltration d’eau de pluie dans les toitures, les murs, les fenêtres, les portes ou les fondations en raison de la présence d’orifices.
Plan de travail avec armoires et tablettes au-dessous, dont seulement l’un des quatre côtés est fixé au mur.
Rapport d’une dénivellation verticale à une distance horizontale, souvent exprimé en pourcentage. Syn. : gradient. Voir aussi inclinaison; rampe; Fermes, f. pl., terminologie.
Pergola, f.PergolaConstruction de jardin constituée d’un assemblage de
traverses supportées par des poteaux et formant un couvrement à claire-voie.
Laps de temps nécessaire pour que le cumul des économies permette de récupérer le coût de travaux d’amélioration.
Aptitude d’un corps à se laisser pénétrer et traverser par l’air en présence d’une différence de pression.
Qui peut être traversé par un liquide ou un gaz.
Débit de diffusion de la vapeur d’eau au travers d’une pellicule de n’importe quelle épaisseur (ou d’un assemblage entre des parois parallèles). C’est le rapport du flux de la vapeur d’eau et des différences de pression de la vapeur sur des surfaces opposées. La perméance se mesure en perms.
Autorisation municipale de construire, modifier ou démolir un bâtiment. Autorisation d’une entreprise de service public de fournir, modifier ou enlever des services d’électricité, de plomberie et de gaz.
Plate-forme basse, avec ou sans marches, à l’extérieur de la porte d’entrée d’une maison. Voir Ouvrages extérieurs,
m. pl., terminologie.
Photovoltaïque, adj.PhotovoltaicSe dit d’un dispositif qui produit de l’énergie électrique directement à partir du rayonnement solaire. Il se crée un courant continu lorsque l’énergie lumineuse frappe la surface d’une cellule photovoltaïque.
Pièce communicante, f.EnsuitePièce privée attenante à une autre, par exemple, une salle de bains attenante à une chambre.
Pièce d’ancrage enfouie, f.DeadmanPièce de bois, de métal ou de béton enterrée dans le sol pour stabiliser ou solidariser les éléments d’une construction.
Pied mesure de planche, m.
piédestal, m.
PedestalVoir Bois de construction, m., terminologie.
(1) Élément isolé plutôt élevé servant de support à une colonne, une statue ou un élément décoratif.
(2) Voir borne de raccordement.
Pierre concassée, f.Crushed stoneParticules pierreuses angulaires résultant du concassage mécanique de cailloux. Ne pas confondre avec le gravier, qui résulte de procédés naturels et dont les surfaces sont sans arêtes.
Pieu, m.PilePoteau d’acier, de béton ou de bois d’œuvre enfoncé dans la terre pour former un élément de fondation.
Pignon, m.GablePartie supérieure en forme de triangle du mur d’extrémité d’un bâtiment.
Pilier ou poteau faisant partie d’un mur, partiellement en saillie et liaisonné à celui-ci.
Pilier, m.PierPoteau de maçonnerie, de béton, d’acier ou de bois servant à soutenir d’autres éléments de charpente.
Placage, m.VeneerMince feuille ou couche de bois ou d’un autre matériau, d’épaisseur uniforme, appliquée à un matériau de fond pour donner une apparence agréable à un meuble ou à un comptoir.
Placage déroulé, m.Rotary cut veneerPlacage taillé en faisant tourner une bille de bois contre un couteau sur toute la longueur de celle-ci, de manière à couper une feuille mince d’une épaisseur définie et de longueur continue.
Plafond, m.CeilingOuvrage constituant la surface horizontale supérieure apparente d’une pièce.
Plan, m.PlanReprésentation graphique en projection horizontale, suivant une échelle donnée, d’un terrain, d’un bâtiment ou d’un autre objet.
Voir Plans, m. pl., terminologie.
Planche à recouvrement, f.Lap sidingPlanche de parement employée à l’horizontale sur l’extérieur d’un bâtiment, la rive inférieure de chaque rangée de planches recouvrant la rive supérieure des planches du dessous afin de favoriser l’écoulement de l’eau.
L’une des planches posées à angle droit l’une par rapport à l’autre, à chaque angle d’une excavation, pour indiquer le niveau et l’alignement de l’ouvrage.
Plancher-dalle, m.Flat slabDalle de béton armée en deux sens ou plus, sans poutre, si ce n’est des poutres murales ou d’enchevêtrure, pouvant transmettre les charges aux poteaux d’appui. Syn. : dalle sans nervure.
Plaque, f.PlateÉlément de protection non structural, comme une plaque de porte, un garde-pieds, etc.
(1) Plaque d’acier servant à recevoir la charge d’une colonne
et à la distribuer à un plancher, ou sur laquelle peut s’appuyer une ferme reposant sur un mur.
(2) Élément placé sur ou dans un mur, ou encore sur une poutre, pour appuyer de grosses poutres, des chevrons, etc.
Profilé métallique servant à soutenir et à assujettir l’extrémité d’une solive à l’endroit où elle s’appuie contre une solive de rive ou une poutre.
Panneau mural composé d’une couche de plâtre prise dans une enveloppe de papier-carton spécial utilisé comme matériau de revêtement des murs intérieurs et des plafonds.
Plaque de plâtre spécialement conçue et fabriquée pour pouvoir être utilisée autour d’une baignoire, dans une cabine de douche ou derrière le dosseret d’un comptoir de cuisine.
Plate-forme élévatrice, f.Platform liftMonte-charge ouvert employé pour le transport d’un étage à un autre de personnes se déplaçant en fauteuil roulant.
Poudre blanche à base de sulfate de calcium (gypse) qui, lorsque mélangée avec de l’eau, produit une pâte utilisée pour revêtir
les murs et plafonds ou obturer les fissures.
Pli, m.PlySert à indiquer le nombre d’épaisseurs du papier de construction; pour le contreplaqué, couche de placage de bois : trois plis, cinq plis, etc.
Plinthe, f.BaseboardMoulure intérieure rapportée le long de la base d’un mur pour masquer la jonction entre le mur et le revêtement de sol.
Plomberie, f.PlumbingTuyaux, appareils et autres installations servant à l’alimentation en eau potable, à la ventilation des circuits et à l’évacuation des eaux usées et pluviales d’un bâtiment.
Branchement d’égout pluvial, m.Building storm sewerPartie du réseau de canalisations d’évacuation située à l’extérieur d’un bâtiment qui relie le branchement pluvial du bâtiment à l’égout pluvial; commence à 900 mm (3 pi) de la face extérieure du mur du bâtiment et se termine à la limite de propriété ou à son lieu de déversement sur la propriété.
Tuyau d’évacuation d’eaux usées (a) qui est dans un étage, (b) dont l’extrémité amont est raccordée à la jonction de plusieurs tuyaux d’évacuation d’eaux usées ou à une colonne de chute et
(c) dont l’extrémité aval est raccordée à un autre branchement d’évacuation, une colonne de chute ou un collecteur principal.
Tuyau de ventilation raccordant un autre ou plusieurs autres tuyaux de ventilation à une colonne de ventilation primaire ou secondaire.
Canalisation repiquée sur le siphon d’un appareil sanitaire
ou sur son branchement d’évacuation et raccordée à la colonne de ventilation secondaire en amont de l’appareil.
Conduite horizontale du réseau de canalisations d’évacuation située à l’intérieur d’un bâtiment ou adjacent à celui-ci qui reçoit les eaux pluviales provenant de ce réseau et les évacue dans le branchement d’égout pluvial.
Dispositif empêchant le siphonnage et donc le refoulement.
Toute canalisation faisant partie d’un réseau d’évacuation des eaux pluviales.
Champ d’épuration, m.Absorption field, leach field, septic bed, septic field, tile fieldZone recevant l’effluent d’une fosse septique reliée à un réseau souterrain de tuyaux perforés qui favorise le traitement
biologique de l’effluent et le disperse uniformément dans le sol.
Chaudière à faible masse (sans chemise d’eau) ayant la capacité de chauffer l’eau chaude, généralement au moyen d’un échangeur de chaleur interne, et souvent dotée d’une commande donnant la priorité à la production d’eau chaude. Sert au chauffage de l’eau et des locaux.
Chauffe-eau, m.Domestic water heater, water heater, service water heaterAppareil qui fournit l’eau chaude pour usages domestiques (lavage des mains, lave-vaisselle, douche, bain et lessive).
Chauffe-eau à réservoir d’eau intégral. Syn. : chauffe-eau à réservoir.
Genre de chauffe-eau à réchauffage indirect qui consiste en un élément d’échange thermique inséré dans la chemise d’eau d’une chaudière.
Chauffe-eau à réchauffage indirect, m.Indirect water heaterChauffe-eau domestique qui dérive sa chaleur d’une autre source, comme l’eau chaude provenant d’une chaudière. Les chauffe-eau à réchauffage indirect peuvent être de type instantané ou à stockage.
Chauffe-eau domestique compact, souvent fixé à un mur, ne possédant qu’une faible capacité de stockage – voire aucune – qui chauffe l’eau à la température requise à mesure qu’elle le traverse. Syn. : chauffe-eau sans réservoir.
Chauffe-eau à réchauffage indirect raccordé à une chaudière. Élément distinct souvent placé au-dessus de la chaudière. L’eau circule par gravité entre le chauffe-eau et la chaudière. Cet appareil peut aussi pomper de l’eau entre le chauffe-eau et
la chaudière et être placé à côté de celle-ci.
Chauffe-eau sans réservoir, m.
chemise d’eau, f.
Water jacketVoir chauffe-eau instantané.
Chambre d’échange de chaleur adjacente à la chambre de combustion d’une chaudière à travers laquelle de l’eau circule pour y être chauffée.
Dans un réseau qui utilise l’eau comme caloporteur, circuit qui est maintenu à une pression plus basse que le circuit d’eau potable et qui, une fois rempli, ne peut normalement admettre l’eau fraîche provenant du circuit d’eau potable, sauf pour compenser des fuites ou à des fins de service. L’eau contenue dans un circuit fermé n’est pas potable.
Circuit ouvert, m.Open loop systemFait référence au circuit de transfert de la chaleur de l’eau d’un système de chauffage des locaux à eau potable. Ce circuit est maintenu à la même pression que le circuit général d’eau potable et l’eau qui circule dans le circuit ouvert est continuellement renouvelée et est considérée comme étant de l’eau potable.
Réservoir où l’on recueille et conserve de l’eau.
Plaque de caoutchouc dans le réservoir d’une toilette qui se soulève et permet à l’eau de s’écouler dans la cuvette lorsque
la chasse est actionnée; lorsque le réservoir se remplit à nouveau, le clapet redescend sur son siège et crée un joint étanche.
Clapet de retenue posé dans un avaloir de sol ou un égout pour empêcher les eaux usées d’être refoulées à l’intérieur du bâtiment.
Clapet unidirectionnel mis en place dans un tuyau de distribution ou de service et servant à empêcher le refoulement.
Partie de la section la plus basse de la tuyauterie horizontale qui conduit les eaux usées, les eaux nettes ou les eaux pluviales associées à un bâtiment vers un branchement d’égout.
Partie du réseau des canalisations d’évacuation qui est verticale et relie à l’air libre le collecteur principal ou le réservoir des eaux usées du bâtiment et comprend des déviations d’une longueur horizontale d’au plus 1 525 mm par rapport à la colonne verticale.
Tuyau vertical d’évacuation d’eaux usées traversant un ou plusieurs étages. Comprend toute déviation qui fait partie de la colonne.
Tuyau de ventilation vertical qui est un prolongement d’une colonne de chute.
Tuyau de ventilation vertical raccordé à une colonne de chute, à un tuyau d’évacuation d’eaux usées ou au collecteur principal et débouchant à l’air libre.
Tuyau de distribution d’eau traversant au moins un étage dans un bâtiment.
Commande de fonctionnement cyclique de pompe, f.Pump exerciserCommande qui actionne une pompe à eau par intermittence dans une installation de chauffage à eau chaude potable afin d’empêcher que l’eau y stagne.
Dispositif mesurant la quantité d’eau qui circule dans un réseau d’alimentation en eau.
Tuyau amenant l’eau d’un branchement d’eau à un appareil ou une sortie, qui comprend les vannes et raccords, mais pas de compteur, de vanne de régulation ou d’autre dispositif appartenant au service municipal.
Pression plus élevée du côté égout d’un réseau d’évacuation qui a pour effet d’inverser le sens de l’écoulement.
Quantité d’eau chaude qu’un chauffe-eau peut fournir au cours de la première heure de fonctionnement; combinaison de la capacité de stockage et de la vitesse à laquelle le chauffe-eau amène l’eau froide d’appoint à la température voulue.
Coude en forme de S dans le tube d’eau chaude qui empêche
la thermoconvection dans les canalisations de distribution d’eau lorsque le réservoir n’est pas en marche.
Vibration d’un conduit d’eau qui se produit au moment de la fermeture soudaine d’une vanne ou d’un robinet.
Discontinuité entre le point le plus bas d’un orifice d’alimentation en eau (un robinet par exemple) et le niveau de débordement
de l’appareil sanitaire ou du dispositif qu’il alimente.
Qui fait un angle de moins de 45 degrés par rapport à l’horizontale.
Tuyau prévu pour l’acheminement des eaux pluviales du toit au collecteur d’eaux pluviales, au branchement d’égout pluvial ou à tout autre moyen d’évacuation.
Échangeur de chaleur associé à une thermopompe ou à un climatiseur qui refroidit le gaz réfrigérant surchauffé, généralement avec l’eau domestique d’entrée. Lorsque le
désurchauffeur est utilisé comme préchauffeur d’un chauffe- eau domestique, il assure, sans frais énergétiques additionnels, le chauffage de l’eau chaude et augmente l’efficacité de la
thermopompe ou du climatiseur.
Déviation, f.OffsetDéviation en parallèle de deux sections d’un tuyau à l’aide de coudes juxtaposés.
Dispositif destiné à amortir les changements brusques de pression dans une canalisation (coups de bélier).
Dispositif empêchant une inversion de l’écoulement de l’eau ou des eaux usées dans une canalisation.
Échangeur de chaleur statique installé à la colonne de vidange
du tuyau d’évacuation principal pour recycler l’énergie thermique contenue dans l’eau résiduelle des douches afin de préchauffer l’eau qui entre dans le chauffe-eau ou celle destinée à la douche.
Conduit ou canal servant à recueillir les eaux de surface dans un espace ouvert.
Drain installé autour des murs de fondation, sous le niveau
du plancher des fondations, qui permet de recueillir les eaux de surface et les eaux souterraines afin de les éloigner des fondations.
Tuyau évacuant les eaux sous le niveau du sol sans être un drain de fondation.
Eau conforme aux Recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada émises par Santé Canada ou aux exigences équivalentes d’un organisme provincial ou territorial régissant la potabilité de l’eau.
Eaux de pluie ou provenant de la fonte de la neige ou de la glace, des eaux souterraines ou des eaux de ruissellement résultant d’un arrosage excessif.
Déchets liquides qui contiennent des matières animales, minérales ou végétales en suspension ou solution.
Égout du réseau public interceptant une série de petites canalisations.
Canalisation souterraine affectée au transport des eaux usées provenant d’un bâtiment (contrairement à l’égout pluvial qui transporte les eaux pluviales et les eaux de ruissellement).
Égout qui peut recevoir des eaux usées, des eaux nettes ou des eaux pluviales.
Filtre à eau, m.Water filterAppareil ou dispositif raccordé à l’alimentation en eau pour l’en débarrasser des particules et en améliorer la qualité.
Réservoir d’épuration destiné à retenir les boues pendant une période suffisamment longue pour permettre une décomposition satisfaisante des matières organiques par l’action des bactéries et dont l’effluent est acheminé vers un champ d’épandage.
Longue tige flexible utilisée pour dégorger une canalisation d’évacuation.
Dans un siphon, distance verticale entre le pied de la garde d’eau et le sommet de la garde d’eau.
Réseau d’évacuation, réseau de ventilation, réseau d’alimentation en eau ou toute partie de ceux-ci.
Configuration potentiellement dangereuse faisant en sorte qu’un circuit d’alimentation en eau potable est accidentellement raccordé – ou pourrait l’être – à un circuit d’alimentation en eau non potable. Syn. : raccordement croisé.
Manchon de caoutchouc ajusté autour de la partie supérieure d’un collecteur ou d’une colonne de ventilation pour assurer l’étanchéité à l’eau du raccord avec la membrane de couverture.
Dispositif réglant l’entrée de liquide dans un réservoir, comme celui d’une toilette.
Abréviation de polyéthylène réticulé. Matériau dont sont faites les canalisations souples non métalliques et en plastique où circule de l’eau potable, chaude et froide, utilisées pour les installations à circuit fermé et à circuit ouvert à eau potable. Un sous-type de PER est muni en plus d’un élément qui empêche
la diffusion de l’oxygène (PER avec barrière antioxygène [BAO])
pour les installations à eau chaude en circuit fermé.
Perte de garde d’eau, f.Trap seal lossBaisse du niveau d’eau sous le niveau nécessaire au maintien de la garde d’eau d’un siphon.
Dans un siphon, niveau inférieur de la garde d’eau.
Plomberie brute, f.Roughing-inInstallation de plomberie enfermée dans les murs, plafonds et combles et sous le plancher du sous-sol.
Présence d’impuretés qui peuvent nuire au goût, à l’apparence et à la potabilité de l’eau.
Pompe, généralement à commande électrique, destinée à évacuer l’eau qui s’accumule dans le puisard collecteur.
Réservoir étanche à l’eau qui reçoit l’effluent des tuyaux d’évacuation d’un sous-branchement d’égout ou d’un drain de fondation et les transporte par pompage dans le réseau de canalisations d’évacuation.
Puits destiné à la réception des eaux usées brutes en vue de leur évacuation par percolation dans le sol, sans traitement des eaux.
Fosse collectrice couverte à cuvelage non jointif ou perméable où sont retenues les eaux qui proviennent du toit, du sous-sol ou des fosses de soupirail jusqu’à ce qu’elles se dispersent dans le sol environnant.
Dispositif employé pour séparer les tuyaux de distribution en acier galvanisé et en cuivre afin d’empêcher la corrosion par électrolyse.
Réducteur de pression, m.Pressure reducing valveVanne automatique qui admet l’eau d’un réseau d’eau potable dans le circuit fermé d’une installation de chauffage à eau chaude en vue d’y maintenir une pression minimale.
Inversion du sens normal d’écoulement causée par la pression en aval qui devient plus élevée que la pression de la source d’alimentation.
(1) Inversion du sens normal d’écoulement de l’eau ou d’autres liquides, mélanges et substances dans les tuyaux d’alimentation en eau potable, qui peut rendre l’eau non potable (peut être le résultat d’une différence de pression entre deux circuits).
(2) Refoulement des eaux d’égout dans un sous-sol ou un appareil sanitaire dû à un débordement des tuyaux d’égout
de la municipalité.
Refoulement contre- pression, m.Back pressure backflowGénéralement installé avec un dispositif antirefoulement.
Accès prévu dans un réseau d’évacuation ou de ventilation pour en permettre le nettoyage et l’inspection.
Ensemble de tuyaux, de raccords, d’appareils sanitaires, de siphons et d’accessoires pour l’acheminement des eaux usées, des eaux nettes ou des eaux pluviales à un égout public ou à une installation individuelle d’assainissement. Ne comprend pas les tuyaux de drainage souterrains.
Ensemble des tuyaux qui acheminent les eaux usées vers un lieu d’évacuation, dont le collecteur principal du bâtiment, le branchement d’égout, la colonne de chute et le tuyau
d’évacuation d’eaux usées. Ne comprend pas l’égout collecteur ou le tuyau des eaux d’égouts d’une installation de traitement des eaux usées.
Tous les tuyaux raccordés qui évacuent les eaux pluviales à un lieu de déversement. Comprend le branchement pluvial du bâtiment, le branchement d’égout pluvial du bâtiment, la descente pluviale et le collecteur principal.
Circuit comprenant une petite pompe et une tuyauterie de retour, ou une pompe et des robinets spéciaux, qui maintient l’eau chaude à une température adéquate près des appareils lorsque l’installation sanitaire est dotée d’un chauffe-eau central. Dans une maison, un tel réseau permet de réduire considérablement la consommation d’eau. Dans un grand immeuble, un tel réseau permet de fournir l’eau chaude aux points d’utilisation dans des délais relativement courts.
Ensemble de tuyaux et de raccords qui relie un réseau d’évacuation à l’air extérieur afin d’assurer la circulation de l’air et la protection de la garde d’eau dans le réseau d’évacuation
en maintenant la pression atmosphérique. Voir aussi Chauffage,
m. et climatisation, f., terminologie.
Réservoir employé pour emmagasiner de l’eau partiellement chauffée par un moyen non traditionnel, notamment l’énergie solaire, avant d’arriver au réservoir d’eau chaude domestique.
Dispositif commandant le passage ou l’arrêt de l’écoulement d’un fluide dans une canalisation.
Robinet d’arrêt, m.Shut-off valveDispositif qui interrompt le passage de l’eau dans une conduite de distribution.
Robinet d’arrêt associé au compteur d’eau.
Robinet d’arrêt général situé à côté de la conduite maîtresse municipale; ne fait pas partie des installations de plomberie d’une habitation.
Robinet capable de couper l’eau alimentant tout le réseau de distribution d’une maison.
Robinet doté d’une vanne de régulation qui détecte la présence d’un objet ou d’un corps humain. Peut être mécanique ou électrique. Des détecteurs de présence à infrarouge entraînent l’ouverture ou la fermeture du robinet selon le cas.
Dispositif conçu pour empêcher les huiles, les graisses, le sable ou toute autre matière de pénétrer dans un réseau d’évacuation.
Dispositif obturateur hydraulique en forme de S situé sous un évier ou un autre appareil qui maintient l’eau à un certain niveau pour empêcher les gaz d’égout de pénétrer dans la maison par le tuyau d’évacuation, mais sans gêner l’écoulement des liquides.
Siphon installé dans un collecteur principal ou un branchement d’égout pour empêcher la circulation de l’air entre un réseau d’évacuation et un égout public. Voir aussi siphon d’appareil.
Inversion du sens normal d’écoulement causée par une pression négative dans le réseau d’alimentation.
Perte de la garde d’eau résultant d’une pression inégale causée par un débit d’eau rapide à travers le siphon.
Perte de la garde d’eau résultant d’une pression sous vide causée par le passage rapide de l’eau évacuée d’un autre appareil par
la colonne de vidange.
Dans un siphon, niveau supérieur de la garde d’eau.
Soupape de décharge, f.Pressure relief valve [PRV]Dispositif de sécurité qui empêche la pression dans une installation de plomberie, un chauffe-eau ou un autre récipient de dépasser une valeur limite préétablie en s’ouvrant et en libérant une partie de la pression pour ainsi prévenir des dommages et des blessures. Voir aussi soupape de sûreté.
Dispositif automatique conçu pour abaisser une pression trop forte au sein du réseau d’eau potable d’une maison, évitant le suintement néfaste des soupapes de sûreté. Peut être autonome ou faire partie du mécanisme de remplissage d’une toilette.
Dispositif de sécurité protégeant un chauffe-eau contre les risques d’une pression ou d’une température excessive; comprend aussi les dispositifs antirefoulement qui empêchent l’eau de circuler dans les deux directions d’un tuyau.
Tuyau d’évacuation installé à un niveau inférieur à celui du collecteur principal et du branchement d’égout.
Appareil sanitaire comprenant une cuvette, un réservoir, un mécanisme de chasse et de remplissage ainsi qu’un siège et un abattant.
Tuyau posé sur un chauffe-eau pour recevoir une soupape de sûreté en cas d’élévation dangereuse de la température ou de la pression.
Ouverture circulaire sous la cuvette d’une toilette. Tuyau utilisé pour évacuer les eaux usées ou pluviales.
Tuyau de renvoi qui sert à évacuer les eaux usées provenant d’un appareil sanitaire.
Tuyau court auquel on raccorde une pomme de douche.
Tuyau perforé souterrain destiné à capter et à évacuer l’eau souterraine.
Tuyau de ventilation raccordé, à son extrémité inférieure, à un branchement d’évacuation et, à son extrémité supérieure, à une colonne de ventilation secondaire ou débouchant à l’air libre.
Poche d’air, f.Air pocketEspace ou vide créé lorsqu’une quantité d’air est emprisonnée accidentellement dans un ouvrage de béton ou une tuyauterie, à cause d’une piètre consolidation.
Poêle à granulés, m.Pellet stovePoêle dans lequel on fait brûler des granulés de bois au lieu du bois de chauffage.
Appareil de chauffage alimenté au bois (poêle en fonte ou muni d’une lourde plaque d’acier) qui émet de la chaleur et la propage de façon rectiligne comparativement à d’autres appareils au bois qui fonctionnent selon le principe de la convection de l’air.
Appareil de chauffage à chambre de combustion préfabriquée s’insérant dans l’ouverture d’un foyer en maçonnerie pour améliorer l’efficacité du transfert de chaleur et la sécurité.
Syn. : insert.
Poêle-cuisinière, m.Cook stoveAppareil au bois destiné à la cuisson. Certains de ces appareils peuvent également chauffer plusieurs pièces d’une habitation et produire de l’eau chaude.
Hauteur des fibres d’une moquette.
Poinçon, m.King postÉlément vertical au centre d’une ferme simple, reliant le faîte et le centre de l’entrait.
Température à laquelle un mélange donné d’air et de vapeur d’eau est saturé de vapeur d’eau (c’est-à-dire qu’il atteint une humidité relative de 100 %). Si l’air entre en contact avec une surface dont la température est inférieure, l’humidité qu’il contient formera de la condensation sur cette surface.
Lors du séchage du bois, point où toute l’eau libre a été enlevée des cavités cellulaires, ne laissant d’eau que dans les parois des cellules, et où s’amorce le retrait du bois (teneur en eau d’environ 25 à 30 %).
Petite pièce de métal triangulaire insérée à la feuillure ou au châssis de bois pour maintenir le verre en place avant d’appliquer le mastic.
Substance pâteuse ou visqueuse, noirâtre, sous-produit fusible de la distillation du pétrole ou de la houille. Syn. : brai.
Polyéthylène, m.PolyethylenePlastique largement utilisé dans la fabrication de tubes souples, de pare-air, de pare-vapeur, d’évents de toiture, etc.
Matériau textile appliqué sur la paroi extérieure d’un bâtiment en vue de réduire les infiltrations d’air et d’eau. Revêtement textile continu constituant les membranes pare-air couramment employées en construction résidentielle.
Matériau thermoplastique souvent utilisé comme isolant.
Pomme de douche à débit réduit, f.Low-flow showerheadPomme de douche conçue pour produire une forte pression d’eau pendant une douche malgré un débit réduit.
Pompe de circulation, f.Circulating pumpDispositif motorisé servant à faire circuler l’eau dans la tuyauterie d’une habitation.
Pont thermique, m.Thermal bridge [1],
thermal bridging [2]
(1) Élément, assemblage ou zone de l’enveloppe d’un bâtiment qui présente une conductivité thermique beaucoup plus grande que la région environnante. Il peut s’agir de cadres de fenêtres en métal, de dalles de balcon, de murs de contreventement ou de poteaux d’acier. Peut entraîner,
selon l’importance du pont thermique et ses caractéristiques, une réduction du coefficient de résistance thermique
de l’enveloppe ainsi qu’une perte de chaleur accrue, une consommation d’énergie supplémentaire pour le chauffage des locaux, une diminution du confort des occupants et des problèmes de condensation.
(2) Interruption de la continuité d’une couche d’isolation thermique au sein de l’enveloppe d’un bâtiment causée par la présence d’un autre matériau possédant une conductivité thermique supérieure (comme le métal, le bois ou le béton) qui entraîne une perte de chaleur accrue dans l’assemblage ainsi que des surfaces froides à l’intérieur du bâtiment.
Recouvrement de la jonction des plaques de plâtre au moyen d’un composé à joints et d’un ruban de manière à créer une surface lisse pouvant être peinte.
Porte coupe-feu, f.Fire doorPorte ayant un degré de résistance au feu qui peut être fermée pour empêcher la propagation d’un incendie.
Voir Portes coupe-feu, f. pl., types.
Porte coupe-feu à fermeture automatique, f.
porte de garage à contrepoids, f.
Counter-balanced garage doorVoir Portes coupe-feu, f. pl., types.
Porte de garage conçue de manière à s’ouvrir facilement grâce à un poids ou un ressort compensatoire.
Porte, souvent utilisée pour les placards, dont les deux panneaux sont reliés par des charnières au milieu et qui demande moins d’espace à l’ouverture qu’une porte ordinaire.
Porte dépourvue de quincaillerie et de charnières. Porte munie de panneaux de verre.
Élément structural saillant au-delà de sa colonne ou de son mur d’appui qui n’a un contrepoids ou un support qu’à une seule extrémité (par exemple, des poutres en saillie qui soutiennent un balcon).
Distance horizontale séparant deux points d’appui successifs d’un élément porteur (poutre, ferme, solive ou chevron). Voir aussi Fermes, f. pl., terminologie.
Poteau, m.ColumnÉlément de charpente vertical constitué d’un ou de plusieurs éléments solidaires servant à soutenir toute charge exerçant un effort le long de l’axe longitudinal. Voir aussi Ossature de bois, f., terminologie.
Poteau à caisson, m.Box columnÉlément vertical vide à l’intérieur, de section carrée ou rectangulaire, construit de plusieurs éléments et généralement utilisé dans la construction d’un porche.
Petit poteau.
Élément vertical fabriqué de métal en feuille plié servant à la construction des murs à ossature d’acier.
Poteau souvent utilisé pour soutenir les poutres dans les sous-sols. Peut être ajusté à diverses hauteurs.
Poteau de départ, m.Newel, rail postPoteau auquel est fixé la rampe d’escalier ou le garde-corps. Syn. : poteau d’escalier.
Pourriture sèche, f.Dry rotAltération du bois due à l’attaque de certains champignons.
Pression qui s’exerce dans la direction des extrémités
d’un élément de charpente comme une poutre, une ferme ou un chevron.
Force qui s’exerce à l’horizontale.
Poutre, f.BeamPièce de charpente horizontale qui a pour fonction de reporter des charges vers deux appuis ou plus.
Poutre faite de panneaux de contreplaqué ou de copeaux orientés (OSB) sur une ossature de bois.
Poutre de charpente dans le même ordre que la poutre en I, mais qui a des semelles plus larges.
Poutre d’acier dont le profil a la forme de la lettre I.
Poutre maîtresse, f.GirderPoutre principale qui soutient des poutres secondaires et des tirants. Syn. : grosse poutre.
Poutrelle murale verticale, f.
PP
FBMVoir ferme.
Abréviation de pied-planche. Voir Bois de construction, m., terminologie.
Premier étage, m.First storey, first floorÉtage le plus élevé dont le plancher se trouve à au plus 2 m au-dessus du niveau moyen du sol. Voir rez-de-chaussée.
Force exercée par l’atmosphère sur une unité de surface (la pression atmosphérique par exemple) ou créée par un appareil mécanique (compresseur, ventilateur, pompe). Elle peut avoir deux composantes : la pression statique, c’est-à-dire la pression du fluide comme tel, qui est associée non pas à son mouvement mais à son état, et la pression dynamique, qui est associée à la vitesse de l’écoulement de l’air.
Pression exercée par la vapeur d’eau dans l’air et proportionnelle à la quantité absolue d’eau contenue dans l’air. La vapeur
d’eau se déplace d’une zone à pression élevée vers une zone
à basse pression.
Privé, adj.PrivateSe dit d’un local ou d’un espace dont la jouissance est réservée
à un seul ménage ou à certaines personnes au sein d’un ménage. Syn. privatif.
Instrument juridique qu’une personne ou une entreprise peut utiliser pour obtenir compensation à la suite d’un défaut de paiement relativement à de la main-d’œuvre ou à des matériaux ayant servi à la construction d’une propriété. Ce privilège doit être réglé avant que le droit de propriété puisse être transféré, ce qui permet aux entrepreneurs et aux professionnels d’être payés pour les matériaux et les services fournis. Aussi appelé priorité et hypothèque légale (au Québec) et privilège du constructeur (mechanic’s lien).
Voir aussi cogénération.
Terme qui englobe l’ensemble des produits de bois composite fabriqués à partir d’un amalgame de particules de bois (copeaux ou fibres) réunies au moyen d’adhésifs afin de créer de grands éléments structuraux. Voir Bois d’ingénierie, m., terminologie.
Substance chimique appliquée au bois par injection sous pression, trempage ou épandage afin d’en améliorer la résistance à la pourriture et aux dommages causés par les insectes.
Dessin de coupe d’un bâtiment ou d’un élément quelconque.
Élément d’acier retenant un revêtement intérieur; plus petit élément horizontal d’un plafond suspendu.
Profilé d’acier en forme de C dont les deux membrures s’étendent dans la même direction.
(1) Bordure en métal ou en plastique posée sur l’extrémité d’une plaque de plâtre qui n’est adjacente à aucune autre surface afin d’en assurer la protection et la finition.
(2) Moulure de finition appliquée autour d’une porte ou d’une fenêtre qui reçoit, dissimule et protège les éléments de bardage extérieur qui longent ces ouvertures ou viennent
s’y appuyer.
Propane, m.PropaneCombustible gazeux provenant du gaz naturel et servant au chauffage de l’eau et des locaux ainsi qu’à la cuisson des aliments. Il est habituellement fourni en bouteilles ou conservé dans des réservoirs situés sur la propriété, mais à l’extérieur de la maison.
Protection des fondations contre l’humidité, f.Foundation dampproofingProcédé par lequel on couvre l’extérieur ou l’intérieur d’un mur de fondation avec un matériau faisant obstacle au passage de l’humidité. Peut aussi inclure la mise en place d’un matériau étanche à l’humidité, comme une feuille de polyéthylène, avant de couler la dalle ou les semelles de béton d’un sous-sol.
En domotique, ensemble des règles servant à établir la communication et à contrôler les échanges de données entre deux entités distinctes à travers un réseau, une ligne de communication, etc. Le protocole CEBus en est un exemple.
Public, adj.PublicSe dit d’un local ou d’un espace destiné à être utilisé en commun par les occupants d’un bâtiment ou par la population en général.
Puits d’air, m.Air wellGaine à l’intérieur d’un bâtiment, partiellement ou totalement ouverte à l’air libre au niveau du toit, utilisée uniquement comme moyen de ventilation pour les salles de bains, les cuisines et les pièces semblables.
Qualité de l’air intérieur,
f.
QAITerme général ayant trait à la présence de contaminants biologiques et chimiques dans l’air des bâtiments.
Moulure à la base d’un mur dont le profil correspond à un quart de cercle.
Quincaillerie, f.HardwarePièces de métal comme les poignées de porte, les charnières, les porte-serviettes et les tringles de placard.
R
Raccordement coordonné au réseau de distribution d’électricité, m.Grid-tieConnexion du système de production d’électricité d’un bâtiment (panneaux photovoltaïques de toit, par exemple) au réseau électrique au moyen d’un compteur spécialisé. Le bâtiment
tire l’électricité dont il a besoin du réseau par l’entremise d’un compteur distinct et non de son système de production. Ce genre d’installation peut parfois être équipée de batteries pour fournir une énergie d’appoint dans l’éventualité d’une panne
de réseau.
Radiation électromagnétique, f.
radier, m.
Invert [1];
raft foundation [2]
Voir Électricité, f., terminologie.
(1) Partie inférieure de la paroi intérieure d’un conduit souterrain ou d’un regard d’égout.
(2) Dalle de béton habituellement armé sur laquelle repose un bâtiment, mais qui se prolonge au-delà de ses murs; sert généralement de fondation lorsque le sol ne peut par lui-même soutenir les charges de calcul.
Gaz radioactif naturel, incolore et inodore, généré par la désagrégation du radium et présent dans la plupart des sols. Cancérogène en cas d’exposition prolongée. Le radon peut pénétrer dans une maison par le sol au-dessous et autour des fondations ou par l’avaloir de sol.
Élément mis en place au haut et au bas d’un mur à ossature d’acier pour aligner et fixer les poteaux.
Méthode d’assemblage des murs à poteaux d’acier où les poteaux sont fixés à un rail (intérieur) inversé dans la partie supérieure, qui est soutenu par un rail extérieur fixé au plafond, de sorte
que le mur de fond ne subit pas d’efforts verticaux, quoiqu’il supporte des charges horizontales.
Dans une ossature d’acier, longue pièce profilée assujettie
au plancher, à laquelle se fixe la partie inférieure des poteaux.
(1) Rainure rectangulaire dans une planche ou dans un madrier. Syn. : engravure.
(2) Encoche formée dans une semelle de béton dans laquelle est placé le mur de béton pour offrir un appui latéral au mur dans sa partie inférieure.
Perforation permettant d’assujettir des éléments d’ossature
à l’un des différents composants muraux comme le rail inférieur, la sablière ou la cornière (placage de brique).
Plan incliné reliant deux plans horizontaux pour permettre la circulation des piétons ou des véhicules. Syn. : pente.
Rapport de mélange, m.Humidity ratioQuantité de vapeur d’eau contenue dans l’air exprimée en tant que rapport de la masse de l’eau divisée par la masse de l’air sec qui contient l’eau (kg d’eau par kg d’air sec ou livre d’eau par livre d’air sec). Voir aussi humidité absolue, humidité relative
et point de rosée.
Distance entre un point situé sur l’arc de cercle d’un escalier, d’un mur, d’un trottoir ou d’une bordure, et le centre du cercle correspondant.
REERAbréviation d’indice de rendement énergétique. Voir Fenêtre,
f. terminologie.
Tablette plate étroite qui constitue l’élément supérieur de la boiserie intérieure au bas d’une fenêtre. Syn. : seuil de fenêtre.
Récupération de chaleur, f.Heat recoveryExtraction de la chaleur (généralement contenue dans l’air ou l’eau) qui serait autrement perdue. En milieu résidentiel, la récupération de la chaleur fait généralement référence à
l’extraction de la chaleur de l’air évacué ou des eaux ménagères.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie : VRC, et Plomberie, f., terminologie : dispositif de récupération de la chaleur des eaux ménagères.
Frais imposés par une municipalité pour la fourniture des services publics.
Registre antirefoulement, m.
registre coupe-feu, m.
Fire damperVoir Ventilation, f., terminologie.
Dispositif d’obturation consistant en un registre normalement maintenu ouvert, placé soit dans un réseau de distribution d’air, soit dans un mur ou un plancher et conçu pour se fermer automatiquement en cas d’incendie afin d’assurer l’intégrité
de la séparation coupe-feu.
Régulation directe, f.Direct load controlRégulation d’un appareil résidentiel non essentiel pour détourner l’énergie vers des appareils essentiels. Par exemple, l’interruption à distance d’un chauffe-eau de piscine par une entreprise de service public lorsque l’énergie est requise ailleurs. La régulation directe peut se faire par une simple minuterie ou par un système d’intercommunication bidirectionnel perfectionné.
Rénovation d’un bâtiment ou d’un site pour y apporter des améliorations générales ou pour le mettre en conformité avec les normes en vigueur.
Rejéteau, m.Drip mouldMoulure en saillie disposée de manière à écarter l’eau de pluie de la face d’un mur.
Dans un ouvrage de maçonnerie, réfection d’un joint de mortier en l’approfondissant et en le regarnissant.
(1) Matériau destiné à combler une tranchée ou le pourtour extérieur d’un mur de fondation.
(2) Masse de matière (terre, pierre concassée ou autre) rapportée pour modifier le relief d’un terrain ou pour combler
une cavité.
Rénovation d’un bâtiment ou d’un site pour le remettre dans son état original.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
(1) Élément de support perpendiculaire à un mur, employé pour résister aux poussées latérales. Syn. : contrefort.
(2) Pièce de bois fixée perpendiculairement sur le dessus d’une série d’éléments de charpente pour les aligner et les mettre de niveau. Voir aussi Ossature de bois, f., terminologie.
Remplacement intégral de l’air à l’intérieur d’une maison, par des moyens naturels ou mécaniques, généralement exprimé en nombre de renouvellements d’air par heure.
Remise à neuf, modification ou amélioration d’une construction ou d’une pièce.
Voir Efficacité énergétique, f., terminologie.
Point de référence permettant d’établir des élévations et de prendre des mesures.
Voir Réutilisation, f. et recyclage, m. de l’eau, terminologie.
Réservoir de préchauffageDe l’eauVoir Plomberie, f., terminologie.
Résistance à la traction, f.Tensile strengthCapacité d’un ouvrage ou d’un élément de charpente à résister à la traction.
Restauration, f.RestorationRéfection ou rénovation visant à rendre à un bâtiment ou
à un site (souvent ancien ou historique) son aspect d’origine.
Dans la construction des bâtiments : espace fermé sous un plafond qui peut dissimuler des services.
(1) Renfoncement dans la surface d’un mur ou d’un plafond.
(2) Distance horizontale entre les faces du mur extérieur d’un étage et du mur extérieur de l’étage du dessus, lorsque l’étage inférieur s’étend au-delà de l’étage supérieur.
Retrait technique, m.ChaseCavité aménagée dans un mur ou un plafond pour contenir des tuyaux, des conduits, des câbles et autres qui passent à la verticale entre les étages d’un bâtiment ou à l’horizontale entre plusieurs pièces ou encore qui sortent à l’extérieur.
Double réseau de canalisations/de distribution, m.Dual piping/ distribution systemRéseau de canalisations distinctes servant à séparer et à distribuer de l’eau potable et de l’eau non potable.
Précipitations naturelles recueillies sur le toit ou sur toute autre surface d’une habitation, ou à partir d’autres surfaces dures d’une propriété.
Toute source d’approvisionnement en eau dans une habitation ou accessible par ses occupants autre que celle de la municipalité. Il pourrait s’agir, par exemple, de l’eau de pluie, des eaux ménagères, des eaux-vannes et des eaux usées récupérées.
Eau non conforme aux critères des Recommandations pour
la qualité de l’eau potable au Canada émises par Santé Canada ou aux exigences équivalentes d’un organisme provincial ou territorial régissant la potabilité de l’eau.
Eaux ménagères, f. pl.GreywaterEaux usées provenant des baignoires, douches, lavabos et laveuses qui ne contiennent pas de déchets alimentaires ou d’excrétions humaines concentrés. Peuvent parfois inclure l’eau provenant
des éviers de cuisine et des lave-vaisselle. Syn. : eaux grises.
Eaux usées, f. pl.WastewaterEaux qui sont évacuées de sources résidentielles, commerciales ou industrielles qui comprennent les eaux pluviales aboutissant dans les égouts unitaires.
Eaux usées qui ont été recueillies puis traitées pour obtenir le niveau de qualité requis pour l’usage attendu.
Eaux usées issues des toilettes qui contiennent des excrétions humaines concentrées.
Revêtement, m.FacingCouche extérieure d’un mur qui est visible et exposée aux intempéries et rapportée sur un support quelconque.
Revêtement de protection contre l’humidité, m.Moisture barrierMatériau utilisé pour retarder le passage ou le flux de la vapeur ou de l’humidité dans une ossature murale, une toiture ou des fondations. Voir complexe d’étanchéité, pare-vapeur.
Matériau servant à la finition d’un plancher. La couche supérieure est le revêtement de sol (finished flooring) et la base est le support de revêtement de sol (sub-flooring).
Voir Revêtements de sol extérieurs, m. pl., terminologie.
Revêtement en plaques de plâtre, m.Drywall finishType de finition intérieure des murs et des plafonds réalisée avec des plaques de plâtre, un composé à joints et les accessoires appropriés.
Bois, panneaux de bois ou autres types de panneaux couvrant les éléments extérieurs de l’ossature d’un bâtiment.
Rez-de-chaussée, m.Ground floorÉtage dont le plancher est le plus rapproché de la surface du sol.
Voir premier étage.
Rigole de drainage, f.Drainage swalePetite dépression dans le sol d’aspect linéaire servant à capter, à faire infiltrer et à transporter les eaux pluviales. Plus large que profonde, la rigole de drainage est recouverte de végétaux,
souvent gazonnée, ce qui en fait une stratégie de gestion des eaux pluviales plus discrète et attrayante que le fossé.
Coin arrondi pour donner un aspect décoratif et fini.
Rabattre la pointe d’un clou sur l’autre côté de l’objet qu’il traverse pour augmenter sa résistance à l’extraction.
Dispositif de réglage du débit d’un liquide ou d’un gaz au moyen d’une partie mobile qui s’ouvre, se ferme ou restreint le passage de façon progressive. L’obturateur du robinet ferme le passage
du fluide dans l’axe de son écoulement, contrairement à celui de la vanne (voir ce terme) qui se déplace perpendiculairement
à celui-ci. Voir aussi Plomberie, f., terminologie.
Robinet d’arrêt, m.StopDispositif d’obturation servant à couper l’eau d’un appareil.
Voir aussi Plomberie, f., terminologie.
Voir Plomberie, f., terminologie.
Voir Plomberie, f., terminologie.
Robinet fileté auquel un tuyau d’arrosage peut être raccordé.
Roche mère, f.BedrockRoche non altérée s’étendant sous le sol ou exposée à la surface.
Poser des éléments de maçonnerie de manière à ce que les joints verticaux ne soient pas alignés.
Rosette, f.RosePlaquette fixée sur une porte et comportant en son centre un orifice circulaire dans lequel s’engage la tige du bouton de porte.
SCHLCMHCAbréviation de Société canadienne d’hypothèques et de logement.
Séchage, m.SeasoningAction de faire sécher du bois à l’air libre ou dans un séchoir à bois.
Caisson étanche destiné à assurer le séchage du bois de construction, de la brique, etc.
Séparation des granulats grossiers du mortier de ciment, dans le béton malaxé, qui se produit durant son transport ou sa mise en place et qui peut entraîner la formation d’alvéoles ou de nids de cailloux pouvant être à l’origine de défauts localisés touchant la résistance de l’ouvrage ou d’autres propriétés.
Semelle, f.Flange [1]; footing [2](1) Membrure horizontale supérieure et inférieure d’une poutre en I, ou d’un profilé, fixés à l’âme verticale.
(2) Partie plus large, généralement en béton, à la base ou au- dessous d’un mur de fondation, d’un pilier ou d’un poteau qui sert à supporter des charges structurales et à les répartir
sur le sol.
Séparation coupe-feu, f.Fire separationConstruction, avec ou sans degré de résistance au feu, destinée à retarder la propagation du feu.
Serrure à pêne dormant, f.Dead boltVerrou de sécurité installé sur une porte qui ne peut s’ouvrir qu’avec une clé, une barrette tournante ou un bouton, contrairement aux mécanismes à ressort.
Service d’intérêt général rendu par une organisation publique ou privée, comme l’adduction d’eau, le téléphone, l’électricité et l’évacuation des eaux d’égout.
Charge imposée à un bien immeuble en faveur d’un autre bien immeuble appartenant à un autre propriétaire. Il s’agit souvent du droit de passage que détient un propriétaire et qui lui donne accès au terrain d’un propriétaire voisin. Il peut aussi s’agir d’un droit de vue, d’un droit d’accès au soleil ou d’un droit d’aménager des services à travers une propriété voisine.
Seuil de porte, m.Sill, door sill [1], threshold [2](1) Élément horizontal inférieur d’une baie de porte extérieure au-dessus duquel se ferme la porte. Syn. : seuil.
(2) Bande de bois ou de métal façonnée, souvent inclinée de chaque côté, posée sur la traverse basse d’une porte extérieure afin de protéger le revêtement de sol intérieur contre les intempéries. Le seuil peut aussi désigner la barre utilisée
sous une porte intérieure pour masquer le joint entre deux revêtements de sol différents. Dans ce cas, on pourra aussi
parler de bande ou de barre de seuil (threshold strip).
Siccatif, m.DesiccantSubstance hygroscopique qui enlève l’humidité contenue
dans l’air ou les matériaux situés à proximité. Voir aussi Peinture, f., terminologie.
Siège parfois à mécanisme hydraulique qui permet aux personnes à mobilité réduite d’entrer dans une baignoire en passant les pieds par-dessus le bord pour ensuite se laisser descendre à l’intérieur. Peut aussi désigner un même type de dispositif servant à entrer dans un lit et à en sortir.
Béton (parfois teinté artificiellement) qui ressemble à la pierre naturelle obtenu en mélangeant des éclats et de la poussière de pierre naturelle avec du ciment Portland et de l’eau.
Soffite, m.SoffitFace inférieure d’un élément de construction tel qu’un escalier, un débord de toit, une poutre, etc. Syn. : sous-face.
Loam sableux, m.Sandy loamSol constitué par 50 à 80 % de particules de sable, moins de 50 % de limon et moins de 20 % d’argile.
Structure fibreuse et spongieuse, habituellement brune ou noire lorsqu’elle est humide, qui présente généralement une odeur caractéristique. Termes descriptifs : terrain organique incluant fondrière, tourbe et tourbière à sphaigne.
Matière végétale partiellement décomposée souvent employée comme paillis ou pour amender un sol.
Se dit d’un sol ayant une forte teneur en humus, qui contient généralement des résidus de plante bruts et des microorganismes produits par la décomposition de matière organique.
Se dit d’un sol argileux organique, du limon organique, etc. Selon la quantité de matière organique présente dans la terre, ce type de sol affiche souvent certaines caractéristiques de ses
contreparties inorganiques. Sol habituellement très compressible (spongieux) et odoriférant.
Couche de sol ou de roche gelée en permanence dans les régions nordiques et certaines autres régions du Canada situées à haute altitude.
Le diamètre des pierres des champs varie de 75 à 200 mm (2,95 à 7,87 po) et celui des gros cailloux a plus de 200 mm.
Sol dont les particules sont plus petites que ce qui traverse un tamis n° 4, mais plus grandes que ce qui traverse un tamis n° 200.
Sol contenant des particules relativement fines, comme l’argile, généralement riche en minéraux, mais qui se draine mal. Selon le système de classification unifié des sols, un sol est dit à grains fins lorsque plus de 50 % de son poids traverse un tamis n° 200.
Sol ayant un pH de moins de 6,6, tel que le sol d’une forêt de conifères. Le pH est une mesure qui s’étend de 1 (le plus acide) à 14 (le plus alcalin), 7,0 étant neutre.
Sol ayant un pH supérieur à 7,3, tel que le sol d’une région aride. Souvent mal drainé.
Sol contenant plus de 65 % de particules d’argile.
Sol de fondation, m.Sub-gradeCouche de terre distincte qui a été préparée et compactée pour recevoir une chaussée ou de la terre végétale; produit final du terrassement général.
Solarium, m.SolariumEspace habitable attenant à une maison et exposé au soleil.
Solin, m.FlashingTôle ou autre matériau imperméable utilisé pour prévenir l’infiltration d’eau ou pour diriger et écarter le ruissellement de l’eau hors de l’enveloppe d’un bâtiment ou d’un autre élément.
Solin de forme rectangulaire ou carrée utilisé à la jonction des murs et d’un toit en bardeau.
Solin de couronnement, m.Cap flashingSolin installé sur une surface verticale pour empêcher l’eau de pénétrer derrière le solin de base.
Feuille de métal appliquée dans une noue de toiture.
Solvants organiques, m. pl.Organic solventsFamille de composés carboniques, comme le Varsol ou
le diluant pour peintures, utilisés pour dissoudre ou disperser d’autres substances.
Voir Plomberie, f., terminologie.
Voir Électricité, f., terminologie.
Sortie, f.EgressEndroit, passage permettant à une personne de se rendre à l’extérieur d’un bâtiment. Voir issue et moyen d’évacuation.
Vice dans l’enduit qui se manifeste par l’enlèvement d’une particule conique d’une surface enduite finie parce que l’humidité de l’enduit s’est mêlée à un mélange de chaux vive imparfaitement éteinte. Syn. : piqûres.
Soulèvement du sol, d’un revêtement ou d’autres objets causé par le gel d’un sol humide. Ce phénomène survient lorsque l’eau souterraine gèle, prend de l’expansion le long de la ligne de gel et entraîne à sa suite d’autres masses d’eau provenant du sol non gelé – par action capillaire et par diffusion de vapeur – jusqu’à la formation d’une lentille de glace. Quand cette lentille se dilate dans la direction de la perte de chaleur, elle entraîne
le soulèvement des objets, de la surface du sol ou des parois verticales adjacentes (par exemple un mur de fondation, un pilier de béton ou un poteau) auxquels elle adhère.
Obturateur mobile généralement maintenu en position fermée qu’une pression peut ouvrir momentanément.
Soupape solénoïdale à action retardée, f.
source d’énergie non renouvelable, f.
Non-renewable energy sourceVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Source d’énergie provenant d’une richesse naturelle qui s’épuise, comme les combustibles fossiles. Voir source d’énergie renouvelable.
Source d’énergie provenant d’un élément inépuisable, comme le vent ou le soleil, ou d’une matière naturelle qui se régénère rapidement, comme le bois ou la biomasse des cultures. Voir source d’énergie non renouvelable.
Voir Plomberie, f., terminologie.
Sous-couche, f.Underlayment(1) Matériau en feuille posé sur le support de revêtement de sol et sous le revêtement de finition, comme un revêtement de sol en vinyle, pour offrir une surface lisse et de niveau.
(2) Deuxième couche de toiture imperméable ou résistante à l’eau, installée sur le support de couverture et sous les
bardeaux ou autres matériaux de revêtement de toiture.
Sous-face de débord de toit, f.Eave soffitFace inférieure de la partie du toit faisant saillie sur le mur.
Voir soffite.
Spa, m.Hot tubBaignoire suffisamment grande pour accueillir plus d’une personne et souvent dotée de jets d’eau.
Cellule reproductrice asexuée de certains protozoaires et de nombreux végétaux, dont les champignons.
Voir Efficacité énergétique, f., terminologie.
Structure gonflable, f.Air-supported structureAbri constitué par une membrane mince et flexible maintenue par pression d’air.
Mélange de ciment utilisé comme revêtement des murs extérieurs. Voir gobetis.
Logement formé d’une seule pièce servant de chambre et de séjour, pourvu d’une salle de bains distincte.
Formation de sels minéraux cristallisés qui se manifestent sous la surface de la maçonnerie. L’accumulation et l’expansion de ces sels créent des pressions qui peuvent entraîner une perte du matériau de surface, ce qui expose les matériaux moins résistants de l’intérieur.
Support de revêtement de sol, m.SubfloorPlanches ou panneaux de bois fixés aux solives avant la pose
d’un revêtement de sol (moquette, carreaux de céramique, vinyle, linoléum ou parquet en bois dur).
Surface de fuite équivalente, f.SFEEstimation de la surface totale que représente l’ensemble des ouvertures fortuites expliquant les fuites d’air que subit un bâtiment, exprimée en centimètres ou en pouces carrés. On détermine généralement la SFE par un test d’infiltrométrie. Voir aussi surface de fuite normalisée (SFN).
La surface de fuite équivalente (SFE) d’un test d’infiltrométrie divisée par la surface de l’enveloppe extérieure d’une maison.
Ouvrage de ciment ou de mortier dont le fini est lissé à la truelle. Partie d’un bâtiment faisant saillie au-delà de son appui. Voir
porte-à-faux.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Système d’alarme, m.Alarm systemRéseau de dispositifs donnant l’alerte en cas d’intrusion ou de présence de fumée, de feu ou d’une substance chimique particulière dans l’air.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Système de chauffage à eau chaude, m.
système de chauffage à eau chaude par rayonnement à partir du sol, m.
système de chauffage électrique par rayonnement à partir du sol, m.
système de chauffage hybride, m.
Système de commande et de surveillance de la consommation d’énergie,
m.
SCSCEVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Système de régulation de l’humidité, de la qualité de l’air, de la température et de la consommation énergétique permettant
d’optimiser le bien-être des occupants et la consommation d’énergie.
Voir Efficacité énergétique, f., terminologie.
Voir Efficacité énergétique, f., terminologie.
Voir Réutilisation, f. et recyclage, m. de l’eau, terminologie.
Voir Réutilisation, f. et recyclage, m. de l’eau, terminologie.
Système de sécurité résidentiel, m.Home security systemSystème d’alarme utilisé dans les maisons pour détecter des événements indésirables, comme le feu ou l’entrée par effraction. Peut être simple ou de haute technicité (gestion informatique), mais doit comprendre un détecteur (pour capter le problème)
et un mécanisme d’avertissement, comme une sonnerie ou une sirène, ou encore un signal envoyé à un poste de télésurveillance.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Réutilisation, f. et recyclage, m. de l’eau, terminologie.
Système de ventilation mécanique qui extraie du sol des gaz souterrains comme le radon et les évacue à l’extérieur en toute sécurité. Comporte habituellement un tuyau perforé enfoui dans le gravier sous la dalle du sous-sol que l’on raccorde à
un ventilateur d’extraction qui évacue les gaz en continu.
Système solaire mettant à contribution des capteurs solaires et des dispositifs mécaniques et électriques (ventilateurs, pompes, commandes) pour capter, emmagasiner et distribuer l’énergie du soleil. Les chauffe-eau solaires, les réchauffeurs d’air solaires et les capteurs photovoltaïques produisant de l’électricité sont tous des systèmes solaires actifs.
Système solaire passif mettant à contribution à la fois des dispositifs mécaniques et des dispositifs passifs pour capter et utiliser l’énergie solaire.
Système solaire mettant à contribution des composants du bâtiment pour capter, emmagasiner et distribuer l’énergie du soleil. Il peut s’agir d’une cheminée solaire qui utilise la chaleur du soleil pour susciter des échanges d’air entre l’intérieur et l’extérieur, de fenêtres placées dans les murs orientés au sud munies de dispositifs d’ombrage et d’une masse thermique
qui permet de stocker de l’énergie solaire pour la diffuser
plus tard.
Tapis de porte automatique, m.Control matTapis en tissu ou en plastique placé au sol de part et d’autre d’une porte automatique et dissimulant un câblage qui commande l’ouverture de la porte dès qu’une personne y met le pied.
Bande étroite de bois servant à recouvrir les joints entre des planches ou des panneaux.
Enfoncement du sol après son remaniement, souvent attribuable à un compactage insuffisant. Syn. : affaissement.
Voir Bois de construction, m., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Le nombre de fois que le volume d’air total d’une pièce ou d’un logement entier se renouvelle naturellement ou mécaniquement (mesuré en renouvellements d’air par heure – RA/h).
Température de calcul estivale, f.
température de calcul hivernale, f.
température de l’air ambiant, f.
Ambient air temperatureVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Température de l’air entourant une maison ou une personne dans une pièce.
Voir température du thermomètre sec.
Température de l’air. C’est la température usuelle à laquelle les gens font référence, mais l’expression sert à établir la distinction avec la « température du thermomètre mouillé (wet bulb temperature) » qui est mesurée avec un thermomètre dont la partie sensible est recouverte d’une pellicule d’eau.
La comparaison des températures du thermomètre sec et du thermomètre mouillé permet de calculer l’humidité relative.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Quantité d’eau contenue dans un matériau (comme le bois), exprimée en pourcentage du poids du matériau séché au séchoir.
Extrémité d’une pièce de bois de construction taillée pour s’emboîter dans une mortaise.
Insecte qui vit dans les endroits chauds et humides et se nourrit de matières cellulosiques, comme le bois.
Propriété dont l’expansion, le réaménagement ou la réutilisation pourrait être complexifiée par la présence réelle ou potentielle de substances dangereuses, de polluants ou de contaminants.
Terrain sous-utilisé, m.GreyfieldBien-fonds (centre commercial, commerces en rangée ou autres propriétés commerciales) obsolescent, périmé et peu utilisé qui représente une occasion intéressante de réaménagement, de densification et de revitalisation. Évoque souvent des commerces peu achalandés et leurs vastes parcs de stationnement ou terrains asphaltés. Ces propriétés n’ont habituellement pas besoin d’être décontaminées. Syn. : zone commerciale vétuste.
Terrain viabilisé, m.Serviced lotParcelle de terrain reliée à l’infrastructure publique, aux branchements de télécommunications (téléphonie et câblodistribution) et à la voirie.
Terrain non aménagé, qui peut avoir déjà été utilisé aux fins d’agriculture, dont l’aménagement est envisagé.
Terrasse, f.DeckSurface plane élevée reliée à une habitation. Syn. : plate-forme.
Voir Ouvrages extérieurs, m. pl., terminologie.
Terrassement, m.EarthworkEnsemble des travaux visant à modifier la configuration du sol sur un chantier.
Ensemble des travaux préliminaires visant à modifier provisoirement ou définitivement la configuration du sol. Travaux généralement effectués à l’aide d’un bouteur ou d’autre équipement lourd. Touchent davantage le sol de fondation que la terre végétale. Syn. : nivellement préliminaire.
Terrazzo, m.TerrazzoRevêtement de sol composé de ciment et de granulats de marbre concassé appliqué sur du béton puis poncé et poli.
Test d’infiltrométrie, m.Blower door testEssai diagnostique réalisé au moyen d’un infiltromètre pour mesurer l’étanchéité à l’air d’un bâtiment, dont les résultats sont normalement exprimés en renouvellements d’air par heure (RA/h), en surface de fuite équivalente (SFE) et en surface
de fuite normalisée (SFN), à une différence de pression d’air donnée entre l’intérieur et l’extérieur (telle que 50 pascals). Ce test est utile pour évaluer les caractéristiques d’étanchéité à l’air, repérer les zones de fuite d’air, calculer la capacité des systèmes de
ventilation et évaluer le potentiel de dépressurisation.
Thermographie, f.ThermographyTechnique faisant appel à une caméra thermographique pour relever les anomalies de températures dans un bâtiment, dont les fuites d’air, le manque d’isolation, les infiltrations d’eau, la saturation en eau, la tuyauterie enfouie et les défectuosités électriques.
Tirage par ventilation mécanique, m.
tire-fond, m.
Lag-screwVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Grosse vis à bois à tête carrée et à gros filets qui s’apparente
à un boulon et qui sert à fixer quelque chose lorsqu’on n’a accès qu’à un seul côté de la surface de fixation.
Toilette à double chasse, f.Dual flush toiletToilette à faible consommation d’eau capable de produire un débit d’eau élevé pour évacuer les déchets solides et un débit d’eau moindre pour les déchets liquides.
Toilette conçue pour réduire la quantité d’eau utilisée au moment de la chasse.
Toilette comportant un jet nettoyant ordinaire ou un faible jet atomisé, un bidet à eau tiède, un séchoir à air chaud et un mécanisme de chasse d’eau automatique.
Tôle d’acier ondulée, f.Corrugated steelFeuille de métal comportant des ondulations parallèles qui en augmentent la rigidité; sert comme revêtement des toitures et des murs et à divers autres usages liés à la construction.
Tôlerie, f.Sheet metal workTous les composants d’un bâtiment faits de métal en feuille, comme les solins, les gouttières et les descentes pluviales.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Représentation graphique de la surface d’un terrain; son relief, ses formes et ses pentes.
Force qui tire ou étire.
Traitement de préservation, m.Preservative treatmentApplication d’un produit chimique, par brossage ou par traitement sous pression, au bois d’œuvre ou au contreplaqué pour le rendre résistant aux insectes et à la pourriture.
Trappe, f.HatchOuverture fermée par une petite porte ou un panneau amovible donnant accès à des combles, à un vide sanitaire ou à un vide sous toit. Les petites trappes peuvent être utilisées pour accéder à des dispositifs comme un robinet d’arrêt ou un registre et pour en faciliter l’inspection. Syn. trappe d’accès.
Trappe d’accès
au vide sous toit, f.
Attic hatchPetite porte permettant d’accéder aux combles.
(1) Pièce de bois ou de métal s’étendant d’un poteau à
un autre comme dans le cas d’une clôture, d’un garde-corps, d’un escalier, etc.
(2) Élément horizontal faisant partie d’une porte ou d’une fenêtre.
Élément horizontal qui sépare l’imposte de la porte ou de la croisée.
Traverse de chemin de fer, f.Railroad tiePièce de bois traitée à la créosote (ayant généralement 150 mm sur 200 mm [6 x 8 po] de section transversale) parfois utilisée dans les aménagements extérieurs après avoir servi comme support pour les rails de chemin de fer.
Traverses de rencontre,
f. pl.
Check railsTraverses du milieu d’une fenêtre coulissante et d’une fenêtre à guillotine double qui se rencontrent lorsque la fenêtre est fermée et sont suffisamment épaisses pour se chevaucher et assurer l’étanchéité.
Treillis, m.Lattice [1]; mesh [2];
trellis [3]
(1) Entrecroisement de lattes de bois, de plastique ou de métal formant claire-voie.
(2) Métal déployé ou fil métallique tissé ou soudé employé comme armature pour le béton, un enduit ou du stucco.
(3) Construction ajourée ou lattis servant de support aux plantes grimpantes. Syn. : treillage.
Grille de fils d’acier entrecroisés, soudés aux intersections, destinée à résister aux forces de tension dans les dalles en béton. Syn. : treillis métallique. Voir Béton, m., terminologie : béton armé.
Trempage, m.TemperingUtilisation de la chaleur pour accroître la résistance d’un matériau, comme l’acier ou le verre.
Baguette de bois insérée dans les montants et traverses de fenêtre pour séparer les châssis. Syn. : moulure de rencontre.
Trusquinage, m.ScribingAction de marquer une pièce de bois pour l’ajuster à un contour irrégulier.
Tuyau, m.PipeTube en métal ou en plastique destiné à assurer l’écoulement d’un liquide ou d’un gaz.
Tuyau d’acier galvanisé, m.Galvanized pipeTuyau fabriqué d’acier galvanisé.
Tuyau de drainage, m.Drainage tile, perimeter drain, weeping tileTuyau perforé installé sous terre autour des fondations d’un bâtiment afin d’intercepter et d’évacuer les eaux souterraines. Syn. drain. Voir Plomberie, f., terminologie.
Unité de vitrage, f.Glazing unitComposant de la fenêtre formé de deux épaisseurs ou plus de vitrage rendues étanches au pourtour extérieur pour empêcher
la pénétration de l’air ou de l’humidité dans l’espace d’air et pour empêcher la poussière et la condensation entre les vitres.
Voir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Composé organique volatil utilisé dans les adhésifs, les articles moulés et les revêtements de finition.
Valeur de résistance thermique, f.Thermal resistance valueUnité mesurant précisément la capacité d’un matériau à résister à la transmission de la chaleur. Plus cette valeur est élevée,
plus le matériau isolant oppose une bonne résistance à la transmission de la chaleur (correspond à la valeur RSI du Système international d’unités et à la valeur R des unités de mesure anglo-saxonnes). Voir RSI et valeur R.
Coefficient de la résistance thermique d’un matériau ou d’un assemblage, exprimé en unité anglo-saxonne. Voir RSI. Voir aussi valeur de résistance thermique.
Valve, f.ValveOrgane constitué d’un clapet antirefoulement qui ne permet la circulation d’un fluide que dans un sens.
Dispositif d’obturation « tout-ou-rien » permettant d’intercepter ou de laisser libre le passage d’un fluide dans une canalisation. L’obturateur de la vanne se déplace perpendiculairement à l’axe de l’écoulement du fluide, contrairement à celui du robinet
(voir ce terme) qui se déplace dans l’axe de l’écoulement.
Vanne de régulation de température, f.
vanne électromagnétique, f.
Solenoid valveVoir Plomberie, f., terminologie.
Vanne alimentée à l’électricité.
Vapeur d’eau, f.Water vapourEau contenue dans l’atmosphère à l’état gazeux.
Vent dominant, m.Prevailing windDirection du vent ayant la plus haute fréquence d’occurrence pendant une saison particulière de l’année.
Ventilateur à tirage induit, m.
ventilateur de circulation, m.
Circulating fanVoir Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie.
Ventilateur intégré à une installation à air pulsé servant à faire circuler l’air dans une habitation.
Voir Ventilation, f., terminologie.
Ventilateur motorisé muni de lames apparentes, installé au plafond et servant à forcer la circulation de l’air dans une pièce ou un espace.
Ventilateur intégré à la cuisinière, m.
ventilateur récupérateur d’énergie, m.
ventilateur récupérateur de chaleur, m.
ventilateur supplémentaire, m.
ventilation, f.
VentilationVoir Ventilation, f., terminologie. Voir Ventilation, f., terminologie. Voir Ventilation, f., terminologie. Voir Ventilation, f., terminologie.
Ensemble des processus qui assurent l’échange d’air intérieur et d’air extérieur, le traitement de l’air admis (filtration, chauffage, refroidissement), sa diffusion aux pièces habitables de la maison et la circulation de l’air dans les pièces. Consiste aussi à extraire
l’air vicié des salles de bains, des cuisines et des autres espaces.
Air de ventilation, m.Ventilation airAir extérieur intentionnellement introduit dans une pièce ou un espace. Syn. : air neuf, air frais.
Air transporté mécaniquement vers l’extérieur par des appareils tels que des ventilateurs récupérateurs de chaleur, des ventilateurs d’extraction, des sécheuses à linge et des aspirateurs centraux.
Syn. : air vicié, air extrait.
Air frais qui n’a pas encore circulé dans un bâtiment.
Baisse de pression, f.Pressure dropPerte de pression statique due au flux d’air qui traverse un élément, un raccord ou une section dans un dispositif de traitement de l’air, comme un filtre ou un échangeur de chaleur.
Capacité minimale du ventilateur principal en ce qui concerne le flux d’air. Cette capacité peut être basée sur le nombre
de chambres de la maison ou sur une certaine proportion de la capacité de ventilation totale.
Capacité minimale du système de ventilation d’une maison en tenant compte de tous les dispositifs de ventilation. Cette capacité est généralement établie selon le nombre de pièces ou le volume de la maison.
Couvercle de protection d’une entrée ou d’une sortie d’air à l’extérieur d’une habitation.
Commande automatique de ventilateur, f.Fan-cyclerCommande qui actionne le ventilateur d’un système à air
pulsé pendant une période minimale (établie par le propriétaire- occupant ou l’entrepreneur) au cours de chaque heure d’une journée afin de maintenir un taux minimum de circulation d’air dans l’habitation.
Commande du ventilateur principal, f.Principal fan switchInterrupteur ou commutateur, généralement situé dans un endroit central de la maison, qui commande le fonctionnement du ventilateur principal.
Conduit d’extraction, m.Exhaust ductConduit servant à transporter vers l’extérieur l’air et les contaminants issus d’un appareil, d’une pièce ou d’un autre espace. Syn. : conduit d’évacuation.
Objet placé dans un appareil ou un conduit pour modifier la direction ou contrarier le débit de l’air, d’un mélange de gaz et d’air ou de gaz de combustion. Syn. : chicane.
Dispositif de commande qui détecte la teneur en humidité ou en vapeur d’eau d’une pièce et qui peut être réglé pour la maintenir à un niveau limite prédéterminé en commandant le fonctionnement d’un appareil de ventilation, de déshumidification ou de climatisation.
Dispositif terminal d’approvisionnement en air pulsé qui a pour fonction de diriger l’air quittant le terminal. On trouve
différents types de diffuseurs conçus pour être placés au plancher, au plafond ou au mur. Ne comprend pas toujours un régulateur de débit ou un volet de fermeture. Voir aussi Chauffage, m. et climatisation, f., terminologie : grille à registre.
Apport et extraction de l’air de ventilation dans les pièces ou espaces fermés à l’intérieur de l’enveloppe d’un bâtiment.
Appareil qui, simultanément, extrait l’air intérieur vers l’extérieur et qui admet de l’air extérieur à l’intérieur. Peut récupérer la chaleur ou non. Voir ventilateur récupérateur de chaleur.
Appareil qui, en hiver, transfère la chaleur de l’air intérieur évacué à l’air extérieur admis et, en été, transfère la chaleur de l’air extérieur admis à l’air intérieur évacué. L’échangeur de chaleur peut être constitué d’une série de plaques fixes (courantes dans les ventilateurs récupérateurs de chaleur), d’une roue mobile (courante dans les ventilateurs récupérateurs d’énergie), de caloducs, d’une boucle de glycol en circuit fermé ou d’une calandre.
Efficacité d’un VRC corrigée en fonction de la consommation d’énergie externe et des pertes parasites. Voir aussi efficacité sensible apparente.
Efficacité sensible apparente, f.Apparent sensible effectivenessEfficacité d’un ventilateur récupérateur de chaleur pour réchauffer l’air admis. Voir aussi efficacité de récupération sensible.
Boîtier au-dessus d’une cuisinière comportant généralement un ventilateur et une lumière. Le ventilateur n’est pas nécessairement raccordé à l’extérieur et peut être situé à l’intérieur de la hotte ou à un autre endroit.
Système de ventilation (généralement à VRC) dans lequel l’air vicié est extrait des cuisines, salles de bains et salles de toilette et l’air extérieur est admis directement par un réseau de conduits dans les chambres et autres pièces occupées. Il n’est pas nécessaire que la maison soit dotée d’un système à air pulsé pour que cette installation de ventilation soit complète.
Installation de ventilation qui combine au moins deux caractéristiques des systèmes de ventilation par extraction et apport d’air, par extraction seulement, simplifiée ou avec
réseau de conduits reliant toute l’habitation. Par exemple, une installation pourrait utiliser un VRC pour extraire l’air vicié de certaines salles de bains, et des ventilateurs localisés pour ventiler la cuisine et les autres salles de bains.
Voir ventilation mécanique contrôlée à simple flux.
Voir ventilation mécanique contrôlée à double flux.
Installation de ventilation (généralement à VRC) qui extrait l’air du circuit de reprise d’un système à air pulsé et admet de l’air extérieur dans le même circuit de reprise, en aval du point à partir duquel l’air à évacuer est repris. Les salles de bains, la cuisine et les salles de toilette doivent être dotées de ventilateurs d’extraction pour que le système soit complet et fonctionnel.
Unité du Système international d’unités (SI) utilisée pour mesurer le flux d’air. 1 L/s = 2,12 pcm. En pratique, on considère que 1 L/s représente environ 2 pcm.
En conception de conduits, longueur du réseau exprimée comme la somme de la longueur réelle du circuit d’air et les longueurs équivalentes des raccords dans ce circuit.
Longueur équivalente, f.Equivalent lengthEn conception de conduits, longueur assignée à un raccord de conduit exprimée comme étant la longueur d’un conduit droit, lisse, rond, de même diamètre que le raccord, qui aurait la même résistance au flux d’air.
Zone théorique représentée par une surface plane horizontale traversant un bâtiment et dont le périmètre est défini par les points de l’enveloppe du bâtiment où la pression de l’air intérieur égale la pression de l’air extérieur.
Pression inférieure à la pression atmosphérique. Survient lorsque la pression à l’intérieur de l’enveloppe d’une maison est inférieure à la pression de l’air extérieur. Une pression négative favorise l’infiltration et le refoulement d’air.
Pression supérieure à la pression atmosphérique qui se manifeste lorsque la pression à l’intérieur de l’enveloppe d’un bâtiment est supérieure à celle de l’air extérieur ou lorsque la pression dans une zone du bâtiment est supérieure à celle d’une autre zone.
Une différence de pression positive favorise l’exfiltration d’air.
Différence de pression entre l’intérieur d’un conduit et l’extérieur. Peut être négative (pression d’aspiration) ou positive (pression d’éclatement).
Gaine de ventilation servant à évacuer l’air vicié et les contaminants d’un appareil, d’une pièce ou d’un autre espace.
Ensemble de deux plaques montées sur un axe central à l’intérieur d’un conduit d’air ou de fumée pour régler le débit de l’air. Les plaques s’ouvrent et se ferment simultanément
à la manière des ailes d’un papillon.
Clapet automatique à plaque ou à lames basculantes (généralement rappelées par gravité) servant à empêcher les refoulements d’air quand le système de ventilation est en mode arrêt.
Plaque ou lame montée dans l’axe ou série de lattes dans un registre servant à régler le débit d’air dans un conduit.
Appareil de ventilation (ventilateur ou VRC) qui fournit la capacité dont a besoin l’installation de ventilation principale d’une maison.
Ventilateur intégré à la cuisinière, m.Range top fanVentilateur puissant à évacuation descendante intégré à une cuisinière pour aspirer et évacuer les odeurs et l’humidité produites par la cuisson.
Ventilateur qui joue un rôle semblable à celui du VRC, sauf que le système récupère l’humidité (chaleur latente), en plus de la chaleur sensible, dans le flux d’air évacué. Utilisé dans les milieux où il est moins important de maîtriser le taux d’humidité en hiver que d’obtenir un bon rendement en période de climatisation.
Appareil de ventilation monobloc constitué de ventilateurs d’alimentation et d’extraction et de moteurs, d’un noyau de récupération de la chaleur, de filtres et d’un dispositif de
commande. Le VRC alimente l’habitation en air frais, extrait l’air vicié et transfère de la chaleur entre les circuits d’air vicié et d’air frais dans le but de réduire la consommation d’énergie liée au fonctionnement de la ventilation.
Appareil de ventilation (ventilateur ou VRC) qui apporte une ventilation additionnelle à la capacité de l’installation de
ventilation principale d’une maison et qui peut ou non fournir une partie de la capacité totale de ventilation d’une habitation.
Ventilation assurée par des dispositifs mécaniques en faisant fonctionner automatiquement ou manuellement un ou plusieurs ventilateurs dans le but d’assurer une qualité de l’air acceptable
à l’intérieur d’une habitation.
Ventilation réalisée à l’aide d’un ventilateur ou d’un dispositif alimenté par un ventilateur.
Système de ventilation dans lequel l’air vicié est extrait des cuisines, salles de bains et salles de toilette, généralement au moyen d’un VRC, et l’air extérieur admis par le VRC est acheminé au collecteur de reprise d’une installation à air pulsé pour être diffusé à chacun des locaux d’habitation. Syn. : installation de ventilation par extraction et apport d’air.
Système de ventilation qui comporte uniquement un ou des ventilateurs d’extraction et qui doit compter sur les infiltrations d’air extérieur pour équilibrer l’extraction d’air. Un système à air pulsé peut s’avérer nécessaire pour diffuser et faire circuler l’air dans les pièces qui ne sont pas directement raccordées au circuit de ventilation à simple flux. Syn. : installation de ventilation par extraction d’air.
Ventilation mécanique contrôlée à double flux, f.
ventilation mécanique contrôlée à simple flux, f.
ventilation naturelle, f.
Natural ventilationVoir Ventilation, f., terminologie.
Voir Ventilation, f., terminologie.
Circulation de l’air extérieur à travers les pièces et les autres locaux d’un bâtiment qui s’établit intentionnellement, en ouvrant les portes et les fenêtres, et par infiltration à travers les ouvertures fortuites perçant l’enveloppe du bâtiment. Elle se produit sous l’action du vent et par l’effet de cheminée.
Ventilation transversale, f.Cross ventilationApport d’air frais obtenu en créant des points d’entrée et de sortie de l’air de part et d’autre d’une pièce ou d’un espace. Ventilation naturelle qui se produit dans un local lorsqu’on ouvre des portes, des fenêtres ou des grilles et que la circulation de
l’air résulte principalement de l’effet du vent et du tirage sur
le bâtiment.
Verre armé, m.Wired glassVerre contenant une armature en broche métallique.
Vide sous toit, m.Attic, roof spacePartie d’un bâtiment délimitée par le plafond du dernier étage et le toit, ou par un mur bas et un toit incliné. Syn. : combles.
Vitrage, m.GlazingTerme générique désignant le matériau transparent, parfois translucide, posé dans les portes et fenêtres, sans toutefois être nécessairement du verre. Voir aussi Fenêtres, f. pl., terminologie.
Vitrer, v.GlazeInstaller des carreaux de vitre dans un châssis, un cadre ou une ouverture préparée à cette fin.
Droit de passage à l’intention du public.
Voir Espaces extérieurs, m. pl., terminologie.
Volée d’escalier, f.FlightSérie de marches reliant deux paliers ou étages.
Cadre ou panneau décoratif ayant la forme d’une porte situé de part et d’autre d’une fenêtre.
Volet possédant des propriétés isolantes ajusté contre une fenêtre pour en fermer l’ouverture de manière étanche et ainsi réduire
la déperdition de chaleur.
X-10X-10Protocole de domotique faisant appel aux fils à courant alternatif en place pour assurer la communication entre les dispositifs de commande et les modules récepteurs. C’est l’un des protocoles les plus anciens et les plus courants utilisés en domotique;
il permet seulement la communication unilatérale et sa puissance de traitement est limitée.
Aménagement paysager qui minimise les besoins d’irrigation, notamment en utilisant des plantes indigènes et des éléments adaptés aux milieux arides.
en_CAEnglish (Canada)